Quand le cinéma donne envie de changer le monde...

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  • Autour du 1er mai : 45 résultats

    base des films qui interrogent la société

  • Médiathèque A. Sayad : 35 résultats

    musée de l’histoire de l’immigration

  • Autres Brésils : 24 résultats

    décryptage de la société brésilienne pour un public francophone

  • Socioeco.org : 14 résultats

    site ressources de l’économie sociale et solidaire

  • BED (Bretagne et diversité) : 4 résultats

    films emblématiques de la diversité culturelle dans le monde

  • MSE des associations de jeunesse et d’éducation populaire:actualités de la recherche & des pratiques, 2023

  • L’école est à nous  ! Ou comment Jean Zay révolutionna l’Éducation nationale, Stéphane Benhamou, 2015

    Quelle image reste-t-il de Jean Zay dans la mémoire collective française ? Davantage celle d’une victime de la barbarie que celle d’un grand homme d’État, semble-t-il. Et pourtant… Nommé à seulement 31 ans lors du Front populaire à la tête du ministère de l’Éducation nationale et des Beaux-Arts, Jean Zay se lance malgré tout dans un grand chantier d’innovation et de rénovation du système scolaire français.

  • Message d’Edgar Morin pour la grand conférence d’éducation, 2016

    Mot-clé : éducation/sensibilisation

  • Femmes politiques, Daniel Bouy, 2022

    Un collectif d’habitantes de Stains (93) se mobilise pour dénoncer les inégalités de moyens attribués aux écoles des quartiers populaires. Accompagnées d’universitaires, de journalistes et de comédiens, elles écrivent et mettent en scène leur vécu, leurs réflexions et leur colère. Ou comment susciter le goût pour la vie politique grâce aux principes de l’éducation populaire.

  • Comme un oiseau, Audrey Martenon, 2017

    Ginette sillonne différents terrains mis à la disposition des gens du voyage en Savoie. Avec son camion-école, elle propose aux élèves déscolarisés du collège un enseignement adapté, en lien avec les familles et l'éducation nationale. A quelques années de la retraite, elle modèle toujours sa pédagogie au cas par cas, avec une bienveillance et un enthousiasme constant. Pour Lindsay, c'est l'heure des choix de l'adolescence. Ceux que l'on fait pour se réaliser soi-même et trouver sa place dans la société : chercher son orientation, un stage, suivre une formation, faire le choix ou non de travailler, s'ouvrir sur le monde tout en restant une jeune voyageuse. Le chemin est long et sinueux pour elle qui a choisi depuis longtemps de ne plus fréquenter les bancs du collège. Autour des projets d'avenir de l'adolescente et le positionnement pédagogique de son enseignante se dessinent les portraits de deux équilibristes qui tentent de tracer leur voie entre l'intérieur et l'extérieur d'une communauté. - Présentation éditeur.

  • Le rêve perdu des Hommes du fleuve, Christophe Cordier, 2016

    L'éducation comme arme de résistance pacifique face à l'acculturation des peuples autochtones de l'Amazonie péruvienne … Plongée au fil de l'eau à la découverte de Rios de Saber, une école alternative où se transmettent des savoirs ancestraux, contre une uniformisation menaçante.

  • Navegar Amazônia, Jorge Bodanzky, 2008

    Navegar Amazônia, organisme basé à Macapá, travaille avec diverses communautés de l’État d’Amapá en utilisant plusieurs formes d’art et de technologie. À bord d’un bateau nommé Pasco Nunes, ces éducateurs effectuent un travail d’éducation environnementale, informatique, sociale et de préservation de leur culture en favorisant l’expérimentation et le développement personnel et global.

    Mots-clés : Education, Education à l’environnement

  • Nos frangins, Rachid Bouchareb, 2022

    La nuit du 5 au 6 décembre 1986, Malik Oussekine est mort à la suite d’une intervention de la police, alors que Paris était secoué par des manifestations estudiantines contre une nouvelle réforme de l’éducation. Le ministère de l’Intérieur est d’autant plus enclin à étouffer cette affaire, qu’un autre Français d’origine algérienne a été tué la même nuit par un officier de police.

  • Travailler ensemble, en territoire zéro chômeur de longue durée, Guillaume Dreyfus, Sylvie Alphandéry, 2022

    Une rencontre entre des chômeurs de longue durée qui ont retrouvé du travail grâce au projet Territoire zéro chômeur (TZC) et la chercheuse Florence Jany-Catrice, tel est le fil conducteur de ce documentaire qui s’inscrit dans la tradition de l’éducation populaire et de l’échange de savoirs.

  • Là-bas, Nephtalie Bertin, 2016

    Baie d’Orange, un village au Sud Est d’Haïti. A 30 ans, Maricide a déjà six enfants et vit dans l’incertitude de l’avenir. Lovely, elle, a 18 ans. Elle a eu son enfant à seize ans et aujourd’hui, elle ne peut pas assurer son avenir. Le manque d’accès à l’éducation sexuelle, ainsi que leurs croyances personnelles, font de leur quotidien un combat permanent.

  • Crias da Piollin, Bertrand Lira, 2008

    A la fin des années 70, un groupe de jeunes occupe un monastère abandonné et crée un espace pour produire du théâtre (la Escola Piollin) ; cette expérience arrive à faire participer toute la communauté à un travail permanent d’art-éducation. C’est à partir de cette expérience qu’une des compagnies de théâtre les plus importantes du pays commence sa carrière. Le film « Crias da Piollin » raconte le parcours du groupe Piollin qui, au delà de sa trajectoire de succès, réalise des activités dans les écoles pour les enfants et les adolescents.

    Mot-clé : Education

  • Nous autres - éducation contre le racisme, Lilian THURAM

    La Fondation Lilian Thuram,la MGEN et la CASDEN lancent un programme multimédia d'éducation contre le racisme à destination des écoles primaires. Destiné aux classes de CM1 et CM2 Support pédagogique pour préparer le travail en classe, le double DVD apporte aux enseignants les ressources documentaires nécessaires pour mieux appréhender le sujet complexe du racisme, avec le concours chercheurs prestigieux : le paléoanthropologue Yves Coppens, la généticienne Evelyne Heyer, les historiens Pascal Blanchard et Odon Vallet, le rapporteur spécial des Nations Unies (2002-2008) Doudou Diène, la psychiatre Marie-Rose Moro, le sociologue Michel Wieviorka, le géopoliticien Pascal Boniface, la politologue Françoise Vergès, le psychothérapeute Patrick Estrade, la muséologue Elisabeth Caillet, le commissaire d'exposition André Magnin, l'anthropologue et didacticien Ninian van Blyenburgh Egalement support pour l'animation de la classe, le double DVD propose aux élèves de nombreux extraits vidéos, des animations et des jeux.

  • Ferme à Gégé (La), Florent Verdet, 2021

    Le portrait haut en couleurs d’un agriculteur sous pression qui, pour échapper à la faillite, a ouvert sa ferme aux enfants et s’est transformé en pédagogue virtuose. Drôle et touchant, le film revisite l’écologie, la paysannerie et l’éducation populaire, depuis le point de vue rare d’un paysan éclairé, les deux pieds ancrés dans la terre.

  • 20 ans du RTES : La parole à Eric Oternaud - Intérêt d’un réseau comme RTES en tant que nouvel élu, 2022

    Mot-clé : éducation/sensibilisation

  • Education en résistance, Réalisation collective, 2000

    Dans leurs efforts pour résister et organiser l’autonomie de leurs communautés, les zapatistes mettront en place une éducation où se pratiquent les langues indiennes, où l’on cherche à respecter l’individu tout en lui expliquant son lien avec la communauté et ses traditions.

  • Bantu Education, Rina SHERMAN

    "aperçu intimiste d'un certain monde africain à Paris. Sud Africaine, styliste, Meisie Mosimane ou Sister Bucks, vient à Paris pour faire confectionner des vêtements par des couturiers maliens installés dans le quartier de la Goutte d'or. Sans parler un mot de français et, avec seulement quelques adresses en poche, Meisie se retrouve perdue à Denfert Rochereau le jour de son arrivée. C'est le début d'une aventure parisienne qui va durer deux semaines " -(Rina Sherman)

  • Pro dia nascer feliz, Joao Jardim, 2005

    Témoignages de collégiens sur leur vie quotidienne. Au delà du portrait de la jeunesse dans diverses écoles publiques au Brésil et la vision du personnel qui y travaille, ce documentaire donne à voir la fragilité du système d’éducation au Brésil et souligne les disparités sociales.

    Mot-clé : Education

  • Vie scolaire (La), Grand corps malade, Mehdi Idir, 2019

    Samia Zibra, jeune et inexpérimentée, débute comme conseillère principale d’éducation dans un collège en zone d’éducation prioritaire en Seine-Saint-Denis. Elle y rencontre de nombreux problèmes mais découvre également l’incroyable vitalité et l’humour qui règnent dans l’établissement.

  • Hi-Ho Mistahey !, 2013

    L’histoire du « Rêve de Shannen », une campagne nationale pour que les enfants des Premières Nations aient accès à une éducation équitable et à des écoles sécuritaires et adéquates.

  • Gosses de France, Andrea Rawlins-Gaston, Caroline Le Hello, 2019

    Ce documentaire met en lumière le quotidien de quatre enfants et adolescents pauvres. Benjamin, Sofia, Brocéliande et Jassim incarnent les 3 millions de mineurs qui vivent encore sous le seuil de pauvreté, en 2019, en France. Le documentaire aborde tour à tour les questions de l’accès des jeunes en grande précarité à l’éducation, à la cantine, aux activités extrascolaires ou encore à la santé et au logement.

  • 3x4 - Retratos da juventude de Goiânia, Cassia Queiroz, Pedro Novaes, João Novaes, 2004

    Comprendre ce que signifie être jeune aujourd’hui. Le Brésil compte 33 millions de jeunes qui restent parfois en marge des politiques publiques. Cette vidéo souhaite montrer cet univers. Il est le fruit du travail du Groupe de recherche jeunesse et éducation (NUPE) de l’Université Catholique de Goias (UCG).

    Mot-clé : Education

  • Lutte, Claire Bernard, 2017

    Lutte est un documentaire sur l’engagement et, plus particulièrement, l’engagement de femmes qui luttent pour une école de l’égalité des chances. Pendant 9 mois, elles vont s’opposer à la réforme qui menace de faire sortir les écoles du Bas-Montreuil (Seine-Saint-Denis) du Réseau éducation prioritaire (REP).

  • Prosper et la jeunesse pétillante, Laurence Kirsch, 2017

    L’ouverture de la grande porte crée un appel de lumière. Avec la lumière s’engouffrent des silhouettes juvéniles. Ce sont des élèves qui entrent au Centre de Formation d’Apprentis. C’est jour de rentrée ! Prosper Bambara, le CPE (Conseiller Pédagogique d’Éducation) du CFA les accueille.

  • Raconte moi la guerre sans nom, Véronique GARCIA, 2012

    Raconte-moi la guerre sans nom s'interroge sur la façon dont l'Education Nationale aborde l'enseignement de la Guerre d'Algérie. Le fil rouge du documentaire est constitué de séances de cours et de débats filmés dans une classe de Terminale. Il est ponctué de témoignages de personnes appelés du contingent, pieds-noirs, harkis ayant vécu en Algérie durant ces années, et ayant choisi de transmettre leur expérience. La juxtaposition de ces témoignages émouvants montre, s'il est besoin, qu'il y a autant de guerres d'Algérie que de protagonistes, et donne également l'occasion d'aborder la question lancinante des rapports entre la mémoire et l'histoire. (Présentation éditeur)

  • Idée folle (Une), Judith Grumbach, 2016

    Tourné dans neuf établissements scolaires - publics et privés, de la maternelle au collège, aux quatre coins de la France - ce documentaire pose la question du rôle de l’école au XXIème siècle, à travers le témoignage d’enseignants, d’enfants, de parents ainsi que d’experts de l’éducation.

  • Enfants de la prairie (Les), Bertrand Leduc, Ugo Zanutto, 2016

    L’école de la prairie à Toulouse s’inscrit dans la démarche de l’éducation nouvelle. Les réalisateurs nous proposent de découvrir en immersion, le fonctionnement de cet établissement où le mode éducatif invite les enfants à devenir avant tout, eux-mêmes…

  • Basta ya de conciliar, es tiempo de luchar, Leonardo David Perez Campaña, 2015

    Pedro Jofré, Elize Cárcamos et Pedro Aguilera, dirigeants de lycées emblématiques de Santiago du Chili, luttent pour récupérer l’éducation publique et rejettent les politiques institutionnelles. Afin de construire une société différente, ils militent pour que les droits sociaux ne soient plus une marchandise et pour mettre fin aux politiques héritées de Pinochet qui ont été développées et perfectionnées par la Concertation. Ce documentaire nous montre une autre réalité du mouvement étudiant et la force de son basculement progressif en véritable mouvement social.

  • Demain, Cyril Dion, Mélanie Laurent, 2015

    Et si montrer des solutions, raconter une histoire qui fait du bien était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales ? Une enquête dans dix pays à la rencontre de celles et ceux qui réinventent l’agriculture, l’énergie, l’économie, la démocratie, l’éducation… en bref, le monde de demain.

  • Cas d’école : l’école face aux médias, Gilles Balbastre, 2015

    Comment, à partir d’un fait divers survenu dans un établissement scolaire, les médias remettent-ils en cause le travail des personnels de l’Éducation nationale ? Comment cet appétit du sanguinolent nuit à la finalité progressiste que peuvent avoir les services publics ? Plus généralement, en quoi les médias peuvent-ils être un danger pour la démocratie ?

  • This is my land, Tamara Erde, 2014

    Quand l’éducation empêche le monde de changer… En 2013, pendant une année scolaire, la réalisatrice franco-israélienne suit plusieurs enseignants israéliens et palestiniens. En observant la réalité du quotidien dans les classes, ce documentaire démonte les programmes scolaires respectifs. This is my land examine la construction idéologique de « l’ennemi », le ferment des guerres futures.

  • COOPTERR - Nagyvázsony, 2022

    Erasmus+ project

    Mot-clé : éducation/sensibilisation

  • Bons baisers de la colonie, Nathalie Borgers, 2011

    En 1926, Suzanne naît de l'union entre un administrateur territorial belge et une femme rwandaise. À l'époque, ces unions sont sanctionnées par le pouvoir colonial. À l'âge de 4 ans, son père embarque Suzanne vers la Belgique pour qu'elle y reçoive une éducation européenne. Elle est ce qu'on appelle alors "une mulâtresse sauvée d'un destin nègre". Suzanne est ma tante. Son père est mon grand-père. Pourtant, je n'ai appris son existence qu'à 27 ans. Ce film vient rompre le silence qui a pesé sur ses origines, au croisement de l'histoire familiale et de l'Histoire coloniale. (Présentation éditeur)

  • Racismo: Evidência, Reflexão e Luta, Margot Ribas, 2011

    Des étudiants, des professionnels, des politiciens, des militants et la population en général réfléchissent sur la persistance du racisme et sur ses implications dans les médias, l’éducation, la culture, le logement, l’emploi et les mouvements sociaux.

  • Cécilia, école de la nouvelle culture (La), Edith Wustefeld, Johan Verhoeven, 2013

    Une école alternative, qui prouve qu’une autre éducation est possible. Des élèves de 4 à 18 ans qui apprennent dans un cadre complètement différent : aucun cours obligatoire, la liberté de choisir à chaque instant, des outils pour trouver son chemin, des relations d’égalité… Une école où les élèves ont envie d’aller

  • Si T’es Jardin : la branche « jardins partagés » du réseau de Régies de quartiers, Bruno Feindel, 2013

    Depuis plus de 10 ans, les Régies développent des jardins solidaires avec et pour les habitants de leurs quartiers d’intervention. Ces jardins permettent d’aborder différentes thématiques (amélioration du cadre de vie, éducation à l’environnement, santé publique, autoproduction alimentaire), qui sont présentées dans ce film à travers les expériences de quatre Régies.

  • Révolution école 1918 - 1939, Joanna Grudzinska, 2013

    Au lendemain de la Première Guerre mondiale, des pédagogues d’un nouveau genre forment le projet révolutionnaire de changer le monde en faisant évoluer l’école. Une plongée dans le mouvement de l’Éducation nouvelle, florissant dans les années 1920, puis balayé par le totalitarisme. Tour d’horizon d’un héritage pourtant bien vivant.

  • SIDA, la guerre de trente ans, Frédéric Biamonti, 2013

    Il y a trente ans, l’équipe du Professeur Montagnier mettait un nom sur ce mal étrange venu des États-Unis qui en quelques semaines avait réduit à l’état de spectre plusieurs dizaines d’individus apparemment bien portants : le SIDA venait de débouler dans nos vies. Au delà des drames, la maladie a profondément bouleversé la société française. L’urgence d’une réplique a forcé les politiques à prendre à bras le corps des sujets tabous : l’homosexualité, la toxicomanie, l’éducation sexuelle… Trente ans plus tard, si la maladie tue toujours, la société Française est assurément plus généreuse et plus tolérante qu’en 1983…

  • Chasse au Snark (La), François-Xavier Drouet, 2013

    En Belgique, le Snark accueille une trentaine d’adolescents inadaptés au système scolaire à cause de graves troubles de comportement. L’éducation non-répressive qui y est pratiquée essaie de leur faire redécouvrir la nécessité des règles de la vie collective. Entreprise qui n’est pas assurée d’être couronnée de succès. Mais les éducateurs ne se donnent jamais le droit de baisser les bras.

  • Passe le périph' d'abord, Jean-Marie MONTALI, Bruno VICTOR-PUJEBET, 2011

    "Alix, Tania et Carlotta sont parisiennes. Alison, Deguene et Wafae sont Clichoises. Elles ont entre 17 et 18 ans, elles sont élèves en terminale et appartiennent à deux lycées différents : Jean-Racine est à Paris, dans le 8e arrondissement et Alfred-Nobel est situé à Clichy-sous-Bois, en Seine-Saint-Denis et en zone d'éducation prioritaire (ZEP). Tout les sépare. Tout, c'est-à-dire le périphérique et une montagne de préjugés. Ces jeunes filles ne se seraient jamais rencontrées si leurs lycées ne les avaient pas lancées dans une aventure pédagogique inédite : reconstituer un procès d'assises pour comprendre le fonctionnement de la justice. Ce procès, encadré par maître Jean-Pierre Mignard, un ténor du barreau de Paris, se déroule dans l'enceinte historique du Palais de justice de Paris. Les élèves y jouent tous les rôles, des accusés aux avocats en passant par le procureur et les jurés populaires. Un exercice pratique en situation quasi réelle qui leur permet de mieux comprendre la mécanique judiciaire. Le film les a suivies pendant quatre mois. Pour nos caméras, elles ont aussi accepté de relever un autre défi : traverser le périphérique pour changer de lycée et vivre quelques jours les unes chez les autres. Les Clichoises s'installent dans les familles parisiennes, et les Parisiennes dans les familles Clichoises. Il s'agit de voir en quoi, d'un côté ou de l'autre du périphérique, les vies de ces adolescentes sont si différentes..."

  • Jeunesse amoureuse (Une), François Caillat, 2012

    Le narrateur raconte sa jeunesse amoureuse dans le Paris des années 1970 : un récit d’éducation sentimentale, à cœur et corps perdus ; une histoire intime autant que l’aventure d’une génération ; un film sur la difficulté d’aimer.

  • Avec Bachir, Rosalie Gladys Bessini, Abdoulaye Boka, Soumaïla Boureima, Soumaïla Diallo, Félix Mbog-Len Mapout, Bintou Fanta Coly, Delphine Yerbanga, Kiswendsida Parfait Kabore, Elzévie Pascale Touloulou, 2012

    Bachir est un jeune sénégalais qui pense la révolution à travers son slam. La révolution, dit-il, passe par l’accès à l’éducation, à l’information et à la culture. Nous avons décidé d’accompagner Bachir pour confronter ses compositions au contexte électoral du Sénégal. L’occasion est donnée à la population d’exprimer son ras-le-bol. Les gens crient, discutent, chantent et disent ce qu’ils n’ont pas pu dire aux politiciens jusqu’ici.

  • Je suis un reporter citoyen, John Paul Lepers, Smaïn Belhadj, 2011

    Le film raconte la première année de formation des Reporters citoyens, un projet d’ateliers d’éducation populaire aux médias mené par l’association éponyme afin de former des jeunes des quartiers au métier de journaliste.

  • Entre deux vies, Alberto, Shkendije, Abedin, Hordé, Imran, Sarah, Tresia, Petros, Souleymane, Mireille, Samuel. Atelier Passeurs d’images Limousin, 2010

    Film issu d’un atelier coordonné par Passeurs d’images (dispositif d’éducation à l’image) qui nous propose différentes visions de l’exil racontées par des demandeurs d’asile récemment arrivés à Limoges, après un long et douloureux voyage…

  • Ici et là-bas, Elise Picon, 2010

    En France et au Sénégal, deux écoles primaires correspondent, se filment et se rencontrent. Entre Dagana et Paris, des enfants s’écrivent. Puis, les lettres s’enrichissent de dessins, de photos et enfin de films. Il y est question du quartier des enfants, de leur vie quotidienne. Un engagement dans une démarche d’éducation au développement pour les enfants d’ici et là-bas.

  • En maternelle au Val Fourré, Marie Dolez, 2008

    Le quotidien d'une école maternelle en zone d'éducation prioritaire (ZEP), dans un quartier de Mantes-la-jolie. Un témoignage sur les enjeux de l'éducation pour les enfants en majorité issus de l'immigration, et sur le travail des enseignants.

  • Kanaky, paroles de femmes, Bernard Mounier, 1997

    À travers le regard de femmes calédoniennes issues de milieux socio-culturels et de bords politiques très divers, un bilan sans concession sur ces dix années passées après la signature des Accords de Matignon, en 1988. On y évoque le nickel, le droit et le foncier coutumiers, la culture, l'éducation, l'influence des missions…

  • Je t'écris d'Europe, Marc GOURDEN, 2008

    Désirée, Kadialy, Chalani et Xiaolei, scolarisés en lycées professionnels à Paris, ont immigré en France pendant leur adolescence. À l'occasion d'un atelier d'été, animé par Soizic Donin, ils écrivent une lettre à un ami d'enfance, dans leur pays natal, pour évoquer leur situation en France et en particulier les difficultés administratives qu'ils rencontrent. Arrivés après l'âge de 13 ans, ils courent le risque, une fois majeurs, d'être envoyés en centre de rétention et expulsés si leur demande de régularisation n'est pas examinée favorablement par la préfecture. Pour cela, ils doivent déposer des demandes de rendez-vous et remplir des dossiers. Le RESF (Réseau d'Éducation sans frontières), fondé en 2004, regroupe des enseignants, des parents d'élèves et des membres d'associations qui soutiennent ces jeunes dans leurs démarches.

  • Caminhando contra o vento - O Sol, Tetê Moraes, Martha Alencar, 2006

    Un journal, une génération, une époque. 1967/68: Manifestations étudiantes, festivals de musique, une génération à contre-courant. Au cœur de Rio de Janeiro, naît le journal de presse alternative O Sol, qui traite de sujets tels que la culture, la politique et l’éducation. Une expérience unique dans l’histoire du journalisme et de la culture brésilienne, qui a symbolisé l’esprit d’une époque. Inscrit dans le contexte de la « génération 68 », le film reconstitue l’histoire du journal à travers des archives, des rencontres et témoignages de personnalités qui ont participé à cette aventure journalistique, tels que Ziraldo, Chico Buarque, Caetano Veloso…

  • École nomade (L’), Michel Debats, 2008

    En Sibérie orientale, des clans evenk, soucieux de préserver leur culture, aidés par l’anthropologue française Alexandra Lavrillier, ont mis en place un école nomade, homologuée par le ministère de l’Éducation russe. Outre un cursus scolaire classique, les enfants y étudient la culture, l’histoire et la langue evenk, mais surtout y apprennent la forêt et la vie nomade, l’objectif étant de leur donner les éléments pour qu’ils puissent assimiler modernité et tradition. L’école nomade est une belle réponse à ce défi.

  • RESF : un réseau de résistances, Agathe Dreyfus, Christine Gabory, Ivora Cusack, 2007

    Série de cinq films d’actualités documentaires réalisés en 2006/2007 autour du Réseau Éducation Sans Frontières Bouches-du-Rhône (RESF13).

  • Sans Terre, Bérangère Jannelle, Stéphane Pauvret, 2007

    Douglas est acteur et metteur en scène de théâtre à Sao Paulo et militant du Mouvement des travailleurs ruraux sans terre (MST), l’un des mouvements altermondialistes les plus puissants d’Amérique Latine, au sein duquel il lutte pour la culture et l’éducation. Le film est le récit d’une aventure théâtrale menée par lui avec des jeunes paysans sur une fazenda inexploitée et conquise par le Mouvement.

  • Au-delà de l’eau, Didier Bergounhoux, 2007

    Didier Berghounoux a filmé la dynamique insufflée par Eau Vive, la participation active des villageois, qui se sont progressivement équipés en écoles, centres de santé, maternités… en partie financés par eux-mêmes ; des initiatives citoyennes qui leur permettent d’accéder aux soins et à l’éducation, mais aussi d’amorcer un développement économique.

  • Alphabet pour nos paroles (Un), Réalisation collective, 2006

    Ce film permet d’entrevoir les pratiques de l’éducation zapatiste.

  • Universidad del Buen Vivir en el Foro Social Mundial (con ponencia de Boaventura de Sousa Santos), 2021

    Mots-clés : éducation/sensibilisation, Education Populaire

  • Esquive !, Patrice Rolet, 2005

    Une classe "Espace SOS" et deux de ses enseignants durant une année scolaire. Cette classe regroupe des élèves en grandes difficultés scolaires, pour une année de la dernière chance. Le travail de Brigitte Puget, professeur principale et de René Acquaviva, professeur d'éducation physique et de boxe éducative…. La version FACE À FACE donne plus d’informations sur la pratique des enseignants, elle est destinée à un travail de formation pour les enseignants autour des collégiens en difficulté. (Présentation éditeur)

  • Je de mémoire, 2004

    L'association Kyrnéa, dont l'action à travers l'opération "Un été au ciné-cinéville" vise à favoriser l'éducation à l'image et l'accès aux pratiques cinématographiques, publie dans ce DVD un choix de films produits en 2003 dans le cadre du projet "Devoirs de mémoires", complété de témoignages de participants aux ateliers de réalisation. Les objectifs de cette opération sont : travailler autour de la mémoire commune et/ou individuelle, mémoire des gens, mémoire des sites, mémoire des populations issues de l'immigration ; proposer aux participants de se replonger sur la mémoire de leurs origines ; offrir aux participants la possibilité de réfléchir sur la transmission culturelle intergénérationnelle, sur la construction de leur identité et de prendre la parole.Les documentaires présentés abordent le thème de l'immigration sous différents angles : la question des origines à partir des récits et des paroles de femmes, d'hommes, d'adolescents, d'enfants, d'artistes (Sillons et sillages, Mon histoire dans l'histoire, D'ici et d'ailleurs), l'itinéraire d'une communauté (Du Cambodge à Annonay), le centre de Sangatte (D'une rive à l'autre), la tenue vestimentaire et les relations entre jeunes (Mode en France, Des filles et des garçons).

  • SOCIAL SOLIDARITY ECONOMY in Europe - For a better future, 2021

    Mot-clé : éducation/sensibilisation

  • École de la République (Une), Richard Hamon, 2003

    Une documentaire sur l’école Vitruve, créée en 1982 dans le but d’émanciper l’enfant par l’éducation, former l’individu grâce à une organisation et une gestion nouvelle de l’école. Cette scolarité différente veut intégrer les repères citoyens qui viennent à manquer dans notre société.

  • Enfants d’Arna (Les), Juliano Mer Khamis, 2003

    En 1989, Arna Mer Khamis, juive israélienne, crée un centre d’éducation alternatif dans le camp de réfugiés palestiniens de Jénine. Dans le théâtre qu’elle y fait construire, les enfants palestiniens peuvent exprimer leurs frustrations et leurs peurs quotidiennes

  • Expérimenter l’auto-gestion : la SCOP LE PAVE - Franck Lepage- Gael Tanguy (version longue), 2017

    Mot-clé : Education Populaire

  • Bintou, Fanta Régina Nacro, 2001

    Un conte moderne et humoristique qui traite du respect entre homme et femmes, pour une égalité des droits à l’éducation et au travail.

  • Sur la trace des parents sauvages, Marioussa Louradour, 2000

    « En 1976, ma mère passait une petite annonce dans Libération. Elle cherchait d’autres parents pour bâtir un lieu de vie et d’éducation non autoritaire, ouvert aux jeunes enfants jusqu’à six ans. C’est ainsi qu’est née une des premières crèches parentales de Paris.

  • Sur la trace des parents sauvages, Maroussia Louradour, 2000

    En 1976, ma mère passait une petite annonce dans Libération. Elle cherchait d’autres parents pour bâtir un lieu de vie et d’éducation non autoritaire, ouvert aux jeunes enfants jusqu’à six ans. C’est ainsi qu’est née une des premières crèches parentales de Paris.

  • Lisette Vincent, une femme algérienne, Jean-Pierre Lledo, 1997

    Fille et petite-fille de colon, cette institutrice née en 1908 en Algérie, pionnière de l’introduction des méthodes de l’éducation nouvelle et adepte du naturisme dans les années trente, volontaire antifasciste de la guerre d’Espagne en 1938, seule femme d’Algérie condamnée à mort par Vichy en 1942 et engagée durant toute la guerre d’indépendance jusqu’en 1962, se considère en exil depuis son arrivée en France en 1972.

  • Hight School II, Frederick Wiseman, 1994

    Nouvelle observation du monde de l’éducation, cette fois-ci au sein de la Central Park East Secondary School, lycée pilote de Harlem réputé pour ses excellents résultats proposant des méthodes alternatives d’enseignements à destination d’élèves en grandes difficultés.

  • À Bamako les femmes sont belles, Christiane Succab-Goldman, 1995

    Rencontre sensible et respectueuse des femmes de Bamako et de Ségou qui construisent le Mali. Une vingtaine d’entre elles, de milieu et de niveau d’éducation différents, parlent de leur quotidien et le film fait ressortir la force de chacune.

  • Planète des enfants (La), Valeria Sarmiento, 1992

    Un téléfilm documentaire qui s’interroge sur l’éducation des enfants à Cuba après la fin des idéologies et l’échec d’un modèle.

  • Video : Picnic la Ficătar, 2020

    Social Solidarity Economy in Europe : affirming a new paradigm trhough IVET curricula innovation

    Mot-clé : éducation/sensibilisation

  • Multi-handicapped, Frederick Wiseman, 1986

    Le quotidien de l’école Helen Keller, en Alabama, spécialisée dans l’éducation d’élèves handicapés et déficients sensoriels.

  • Mayante, Dominique Greusard, 1983

    Un regard simple et direct sur la vie d’un village africain et plus particulièrement sur l’éducation des enfants.

  • Solitude du coureur de fond (La), Tony Richardson, 1962

    Jeune révolté, Colin est placé dans un centre d’éducation surveillée. Pendant ses longues courses de fond en solitaire, il s’évade en rêveries. Quand le directeur décide d’en faire un champion, la question se pose : courir pour quoi ? pour qui ?

  • L’avenir du Café des Enfants de Béthune, 2013

    Mot-clé : Education Populaire

  • Côte d’Azur, Charles Dautricourt, 1959

    Découvrez ce à quoi pouvait rassembler un séjour familial sur la Côte d’Azur en 1959 ! Ce film issu du fonds Charles Dautricourt (1914-2008), tourné en couleurs et remarquablement bien conservé, nous montre le développement du tourisme dans le Sud de la France à l’aube des années 1960. On y voit principalement Charles Dautricourt, militant d’éducation populaire connu pour avoir co-fondé en 1947 le Comité français du cinéma pour la jeunesse (CFCJ).

  • Código Verde: CEPRODESO (Cuba), 2019

    Mot-clé : Education Populaire

  • AROUNDTHEWORLD.COOP #7 | CHEESE BOARD COLLECTIVE | BERKELEY, USA, 2019

    Social Solidarity Economy in Europe : affirming a new paradigm trhough IVET curricula innovation

    Mot-clé : éducation/sensibilisation

  • Just shoot me, Claudia Nunes, 2010

    Selon l’ONU, les enfants des rues sont environ 150 millions. 40% d’entre eux sont sans domicile. En Amérique Latine, il sont 40 millions. Ce documentaire résulte d’un projet d’atelier audiovisuel réalisé dans l’ancien centre de mineurs de Goiás, au Brésil. Les enfants prennent la caméra et l’utilisent pour s’exprimer et lutter contre le silence. Ce matériel a été tourné il y a près de vingt ans, sur une durée de deux années. Claudia Nunes en a d’abord fait un court métrage, « Numéro Zéro », puis, après avoir retrouvé et filmé certains protagonistes, elle a remonté l’ensemble.

    Mot-clé : Education à l’image

  • Aventure nommée Brésil (Une), Kakie Roubaud, 2010

    Comment un pays grand comme deux fois l’Europe invente la démocratie participative : tout juste sorti de la dictature à la fin des années 1980, le Brésil adopte une constitution progressiste et tente de prendre à bras-le-corps la violence urbaine, la sécheresse, la déforestation, le pillage des ressources naturelles… Des problématiques mondiales, auxquelles il cherche des solutions inédites, multipliant les expérimentations « citoyennes ».

    Mot-clé : Education

  • Madza Ednir, Story the Future, 2018

    Mot-clé : Education Populaire

  • Abuela Grillo, Denis Chapon, 2009

    Le court-métrage d’animation Abuela grillo est une adaptation d’un mythe ayoreo, peuple amérindien nomade. La version animée de cette histoire devient une fable qui aborde une question clée dans le monde contemporain : la lutte des peuples contre la marchandisation de l’eau.

    Mot-clé : Education à l’environnement

  • Casa Engraçada (A), Pascale Hannoyer, 2008

    L’association carioca « Se essa rua fosse minha » accueille des enfants des rues et des jeunes de favelas autour d’activités de cirque. Témoignages de l’espoir suscité par ce projet social.

    Mot-clé : Education

  • Génération Favela Chic, André Galego Boselli, 2008

    André filme ses camarades brésiliens, venus, comme lui, faire une partie de leurs études à Paris. Se considèrent-ils privilégiés d’avoir les moyens de vivre une telle expérience ? Quel est leur rapport aux inégalités sociales, eux qui viennent d’un pays où elles sont jugées immenses ? Se sentent-ils plus en sécurité en France ?

    Mot-clé : Education

  • Calango Lengo, Fernando Miller, 2008

    Calango Lengo, du Nordeste du Brésil, doit accomplir son destin sans avoir de quoi manger. Mais avec la sécheresse, il n’y a pas d’autre destin que de vivre en fuyant la mort, comme la souris fuit le chat.

    Mot-clé : Education à l’environnement

  • Grenoble Xeme édition contre le racisme et pour l'égalité

    Cette campagne se déroule chaque année autour du 21 mars. Portée par la Mission Lutte contre les Discriminations (service Citoyenneté et DSU) de la Ville de Grenoble, elle est le fruit d'un travail collectif ,sur le long terme, qui mobilise près de 150 acteurs d'horizons divers dans des projets de réflexion ou d'échanges, de sensibilisation et d'éducation contre le racisme. Cette 10ème édition de "Grenoble contre le racisme et pour l'égalité" a été coordonnée par l'ODTI (Observatoire des Discriminations sur les territoires Interculturels).

  • Flash banlieue 1 et 2

    Flash banlieue 1 : Reportage sur l’association SFMAD d’Epinay, un centre d’éducation. Parmi les axes de travail pour un groupe de jeunes issus de l’immigration : travail sur la citoyenneté, l’emploi, et un atelier de théâtre pour apprendre à parler devant un public. Flash banlieue 2 :Interview d’une éducatrice de la Fondation Jeunesse Feu Vert originaire de la Guadeloupe : sa vie dans le DOM-TOM, l’arrivée en France en tant que militaire dans l’armée, l’expérience du racisme, la reconversion en éducatrice dans le 93.

  • Zahia Ziouani Une chef d'orchestre entre Paris et Alger, Valérie BREGAINT

    Zahia Ziouani a 32 ans, elle est la plus jeune chef d'orchestre française et dirige, en plus de sa carrière internationale, le Conservatoire de musique et danse de Stains (93). Ce "Portrait de Zahia en chef d'orchestre" est emblématique de l'aventure contemporaine d'une femme et d'une région, ainsi que des aléas de sa diversité. Il propose différentes rencontres entre Zahia et son entourage, l'orchestre et le public. Il nous mène sur les traces de cette jeune femme généreuse qui construit en brisant les préjugés : entre Paris et la banlieue, où elle accueille à Stains, en tant que Directrice du Conservatoire, des jeunes de trente nationalités différentes, entre la France et l'Algérie car elle y dirige l'Orchestre National en tant que Chef invitée depuis 3 ans. Le film aborde les questions qu'elle se pose en tant qu'actrice du monde musical dans l'Europe d'aujourd'hui : sur l'identité, l'éducation et le rapport aux médias, la création. Les réflexions et l'expérience de Zahia Ziouani ouvrent des perspectives, comme autant de promesses. À l'image de Zahia, le film engage aussi une recherche formelle portant sur les limites de la représentation.

  • Vivre ensemble

    "Ce DVD vidéo de 3 heures de programme interactif a pour ambition de guider d'une manière simple et ludique les jeunes de 5 à 10 ans dans leur découverte de la citoyenneté, en jetant des passerelles entre imaginaire, monde réel, témoignages vécus et décryptage des lois et principes démocratiques et républicains. Il propose neuf albums de la littérature jeunesse adaptés à l'écran pour rêver à un monde plus juste et plus fraternel ; des citations d'hommes et de femmes qui, au cours de l'Histoire, ont fait avancer les principes de liberté, égalité et fraternité ; des reportages sur l'application de la Convention internationale des Droits de l'enfant pour construire un monde plus digne ; des paroles citoyennes, comme celle d'Albert Jacquard, humaniste, ou de Jacques Hintzy, président d'Unicef France, pour rappeler que l'avenir de la planète concerne petits et grands ; des explications sur les valeurs de la République pour une éducation à la citoyenneté dès l'école."

  • Vacances au Pays, Jean-Marie TENO

    "Un voyage qui traque le fantasme de modernité qui hante la société camerounaise.Après les ravages de l'esclavage et de la colonisation, le continent africain est confronté à une autre sorte d'anéantissement : l'éducation qui pérennise dans les consciences, un complexe d'infériorité et de dépendance vis-à-vis de l'Europe et établit dans la société une hiérarchie au bas de laquelle se trouve le villageois. En refaisant ce voyage que je faisais il y a trente ans de Yaoundé, la grande ville vers Bandjoun, mon village, pendant les grandes vacances, j'essaie de cerner les espoirs, les regrets, les peurs et les frustrations des gens ordinaires face aux changements qui leur sont imposés. Le film interroge avec ironie la notion de développement, associée en Afrique à une modernité "tropicale" qui se résume dans la formule suivante : tout ce qui vient d'Europe est moderne, tout ce qui est local est archaïque et doit disparaître. Il part à la recherche de cette humanité qui semble disparaître progressivement en même temps que s'impose le modèle unique et global." "Vacances au Pays" est une réflexion personnelle sur l'obsession de modernité, un modèle de développement pour le moins problématique qui tourne le dos au progrès pour se conformer à n'importe quel prix à ce moule, fait de misère sans fin pour les uns et d'un contestable assistanat fort rentable pour les autres." - Jean-Marie Teno.

  • Trajectoires, SEBBAN Gabriel, SEBBAN Marie-José

    3 classes de 3 établissements d’Eure et Loir, partent en voyage à Paris à la Cité de l’histoire de l’immigration, avec des migrants. Les jeunes expriment leurs représentations et leurs repères sur l’étranger, les vieux, l’immigration, l’éducation. Les anciens d’origines diverses, confient leurs trajectoires de vie et leurs visions de la société. Les 2 générations se découvrent, se surprennent et se livrent parfois avec émotion et toujours avec bienveillance. La rencontre a eu lieu. (Résumé éditeur)

  • Salam Alikoum Bernard, Adam PIANKO

    Rencontre à Marseille avec l'humoriste Fellag, sur la scène du théâtre de La Criée où il présente son spectacle "Djurdjurassic Bled", et sur le front de mer ("l'Algérie, c'est juste en face"), pour des commentaires sur le même ton incisif que son one-man-show. En contrepoint, des spectateurs témoignent des rapports d'amour et de rejet entre l'Algérie et la France, et du choc des cultures (les modes de vie, les relations hommes et femmes, etc.). "On va couler la France. On va ramener tout notre savoir-vivre, la haute technicité, le désert clefs en main : on va s'intégrer par la désertification !" Le ton est donné, la gravité du sujet explose en éclats de rire. La responsabilité coloniale, la question identitaire, la censure politique et morale, la frustration de la séparation des sexes, l'ombre de l'intégrisme, tout y passe, mais avec légèreté. Deux Marseillaises d'origine algérienne et le mari de l'une d'entre elles évoquent le "bled" et l'Estaque, leur éducation, en France, par leurs parents nouvellement immigrés, et ce qu'ils transmettent à leur tour à leurs propres enfants. À l'heure du repas, le couple, jovial, discute et déjoue les clichés : lui aime le saucisson, alors qu'elle préfère ne pas donner de porc aux enfants. Fellag, après un faux salut, finit sur une note d'espoir pour l'Algérie et nous adresse une dernière pirouette : "La thérapie est terminée !" M.G./ (Marie-Christine Balcon, CNC-Images de la culture)

  • Les enfants du Borinage, Patrick JEAN

    Après la vision de "Misère au Borinage" de Storck et Ivens, je décide de retourner au Borinage, lieu de mon enfance, pour écrire une lettre-film à Henri Storck à propos de la misère sociale qui s'est perpétuée jusqu'à mon époque. Faux candide, je découvre dans les quartiers les plus pauvres, les conséquences les plus ignobles de l'horreur économique. [...]Pauvres de générations en générations, les personnages sont des "désaffiliés" pauvres parce qu'inutiles à l'intérieur d'une société qui n'a plus besoin de leur main d'½uvre non qualifiée, ils sont tout simplement oubliés. Leur misère est avant tout intellectuelle, leurs enfants se retrouvent souvent dans des écoles pour handicapés mentaux légers parce qu'ils ne sont pas stimulés par leur milieu. D'autres ne vont pas à l'école du tout. Privés d'éducation et d'instruction, les générations se suivent et perdent jusqu'à leur capacité de revendiquer. A force d'être méprisés, il se méprisent eux-mêmes. Ils souffrent en silence dans une violence de tous les jours. (Patric Jean)

  • La tribu Akbal, Bernard CORTEGGIANI

    Trois générations d'une famille issue de l'émigration algérienne nous font partager leur quotidien ; la caméra parfois met en scène, mais jamais ne commente. Les sujets abordés portent sur les différences culturelles, notamment la notion de respect, la transmission des cultures, l'intégration, l'ouverture à la société française, etc.Le père est venu travailler en France, puis il a fait venir sa femme, et les huit enfants y sont nés. Dans un premier temps, la mère cherchait à tout prix à apprendre le français, elle écoutait les radios françaises plutôt qu'arabes ; aujourd'hui, quand elle cuisine, elle chante toujours des chansons kabyles. Les enfants ont choisi d'habiter en cité ou en pavillon, dans la banlieue de Paris ou en Lorraine. Certains ont fait circoncire leurs fils sans se poser de questions, d'autres attendent qu'ils soient grands pour prendre la décision. Pour cette deuxième génération "la famille a bien poussé" et c'est à la mère que l'on doit cela ; elle est l'exemple de ce qu'il faut faire pour l'éducation des enfants. Quant aux petits-enfants, le "bled" est avant tout leur livre de grammaire... (Nathalie Magnan, CNC-Images de la culture).

  • La télévision, une compagne bruyante pour une solitude muette, Yamina BENGUIGUI

    Des images fugitives d'un foyer de travailleurs migrants, en 1969. Trente ans plus tard, Yamina Benguigui s'y attarde pour saisir les bribes d'un quotidien rythmé par la cuisine, les repas et les jours de lessive. Une monotonie que, seule, la télévision parvient à rompre, offrant une ouverture sur le monde et sur le pays d'origine. Instrument d'éducation, de jeu ou de plaisir, c'est une amie fidèle pour lutter contre l'ennui. C'est sur le ton de la confidence que retraités ou actifs nous ouvrent les portes de leur univers télévisuel. Pour l'un d'eux, qui vit au foyer depuis trente ans et passe maintenant ses journées allongé devant l'unique chaîne de son poste qu'il bichonne, tous les jeux sont bons à regarder afin de ne pas laisser le cafard l'envahir. Pour certains, grâce aux antennes paraboliques, la petite lucarne suscite l'espoir d'apercevoir un ami ou un membre de la famille dans les rues d'Alger... Ainsi, l'Algérie devient plus proche qu'autrefois. Pour d'autres encore, le plaisir d'écouter "ceux qui savent bien parler, comme les journalistes ou les ministres", est une motivation pour suivre journaux d'informations, reportages et documentaires. Et puis, il y a les séries où "les policiers ne sont pas contre nous, mais contre les voleurs et les assassins !". Quelqu'un résume la situation : "La télévision est l'amie de tout le monde." (Sadia Saïghi, CNC-Images de la culture)

  • La rime et la raison, Francis GUIBERT

    A travers une huitaine de cités françaises, sont présentés différents modes d'expression du mouvement hip-hop (rap, raggamuffin, tag, graf, squat). Dans les sound systems ou interviews, les jeunes - noirs, blancs et beurs - disent haut et fort leur inquiétude et leur révolte. Sont notamment montrés les groupes connus de l'hexagone : Massilia Sound System et IAM. A Saint-Denis, Strasbourg, Marseille ou Bordeaux, les rebelles de la rime fustigent la drogue, l'injustice, le racisme et la marginalisation à laquelle le système les condamne. Ils réclament l'égalité des chances, une véritable éducation. "Dans le rap, l'agressivité est canalisée artistiquement pour éviter des crimes", témoigne l'un d'eux. Des images de Vaulx-en-Velin rappellent la colère des laissés-pour-compte. On voit des jeunes peindre un graf géant sur un mur. D'autres expliquent pourquoi ils squattent un appartement. IAM interprète la chanson "Non soumis à l'Etat" au centre des jeunes détenus de Fleury-Mérogis. Pour Massilia Sound System, le "posse" (groupe, famille) de Marseille qui "parla patois", le rap est "une façon d'utiliser les medias pour s'adresser au monde." (Fara C., CNC-Images de la culture)

  • La baraque de Monsieur Hadj, Daniel PELLIGRA

    "Depuis la baraque de son jardin familial, Mohamed Hadji raconte sa vie, l'éducation de ses enfants, dans un français aux couleurs de la Méditerranée. " (D. Pelligra).

  • invitation à quitter la France, Marion STALENS

    Elèves au Lycée Jules Ferry à Paris, Ivan, colombien, et Rachel, camerounaise, sont sous le choc de la lettre de la Préfecture reçue à leurs 18 ans, les "invitant à quitter la France dans un délai d'un mois". En suivant au plus près la mobilisation des enseignants, lycéens et parents d'élèves pour soutenir Ivan et Rachel dans leurs démarches, Marion Stalens retrace les solidarités spontanées qui déclenchèrent le Réseau Education sans Frontières. Leur vie bascule. Ivan et Rachel, culpabilisés, réalisent qu'ils sont des sans papiers, avec, pourtant, "des liasses de papiers compliqués à remplir" comme ironise la déléguée des parents d'élèves. La solidarité s'organise : accompagnement des élèves à la Préfecture, pétitions, banderoles aux fenêtres du lycée. Premier succès : la délivrance d'une Autorisation provisoire de séjour. Mais tout reste à faire. En salle des profs, les discussions sont vives : certains prônent le soutien au mérite, d'autres que tous les élèves ont le droit de rester en France. Peu à peu, on sort des cas particuliers pour entrer dans une prise de conscience plus collective sur la nécessité d'un choix de société. Le tout nouveau RESF est contacté pour défendre les dossiers à la Préfecture et "semer les germes d'un engagement citoyen". Rachel et Ivan vont finalement obtenir leur titre de séjour. Ce qui ne sera pas le cas de Jeff, un autre élève, dont tous vont tenter, jusqu'à l'aéroport, d'empêcher l'expulsion.(Doucha Belgrave - CNC-Images de la culture)

  • Ici et là-bas, Elsa PICON

    "Tourné entre Paris et Dagana, le film "Ici et là-bas" part à la rencontre des acteurs directs du partenariat Vitruve / Dagana (membres de l'association Réunion Dagana, réalisateurs, enfants, professeurs, parents d'élèves, ...), de ses premiers pas à la conception et à la mise en place de la réalisation des lettres filmées, en passant par la diffusion des films à Dagana et à Paris, le tout couvrant plusieurs années de travail sans faille. Il s'agit d'explorer la question du dialogue et de l'échange via la mise en place du projet sur toute sa durée, de ses origines écrites à la création de l'association "Réunion Dagana", en passant par la conception d'une correspondance filmée engageant une structure de financement et une logistique beaucoup plus ambitieuses. "Ici et là-bas" s'attache à explorer la trace sensible laissée par l'aventure du tournage chez les élèves de Vitruve et de Dagana : la pratique artistique est un des points centraux du projet. L'expérience très forte du tournage des lettres filmées, à Dagana, a mobilisé une quantité d'énergies de la part du village tout entier (familles, parents d'élèves, voisins, etc.) dont le film recueille les témoignages sur le terrain. La diffusion des films à Dagana et à Paris, enfin, fut un moment clé de cette expérience. "Ici et là-bas" explore toutes les facettes de cette aventure (éducation à l'image, pratique artistique, dialogue interculturel) en se situant à la fois dans une perspective intime (le recueil d'une parole fragile) et collective (la question du projet en tant que structure)." -(Arcadi)

  • Histoire sans papiers, Anice CLEMENT, Mélanie Claudine TRASCHLER DUMOULLIN

    Juan est colombien, il a 11 ans et vit en France depuis 6 ans. Les lois Sarkozy de juin 2006 on fait de lui et de sa famille des sans papiers. Pour Juan, Lorena sa mère et Jairo son père, chaque jour est un jour d'angoisse, l'angoisse de la rafle, de la reconduite à la frontière. Cependant, le soutien s'organise autour d'eux, avec les parents référents et le réseau Education sans frontières.

  • Enquête d'identité, Mohammed LARKÈCHE, Seddik LARKÈCHE

    Loin des discours éculés et condescendants, Seddik et Mohammed Larkèche proposent une réflexion intelligente, profonde et résolument optimiste sur les problèmes d'insertion des populations immigrées dans la société française. Les témoignages d'acteurs sociaux et économiques alternent avec les interventions de chercheurs au CNRS, et confèrent à ce film une approche à la fois théorique et solidement ancrée dans le réel. Pour les uns, historien, sociologue, démographe, les problèmes d'insertion de la communauté algérienne proviennent des contentieux historiques d'une guerre fratricide, de la difficulté d'accepter l'égalité avec un peuple anciennement colonisé, de l'absence de volonté politique et de relève pour assurer sa promotion, de la télévision qui renvoie une image négative des Maghrébins. Pour les autres, tous enfants d'immigrés - une jeune commissaire de police, une avocate, un cardiologue, des chefs d'entreprise -, c'est le pragmatisme qui prévaut. Pour eux, la base de toute insertion sociale et culturelle passe d'abord par : la réussite économique, "un état d'esprit de gagneur", le refus de toute ghettoisation, faire de sa différence un atout, croire en l'éducation. Si ce kaléidoscope d'opinions diverses et variées donne à réfléchir, toutes rappellent de ne "jamais renoncer à son identité". (Sadia Saïghi, CNC-Images de la culture)

  • Enfants valises, Xavier de Lauzanne

    En France, l'école a pour obligation d'accueillir tous les mineurs de moins de 16 ans, français ou étrangers, en situation légale ou non. Pour de nombreux adolescents migrants, ballotés d'un continent à l'autre, elle incarne un espoir de stabilisation et d'intégration. Le réalisateur Xavier de Lauzanne a posé sa caméra sur les bancs de l'école où Aboubacar, Dalel, Hamza, Thierno et Tako font leurs premières armes... Jolis portraits d'ados aux parcours de vie tortueux, dont l'espoir réside dans l'éducation... (Résumé éditeur)

  • Café ou thé?, MOULAï Olivier

    Réalisé dans le cadre du programme départemental d'éducation artistique et culturelle pour les collèges de l'Hérault : résidence de recherche et de création au collège Arthur Rimbaud, Montpellier Le déracinement se raconte à travers le goût du thé ou du café. Ces récits de vies, faits de rêves accomplis et de désillusions, contribuent à l'élaboration d'une histoire de l'exil plus universelle. Les gestes répétitifs de la préparation du breuvage, ses goûts et ses senteurs font resurgir en nous le passé le plus lointain. Mais comme le café ou le thé, la mémoire retrouvée et partagée peut laisser parfois un goût sucré, doux ou amer...... (Présentation éditeur)

  • A l'impossible chacun est tenu, Alain SAULIERE

    Reportage au Havre, quartier du Bois de Bléville, été 1997. Les quelque 6 000 habitants de cette banlieue décrétée zone franche veulent croire, malgré les doutes, au renouveau de leur quartier. Une mutation engagée par les élus, mais aussi par les associations locales impliquées dans l'amélioration de la vie quotidienne, l'éducation, l'alphabétisation et la création de nouveaux emplois. "Avant, c'est nous qui salissions, maintenant, c'est nous qui nettoyons." De début 96 à fin 97, 35 emplois ont été créés dans ce quartier, 19 de plus aux alentours et cette nouvelle embauche a fait régresser la petite délinquance liée au chômage. Les jeunes du quartier entretiennent les (rares) espaces verts, l'association africaine s'attache à alphabétiser les parents et à proposer des activités aux enfants après l'école : soutien scolaire, mais aussi ateliers et fêtes... Parallèlement, à la régie de quartier, élus, éducateurs et associatifs s'appliquent à créer des passerelles entre banlieue et ville, à inciter les entreprises à s'installer dans la zone franche et à pérenniser les structures mises en place. (Doucha Belgrave, CNC-Images de la culture)

  • 95.5 spécial dédicace, Marie DOLEZ

    Née en 1993 dans un collège de Mantes-la-Jolie, Radio droit de cité se bat six ans plus tard pour obtenir du CSA le partage de la fréquence détenue par l'Education nationale. Marie Dolez suit pendant plusieurs mois les différentes étapes d'une émancipation qui soulève, non sans heurts, le débat du passage d'une pratique amateur au professionnalisme. Avant tout outil d'intégrations sociale et professionnelle, RDC gagnera son pari. Et si Radio droit de cité contribuait à changer l'image et la réputation du Val-Fourré, ce quartier de 28 000 habitants majoritairement immigrés ou issus de l'immigration dont 25% sont au chômage ? Les quatre-vingt jeunes qui l'animent, pour la plupart bénévoles, s'y emploient. L'équipe permanente, quant à elle, cherche une reconnaissance professionnelle, synonyme de plus d'autonomie. Lors de réunions parfois houleuses, on met à plat les financements, on redéfinit les stratégies. Quelle identité ? Quelle cible ? Quel code de conduite adopter ? Entre deux émissions musicales ou de micro-trottoir, où certains animateurs en sont encore à leurs balbutiements, on assiste aux visites du sous-préfet - qui affirme préférer le "liant social" à la "pagaille" -, du ministre de la Ville, Claude Bartolone, et du sociologue Pierre Bourdieu. (Marie-Christine Balcon, CNC-Images de la culture)

  • Cinema engenho, Dácia Ibiapina, 2007

    José Ribeiro de Medeiros, né en 1923, nous raconte son passé de projectionniste ambulant dans les usines et les villes de l’intérieur de l’Etat du Paraíba. Dans son garage, entouré de sa collection de projecteurs, il évoque son travail, de village en village, de fête en fête et son envie de transmettre cette collection à son petit-fils.

    Mot-clé : Education à l’image

  • Teatro Mascarado na Bahia, David Van de Woestyne, 2007

    Un ancien théâtre dans un petit village dans l’Etat de Bahia est occupé et récupéré par des jeunes. Ils réaménagent le théâtre et commencent à produire des activités culturelles. Le film présente l’une de ces activités, une formation au théâtre de masques. Les jeunes construisent leurs masques, répètent et font des exercices pendant trois semaines. A la fin, ils invitent les riverains pour une présentation de leur travail.

    Mot-clé : Education

  • Agentes da libertade, Felipe Wainer, 2006

    Illustration par l’exemple d’une favela, du travail des agents de la liberté, programme d’aide à la réinsertion et au soutien des proches. Réflexion sur la justice, la prison et ses échecs.

    Mot-clé : Education

  • Gente luta mas come fruta (A), Isaac Piyãko Ashaninka, Bebito Piyãko Ashaninka, 2006

    Le peuple Ashaninka, vivant à la frontière péruvienne, a vu son territoire délimité en 1992. Avec la destruction de la forêt, les invasions de différentes populations sur leurs territoires, ne pouvant plus vivre de la chasse, la pêche et du bois, ils ont commencé à produire des objets d’artisanat. Puis ils ont décidé d’une planification pour la faune et la flore en éduquant les plus jeunes à la préservation des plantes et des animaux.

    Mot-clé : Education à l’environnement

  • Mestre Leopoldina, a fina flor da malandragem, Rosa La Creta, 2006

    Mestre Leopoldina nous raconte sa vie et, par la même occasion, nous décrit l’univers et l’évolution de la capoeira, ainsi comme sa philosophie.

    Mot-clé : Education

  • Caminho da Escola Paraná, Heloisa Passos, 2006

    Un film sur les enfants des travailleurs da Serra Do Mar qui doivent faire jusqu’à 4 heures de marche par jour pour aller à l’école.

    Mot-clé : Education

  • Lévi-Strauss : Saudades do Brasil, Maria Maia, 2005

    Reconstitution de l’expérience qu’eut Claude Levi-Strauss au Brésil dès 1935. Claude Levi-Strauss fut alors professeur invité à la USP (Université de São Paulo). Des extraits des textes de Claude Levi-Strauss sont lus, ainsi que des lettres de Dina Dreyfus, son épouse. Avec la participation de Claude Levi-Strauss lui-même, et aussi d’autres grands chercheurs, et notamment de Caetano Veloso.

    Mot-clé : Education

  • Amapá, Pierre-Yves Dougnac, 2005

    L’Amapá vécut entre 1994 et 2002 une expérience de développement durable initiée par la volonté politique. Sénateurs, policiers, instituteurs, ouvriers agricoles, commerçants, témoignent de cette aventure. Le film nous entraîne dans le quotidien des diverses communautés vivant au bord de l’Amazone dans l’Etat de l’Amapá.

    Mot-clé : Education à l’environnement

  • Mulheres das Aguas, Beto Novaes, 2016

    Un portrait de la vie et de la lutte des femmes pêcheurs dans les mangroves du nord-est du Brésil.

    Mot-clé : Education à l’environnement

  • Mini cine Tupy, Sergio Bloch, 2002

    Pendant la semaine, José Zagati collecte des cartons pour les recycler. Le dimanche, il projette de vieux films dans son garage pour les enfants du quartier. Une salle de cinéma montée de toutes pièces avec du matériel récupéré.

    Mot-clé : Education à l’image

  • Catedra Libre de Soberanía Alimentaria, 2015

    Mot-clé : éducation/sensibilisation

  • Ultimas conversas, Eduardo Coutinho, 2015

    Réalisé par Eduardo Coutinho, décédé en février 2014 et qui fut à l’avant-garde du documentaire brésilien des années 1960 à 1990, et terminé par João Moreira Salles, figure du documentaire brésilien contemporain, Últimas conversas est un petit bijou d’humanité qui aborde avec de jeunes Brésiliens des thèmes aussi variés que la famille, l’amour, la religion, l’identité, la discrimination, le harcèlement, le tout dans une extrême simplicité scénographique. Réalisé à partir des entretiens que le réalisateur a effectués avec des lycéens, peu avant sa mort en février 2014, ce film tente de décrypter les manières dont les adolescents pensent, rêvent et vivent aujourd’hui.

    Mot-clé : Education

  • Educação popular e economia solidaria em Brasil, 2013

    Mot-clé : Education Populaire

  • Casa menina mulher, Nicola Avanzini

    Recife, la Casa Menina Mulher accueille des jeunes filles, des communautés pauvres de Recife qui ont eu une vie très déstructurée et ont déjà été confrontées au sexe, à la drogue etc… Leur reconstruction passe par des activités culturelles et pédagogiques. (Attention 2 interventions en italien non sous titrées)

    Mot-clé : Education

  • Omar, Sébastien Gabriel, 2010

    Omar, un jeune homosexuel noir vivant dans une cité, vit un amour caché avec Arthur…

  • Tukki Bi, Jenny MAGGI, Dame SARR, 2009

    "Dame Sarr, lors d'un voyage de retour dans sa communauté d'origine à Louga au Sénégal, interroge les habitants autour de la migration. Jeunes qui rêvent de partir, agriculteurs, pêcheurs, acteurs du développement, femmes de migrants et le marabout de la communauté dévoilent au fil des conversations leur image de la migration. La compréhension des causes et des conséquences de la migration sénégalaise est illuminée par la perspective de ces divers acteurs." Université de Genève

    Producteurs : Université de Genève. Section des sciences de l'éducation

  • La force de regarder demain, Euzhan Palcy, 2006

    Comment trouver la force de "regarder demain" après les désillusions de la décolonisation, les dérives de la Négritude, les échecs du tiers-mondisme, la "maladie du développement" et face à la crise planétaire? (Présentation éditeur)

    Producteurs : JMJ productions Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)

  • L'île veilleuse, Euzhan Palcy, 2006

    La vie, l'oeuvre et l'action politique du poète. Césaire nous fait découvrir sa Martinique. (Présentation éditeur)

    Producteurs : JMJ productions Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)

  • Au rendez-vous de la conquête, Euzhan Palcy, 2006

    l'éthique, la théorie et la philosophie de la Négritude. Les différentes rencontres du jeune étudiant Aimé césaire à Paris avec des penseurs, des intellectuels; sa rencontre avec l'Afrique par le biais du jeune Senghor. (Présentation éditeur)

    Producteurs : JMJ productions Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)

  • Misère au Borinage, Joris Ivens, Henri Storck

    "Crise dans le monde capitaliste. Des usines sont fermées, abandonnées. Des millions de prolétaires ont faim ! C'est sur ces mots de manifeste et de révolte que s'ouvre ce film fondateur du cinéma belge et une des références les plus importantes du film documentaire. En 1932, une grande grève avait paralysé les charbonnages de Wallonie et la réponse patronale et policière avait été sans pitié, le tout dans la sous-information et l'indifférence de la majorité du pays. André Thirifays, Pierre Vermeylen et tous les jeunes gens du club de l'écran indignés décidèrent de témoigner de cette misère noire avec leur arme à eux, une caméra. Aidés par un médecin et un avocat, avec très peu d'argent, devant se cacher de la police mais soutenus par toute la population, le tournage se passa dans des conditions difficiles et exaltantes. Le film est dur, magnifique. Il a gardé toute sa force, son impact émotionnel d'indignation et de compassion. Il a donné à la classe ouvrière les images les plus fortes de son histoire et de ses luttes. Parmi elles : les expulsions, l'entassement des enfants dans les maisons taudis, leurs visages émaciés et absents, la procession avec le portrait de Karl Marx, le ramassage du mauvais charbon sur les terrils à l'aube, le mineur mendiant etc., sans oublier le choc du raccord des plans : les maisons vides, alors que des sans-abri dorment dehors, une quasi-famine et aucune aide tandis que des sommes importantes sont dépensées pour la construction d'une église..."

    Producteurs : Education par l'image Club de l'Ecran