Quand le cinéma donne envie de changer le monde...

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  • Autres Brésils : 150 résultats

    décryptage de la société brésilienne pour un public francophone

  • Socioeco.org : 81 résultats

    site ressources de l’économie sociale et solidaire

  • Autour du 1er mai : 77 résultats

    base des films qui interrogent la société

  • Médiathèque A. Sayad : 14 résultats

    musée de l’histoire de l’immigration

  • BED (Bretagne et diversité) : 7 résultats

    films emblématiques de la diversité culturelle dans le monde

  • Brésil: les monnaies locales au secours des impacts de la pandémie, 2022

    Grand reportage RFI

    Mot-clé : Brésil

  • Poète en Amazonie (Un), José Huerta, 2022

    Un poète en Amazonie est un documentaire poétique et politique. À travers le parcours de César, ses rencontres et son café de la poésie, devenu lieu d’une résistance à travers les mots, ce film propose une réflexion intime du Brésil de Bolsonaro, un pays fracturé qui a basculé dans un autre monde, celui de la peur et de l’incompréhension.

  • Nice, bonne au Brésil, Armelle Giglio-Jacquemot, 2009

    Originaire d’un petit village du sud-est du Brésil qu’elle a quitté dans l’espoir d’une vie meilleure, Nice est bonne à demeure dans une grande maison où elle vit confinée. Au service des autres, sa vie s’écoule loin de chez elle, dominée par la solitude et le labeur répétitif d’un travail mésestimé. Le film donne la parole à Nice qui nous livre son vécu de bonne à tout faire et nous entraîne par moments dans l’au-delà du travail domestique avec ses joies, ses projets, ses craintes.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Aller simple pour le Brésil, Marie-Laure Pelosse, Murielle Levy, 2009

    Nadine a vécu en Asie, au Danemark, à Londres avant de s'intaller au Brésil, où elle a eu l'idée de réunir des stylistes français et des couturières des favelas. Ses collections triomphent dans les boutiques chics. (Présentation éditeur)

  • Mobilisation vers une loi-cadre en économie sociale et solidaire au Brésil (Daniel Tygel), 2012

    Mot-clé : Brésil

  • Catadores, recycleurs de rue au Brésil, Sonia Ben Messaoud, Laetitia Martin, 2016

    Longtemps marginalisés et stigmatisés, certains recycleurs de rues brésiliens, les catadores , se sont progressivement organisés pour la reconnaissance de leurs droits et de leur profession.

  • Pépites vertes du Brésil, François Picard, Cécile Clocheret, 2012

    Traversée du Brésil à vélo. De l’arrière-pays couvert de champs de soja aux favelas de Rio, 4500 kms de routes émaillés de rencontres avec des acteurs écologiques audacieux. Chacune de ces « pépites vertes » trace la voie d’une croissance plus respectueuse de la planète. Au ruthme de leurs montures, les voyageurs arpentent des espaces spectaculaires et nous présentent des Brésiliens dont les initiatives vont à contre-courant du modèle dominant.

  • Les indiens munduruku : tissant la résistance, Nayana Fernandez, 2014

    Les Munduruku luttent contre les projets d'implantation de barrages hydro-électriques, par le gouvernement brésilien.

  • A ultima floresta, Luiz Bolognesi, Davi Kopenawa, 2021

    Au Brésil, le territoire des Yanomami est menacé par les chercheurs d’or. Davi Kopenawa, chaman et chef de la communauté ainsi que co-auteur du film, se bat pour préserver ces terres pour les générations futures. Tourné dans une jungle luxuriante où mythe et réalité se confondent, A ultima floresta est une véritable leçon sur le sens de la résistance.

  • Aventure nommée Brésil (Une), Kakie Roubaud, 2010

    Comment un pays grand comme deux fois l’Europe invente la démocratie participative : tout juste sorti de la dictature à la fin des années 1980, le Brésil adopte une constitution progressiste et tente de prendre à bras-le-corps la violence urbaine, la sécheresse, la déforestation, le pillage des ressources naturelles… Des problématiques mondiales, auxquelles il cherche des solutions inédites, multipliant les expérimentations « citoyennes ».

  • Histoire à soi (Une), Amandine Gay, 2021

    Iels s’appellent, Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira, Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou d’Australie. Ces cinq personnes partagent une identité : celle de personnes adoptées. Séparé·es dès l’enfance de leurs familles et pays d’origine, iels ont grandi dans des familles françaises. Leurs récits de vie et leurs images d’archives nous entraînent dans une histoire intime et politique de l’adoption internationale.

  • Les Rebelles du foot, Gilles Perez, Gilles Rof, 2015

    Cinq nouveaux joueurs à découvrir, avec la participation d'Eric Cantona. "Honey Thaljieh (Palestine)" : Palestinienne, chrétienne, femme et footballeuse, Honey Thaljieh a du combattre toute sa vie pour la reconnaissance de son identité. Première capitaine de l'équipe nationale féminine de Palestine, cette native de Bethléem a imposé ses choix dans une société patriarcale, sur un territoire occupé, face à des préjugés incessants et avec une domination aujourd'hui du Hamas... ; "Claudio Tamburrini (Argentine)" : gardien de but d'une équipe professionnelle de Buenos Aires, Almagro, Claudio Tamburrini n'est pas un footballeur comme les autres dans l'Argentine de la junte militaire. En 1977, il suit des cours de philosophie à l'université et milite dans des associations de gauche. Quelques mois avant le début de la coupe du Monde 1978, il sera arrêté, retenu arbitrairement et torturé pendant cent vingt jours dans la Mansion Séré, un camp de concentration tenu par l'armée de l'air. Il réussira à s'échapper quelques semaines avant le début du Mundial, se cachant pendant plusieurs mois. Avant de s'enfuir en Suède, où il va passer le reste de sa vie, Tamburrini va fêter, avec tout le peuple argentin, la victoire de la sélection en finale de la coupe du Monde.. ; "Cristiano Lucarelli (Italie)" : communiste proclamé, fou de son club, Livourne, anti-Berlusconi et ennemi du football-fric, Lucarelli a connu une carrière agitée. Son talent et son efficacité de buteur lui ont permis de survivre dans un milieu où il ne comptait plus ses ennemis. A la fin de sa carrière, il a décidé d'ouvrir un journal d'opinion dans sa ville natale. Cristiano Lucarelli est un personnage à part dans le football italien... ; "Afonsinho (Brésil)" : ancienne gloire du football brésilien, il est considéré par beaucoup comme un véritable pionnier dans la conquête des droits des athlètes de son pays. En 1971, en pleine junte militaire, Afonsinho se lance dans une grande bataille juridique contre son club de Botafogo qui lui reproche son engagement politique et son look subversif, et obtient un laissez-passer qui lui permet de changer d'employeur. En réussissant à faire valoir ses droits, Afonsinho devient le premier footballeur émancipé du Brésil... ; "Saturnino Navazo (Espagne)" : Navazo Tapia Saturnino. Joueur de football pendant les années de la République, a fui l'Espagne quand la guerre civile a éclaté. Saisi par l'armée allemande à la frontière française, il est déplacé près d'autres Espagnols au camp de concentration de Mauthausen, en Autriche. De là il continuera à jouer au football avec les autres prisonniers du camp de Matthausen. (Résumé éditeur)

  • Le sel de la terre, Wim Wenders, 2014

    Itinéraire artistique et humain autour de la planète, en compagnie du photographe brésilien Sébastiao Salgado.

  • Movimento - L’engagement de l’église brésilienne, Marcello Lunière, 2008

    Frei Betto a une longue trajectoire de militance au sein de l’église brésilienne. Son histoire commence pendant la dictature : ll participe activement à l’organisation de la lutte de résistance, à la création des Communautés Ecclésiastiques de Base et au renforcement des liens entre l’église et les mouvements sociaux. Il participe aussi aux grèves ouvrières qui sont à l’origine du PT et il endosse des fonctions politiques au début du gouvernement de Lula. Dans ce film nous suivons son histoire, ses analyses sur le rôle des mouvements sociaux et les défis que le pays doit encore surmonter.

  • Dentro da minha pele, Toni Venturi, Val Gomes, 2020

    Comment un cinéaste blanc de classe moyenne, descendant d’immigrés italiens, peut-il parler du racisme au Brésil, le dernier pays au monde à avoir aboli l’esclavage ? Toni Venturi, documentariste brésilien, a invité la sociologue Val Gomes, noire et amérindienne, à remonter les origines de la question raciale en créant de nouveaux points de vue dans lesquels les perspectives des Noirs et des Blancs s’entremêlent.

  • Paco Pacos, belles bagnoles du Brésil, Jan Hinrik Drevs, 2004

    Dans le nord-ouest du Brésil, un inventeur a mis au point de drôles de voitures à partir de pièces détachées laissées par les orpailleurs à la fin des années 80. Ces véhicules tout terrain baptisées Paco Paco (une onomatopée qui évoque le ronronnement de leur moteur) deviennent rapidement indispensables pour le transport des hommes et des matériaux.

  • En attendant le carnaval, Marcelo Gomes, 2019

    À Toritama, petit village reculé du Nordeste du Brésil dévoué au capitalisme et à la production de jeans, la population s’offre un instant de répit pendant le Carnaval, transgressant la logique de l’accumulation des biens et recherchant le bonheur éphémère.

  • Remanescentes, Raphaël Grisey, 2015

    Un quilombo, communauté de descendants d’ancien esclaves, va naître ou plutôt chercher à redevenir visible dans une vallée menacée par une multinationale minière. En ville, la spéculation immobilière est en train d’en envahir un autre alors que les femmes de la communauté y mènent une lutte acharnée pour préserver ce qui reste et reconquérir les terres spoliées. Remanescentes est un essai documentaire sur la question quilombola et le rapport complexe qu’entretient le Brésil à ses propres origines.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Brésiliens comme moi, Susana Rossberg

    A travers la rencontre avec une communauté brésilienne croissante, en grande partie illégale, et qui se manifeste par son énergie, sa vivacité, sa diversité, ce film espère œuvrer pour une plus grande acceptation des étrangers en terre d’accueil. (Présentation éditeur)

  • Indianara, Aude Chevalier-Beaumel, Marcelo Barbosa, 2019

    Révolutionnaire hors norme, Indianara mène avec sa bande un combat pour la survie des personnes transgenres au Brésil. Face aux attaques de son parti politique et à la menace totalitaire qui plane sur le pays, elle rassemble ses forces pour un dernier acte de résistance.

  • Oyapock, 2013

    Au cœur de l'Amazonie vivent deux villes frontalières séparées par un fleuve : l'Oyapock. D'un côté le Brésil, de l'autre la Guyane. Prochainement, un pont reliera les deux pays. Seulement, les habitants restent sceptiques quant aux conséquences, bien conscients qu'il représente pour eux l'annonce d'une profonde mutation...

  • Grande histoire des peuples d’Amérique (La), Gary Glassman, Scott Tiffany, 2018

    De l’Alaska jusqu’au Brésil, plongée dans la vie quotidienne des premiers peuples des Amériques, entre culture, science et spiritualité. Une odyssée spectaculaire au fil de treize mille ans d’histoire.

  • To blo Dayi : voyage aux origines africaine de la Capoeira, José Huerta, 2013

    To Blo Dayi raconte le voyage d’un groupe de capoeira français et brésiliens sur les traces des origines africaine de la Capoeira. De Cotonou à Ouidah, rencontre avec les Agudas, le Vaudou et l’histoire de l’esclavage.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Do outro lado da cozinha, Jeanne Dosse, 2013

    La bonne mère est la deuxième mère, la mère noire de l’enfant des patrons, au Brésil et à Rio de Janeiro. Une relation d’amour pure et naïve unit l’enfant et la nounou. Pourtant derrière cette relation se cache un système socioculturel, celui qui régit la société brésilienne. La bonne mère raconte mon histoire de petite fille devenue adulte, avec Zelita, l’ancienne bonne de ma famille à Rio de Janeiro.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Alexina - Memorias de um exilio, Claudio Bezerra, Stella Maris Saldanha, 2012

    Retour sur l’exil cubain d’Alexina Crêspo, une des figures emblématiques des Ligas Camponesas do Brasil (mouvement de soutien aux paysans brésiliens initié en 1945), dans les années 1960.

    Mot-clé : Brésil | Amérique Latine

  • La cour de Babel, Julie Bertuccelli, 2014

    Ils viennent d'arriver en France. Ils sont Irlandais, Serbes, Brésiliens, Tunisiens, Chinois ou Sénégalais... Pendant un an, Julie Bertuccelli a filmé les échanges, les conflits et les joies de ce groupe de collégiens âgés de 11 à 15 ans, réunis dans une même classe d'accueil pour apprendre le français. Dans ce Petit théâtre du monde s'expriment l'innocence, l'énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie, remettent en cause beaucoup d'idées reçues sur la jeunesse et l'intégration et nous font espérer en l'avenir...(résumé éditeur)

  • On vous parle du Brésil : Carlos Marighela, Chris Marker, 1970

    Portrait funèbre du résistant communiste tombé sous les balles de la junte fasciste brésilienne.

  • On vous parle du Brésil : Tortures, Chris Marker, 1969

    Témoignages de prisonniers politiques sur leurs conditions de détention et les tortures vécues au Bresil…

  • De briques et de tôles, Elsa Deshors, 2016

    Les habitants d’une favela, au Brésil, luttent pour obtenir l’assainissement collectif et s’organisent en chantiers d’autoconstruction.

  • Femmes rurales en mouvement, Héloïse Prévost, Mouvement de la Femme Travailleuse Rurale du Nordeste, 2016

    Un documentaire participatif co-construit et co-réalisé avec les militantes du MMTR-NE, le Mouvement de la Femme Travailleuse Rurale du Nord-est, au Brésil. Ce projet collectif - basé sur quatre portraits de militantes, différentes interviews et des moments de travail et mobilisation collective comme la Marche des Margaridas - aborde le quotidien de ces femmes en lutte contre le patriarcat, l’homophobie, l’agriculture intensive et polluante. Féminisme et agroécologie sont conjugués dans leur quotidien comme sur la scène politique. Ce projet de film fait partie du dispositif d’enquête de la thèse en sociologie d’Héloïse Prévost, Laboratoire LISST-Dynamiques Rurales, Université Toulouse Jean Jaurès.

  • Troisième rive (La), Fabian Remy, 2016

    Deux destinées s’entremêlent pour livrer un regard contemporain sur les rapports entre la société brésilienne et les minorités.

  • Babás, Consuelo Lins, 2010

    A partir d’une recherche iconographique, le film mélange des éléments autobiographiques et une réflexion sur le rôle et la présence des « nounous » (babás) dans le quotidien des familles aisées brésiliennes à travers le temps.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Un monde moins vert, Nicolas Muñoz, 2011

    Comment le peuple indigène Guaraní-Kaiowá, de Mato Grosso do Sul, Brésil, est atteint par l’essor du secteur de l’éthanol.

  • Entre Imagens - Intervalos, Reinaldo Cardenuto, André Costa, 2015

    Ce film-essai relate la vie et l’œuvre de l’artiste italo-brésilien Antonio Benetazzo, mort pendant la dictature au Brésil. Dans Entre Imagens des fragments de sa mémoire et de celle du pays s’entremêlent pour laisser un héritage à l’histoire du pays.

  • Quem matou Eloá?, Lívia Perez, 2015

    En 2009, Lindemberg Alves, 22 ans, s’introduit armé dans l’appartement de son ex petite amie, Eloá Pimentel 15 ans, et la garde séquestrée pendant cinq jours. Ce crime fut, à l’époque, largement diffusés sur les chaînes de télévision brésilienne. Quem matou Eloá? propose une analyse critique de la sur exposition médiatique de la violence et remet en question la manière dont les médias choisissent d’aborder les cas de violence envers les femmes. Ce documentaire met ainsi en lumière une des raisons pouvant expliquer pourquoi le Brésil se trouve au 5ème rang des pays avec le plus d’homicides envers les femmes.

  • Em três atos, Julia Murat, 2015

    Dans la mémoire de cette femme, les mouvements de son corps reprennent vie. Em três atos aborde le sujet du vieillissement du corps et confronte le deuil à la peur de mourir. C’est un film sur les cycles de la vie, sur le travail du corps, traités à travers la danse contemporaine et la parole, en revisitant les textes de Simone de Beauvoir. Chorégraphique et poétique, la danse croisée de la jeune danseuse élève de la grande chorégraphe brésilienne Angel Vianna et la mise en espace des textes de Simone de Beauvoir sur la vieillesse donnent au film toute son émotion.

  • António, Lindo António, Ana Maria Gomes, 2015

    Une enquête filmique sur l’oncle de la réalisatrice, parti au Brésil il y a cinquante ans. Cet exilé portugais a laissé derrière lui une vie de berger pour s’installer à Rio de Janeiro. Au fil des ans, il a répété à sa mère qu’il reviendrait… mais un demi-siècle plus tard, elle l’attend toujours. Au Portugal, sa famille spécule sur son existence et évoque le souvenir d’un artiste insouciant qui a brûlé la vie par les deux bouts.

  • Guerrières du babassu (Les), Paul Redman, 2015

    Ce court documentaire raconte l’histoire de femmes qui vivent de la collecte de noix de babassu au nord-est du Brésil. Face aux grands propriétaires agricoles qui leur refusaient l’accès aux palmiers de babassu, elles se sont organisées et font valoir leurs droits tout en préservant la forêt.

  • Liberté, Paul Redman, 2015

    Liberté raconte l’histoire des Quilombolas, une communauté afro-brésilienne descendant des esclaves. Malgré une reconnaissance progressive de leurs droits par le gouvernement brésilien, l’accaparement des terres par des entreprises d’extraction met en danger leur territoire et leur mode de vie.

  • Minas do Rap (As), Juliana Vicente, 2015

    Les femmes ont tardé à investir le monde du rap. Le film donne la parole à des femmes du hip-hop brésilien reconnues comme Negra Li, MC Gra et Karol Conká, abordant l’historique féminin du mouvement.

  • As minas do rap, Juliana Vicente, 2015

    Les femmes ont tardé à investir le monde du rap. Le film donne la parole à des femmes du hip-hop brésilien reconnues comme Negra Li, MC Gra et Karol Conká, bordant l’historique féminin du mouvement.

  • Sementes, Marcelo Engster, 2015

    Acteurs d’une agriculture familiale dans laquelle est produit et préservé le grain naturel et traditionnel, un groupe de petits agriculteurs du Rio Grande do Sul au Brésil s’unit pour travailler collectivement et partager les produits de leurs propres récoltes.

  • Veneno está na mesa 2 (O), Silvio Tendler, 2014

    Le Brésil est le pays qui consomme le plus de pesticides au monde avec 5,2 litres/an par habitant. Le film pointe le modèle agricole actuel et ses conséquences pour la santé publique, alors que les multinationales augmentent leurs profits jour après jour. Pourtant, d’autres alternatives, saines et durables existent et ne demandent qu’à être explorées …

  • Margem, Maya Da-Rin, 2007

    La vie des deux côtés du fleuve Amazone, entre le Brésil et le Pérou, au travers des échanges commerciaux fluviaux. Le bateau transporte aussi bien des passagers , des marchandises, des animaux. Une vraie arche de Noé.

    Mots-clés : Brésil | Amérique Latine, Brésil |Monde

  • Sur la route avec Sócrates, Niko Apel, Ludi Boeken, 2014

    En 1984, Daniel Cohn-Bendit se rendait au Brésil à la rencontre de l’équipe du Corinthians, menée par son capitaine Sócrates. Vibrant au rythme de leur printemps démocratique, les joueurs de cette équipe rêvaient d’une société équitable, bien au-delà des stades. Road-movie de Daniel Cohn-Bendit en quête de ce qu’il reste des utopies de cette démocratie en 2014.

  • Hautes terres, Marie-Pierre Brêtas, 2014

    Dans le Nordeste du Brésil, plusieurs paysans sans terre fondent une communauté avec la seule force de leurs bras et de leurs espoirs… Mais sur ce territoire hanté par la sécheresse, la gestion collective des terres et de leurs maigres ressources s’avère être une aventure difficile. Le film s’arrime à ce mouvement. Il va le regarder prendre corps, tisser des liens et construire dans l’épreuve d’une réalité désolée, une société rêvée dans une utopie.

  • Clandestinas, Fadhia Salomão, 2014

    Réalisé par Fádhia Salomão, Clandestinas recueille des histoires de femmes ayant avorté clandestinement au Brésil. Mêlant les voix d’actrices contant l’expérience d’anonymes et le témoignage de femmes qui livrent leur propre histoire, ce documentaire tente de montrer comment la criminalisation de l’avortement pénalise toutes les femmes.

  • Deusa Branca (A), Alfreu França, 2014

    En 1958, le polémique artiste et architecte Flávio de Carvalho se lance dans une expédition en Amazonie avec pour objectif de réaliser un film combinant recherche ethnographique et fiction surréaliste comptant le drame d’une femme blanche se faisant kidnapper par des autochtones. Même si le film de Flávio de Carvalho tourné lors de son expédition n’a jamais été terminé, le précieux matériel audiovisuel récolté durant ce périple est restitué, des années plus tard, par le réalisateur d’A deus branca qui rend dans ce court-métrage un dernier hommage à ce fameux artiste brésilien.

  • Setenta, Emilia Rosa Silveira, 2014

    Quarente ans après la libération de 70 prisonniers politiques arrêtés suite à la séquestration de l’ambassadeur suisse au Brésil en 1970, Setenta donne la parole à 18 d’entre eux. Qui sont-ils ? Que sont-ils devenus après avoir été détenus, torturés et exilés ?

  • Sem Pena, Eugenio Puppo, 2014

    Aucune population carcérale ne se développe aussi vite qu’au Brésil, qui est déjà la troisième plus grande au monde. Sem Pena descend dans l’enfer qu’est la vie dans les prisons brésiliennes, pour exposer les entrailles du système de justice du pays, démontrant comment la lenteur, la corruption, les préjugés et la culture de la peur ne cesse d’accroître la violence et agrandir le fossé social existant.

  • Privatizações: A Distopia do Capital, Silvio Tendler, 2014

    Panorama d’une époque marquée par le démantèlement croissant de l’État brésilien : la vente d’actifs publics au secteur privé et les politiques de privatisation traduites en faits et chiffres. Le film est une leçon sur l’histoire récente du Brésil.

  • Morri na Maré, Patrick Vanier, Marie Naudascher, 2014

    Ce documentaire a été réalisé par Marie Naudascher et Patrick Vanier, deux journalistes français travaillant au Brésil, grâce à un crowdfunding organisé par l’Agence d’investigation “Pública”, basée à São Paulo. “Je suis mort à Maré” donne la parole aux enfants de la favela Complexo da Maré, à Rio de Janeiro, et explore leur vision de la violence. Maré est aujourd’hui encore l’une des favelas les plus dangereuses de la ville, partagée entres les factions rivales, les milices et les incursions de la police. Comment les enfants perçoivent-ils cette réalité ? Quelles sont leurs peurs?

  • Dominguinhos, Joaquim Castro, Eduardo Nazarian, Mariana Aydar, 2014

    Portrait du légendaire compositeur, accordéoniste et interprète. Au gré de séquences d’archives et d’entretiens récents, découverte d’un musicien généreux et authentique, reconnu comme l’un des plus grands interprètes de la Musique Populaire Brésilienne.

  • Privatizações: a Distopia do Capital, Silvio Tendler, 2014

    Panorama d’une époque marquée par le démantèlement croissant de l’État brésilien : la vente d’actifs publics au secteur privé et les politiques de privatisation traduites en faits et chiffres. Le film est une leçon sur l’histoire récente du Brésil.

  • Dominguinhos, Eduardo Nazarian, Joaquim Castro, Mariana Aydar, 2014

    Portrait du légendaire compositeur, accordéoniste et interprète. Au gré de séquences d’archives et d’entretiens récents, découverte d’un musicien généreux et authentique, reconnu comme l’un des plus grands interprètes de la Musique Populaire Brésilienne.

  • Sem pena, Eugenio Puppo, 2014

    Aucune population carcérale ne se développe aussi vite qu’au Brésil, qui est déjà la troisième plus grande au monde. Sem Pena descend dans l’enfer qu’est la vie dans les prisons brésiliennes, pour exposer les entrailles du système de justice du pays, démontrant comment la lenteur, la corruption, les préjugés et la culture de la peur ne cessent d’accroître la violence et agrandir le fossé social existant.

  • We don’t like samba, Communists in situ -Berlin, 2014

    Morceaux choisis des mobilisations sociales qui ont secoué le Brésil depuis les manifestations de juin 2013.

  • Copa para quem ?, Maryse Williquet, 2014

    Des millions de supporters du monde entier s’attendent à vivre la plus grandiose des Coupes du Monde au pays du football. Mais comment le Brésil organise-t-il ce méga-événement? Et avec quels impacts sur les Brésiliens? Enquête dans l’une des 12 villes hôtes, Fortaleza, capitale du Céara, l’un des États les plus pauvres du Brésil…

  • Lévi-Strauss : Saudades do Brasil, Maria Maia, 2005

    Reconstitution de l’expérience qu’eut Claude Levi-Strauss au Brésil dès 1935. Claude Levi-Strauss fut alors professeur invité à la USP (Université de São Paulo). Des extraits des textes de Claude Levi-Strauss sont lus, ainsi que des lettres de Dina Dreyfus, son épouse. Avec la participation de Claude Levi-Strauss lui-même, et aussi d’autres grands chercheurs, et notamment de Caetano Veloso.

    Mots-clés : Brésil |Monde, Folklore brésilien

  • Hautes Terres, Marie-Pierre Brêtas, 2013

    Dans le Nordeste du Brésil, Vanilda et son mari Antonio, ainsi qu’une vingtaine d’autres familles de paysans obtiennent enfin une propriété après avoir passé quatre ans à lutter dans un campement avec le soutien du syndicat des sans-terres. Tels les pinniers d’un Western, ils entreprennent la lente construction d’une communauté agricole, armés de la force de leurs bras et de leurs espoirs, sur ce territoire hanté par la sécheresse…

  • La lutte n'est pas pour tous, 2011

    Naiara, une adolescente de 16 ans, contemple un champ de ruines qui fut un campement rempli d'espoir, et qui a été détruit par le gouvernement. Ce lieu était le symbole d'une lutte pour l'émancipation des paysans sans terre du Brésil. Il fut aussi l'école où Naiara comprit qu'une autre voie était possible. C'est ici qu'elle est tombée amoureuse d'une cause révolutionnaire, promettant la possibilité d'une vie digne.

  • Muito além do peso, Estela Renner, 2012

    Du Brésil au Koweit, les taux d’obésité infantile sont anormalement élevés. Pourquoi les enfants sont-ils en surpoids aujourd’hui ? L’industrie, les publicitaires, les instances publiques : qui est responsable de cette question de santé publique ? Le film tente de répondre à ces questions.

  • Cartas para Ângola, Júlio Matos, Coraci Ruiz, 2012

    Le Brésil et l’Angola sont deux marges de l’Atlantique qui possèdent la même langue et un passé colonial en commun. Ce film raconte la correspondance entre des habitants du Brésil, d’Angola et du Portugal à travers leurs vidéos épistolaires : leurs histoires s’entrecroisent et dépeignent un Angola inconnu hors des guerres coloniales et civiles à peine éteintes.

  • Cartas para Angola, Dulce Fernades, 2012

    Le Brésil et l’Angola sont deux marges de l’Atlantique qui possèdent la même langue et un passé colonial en commun. Ce film raconte la correspondance entre des habitants du Brésil, d’Angola et de Portugal à travers leurs vidéos épistolaires : leur histoires s’entrecroisent et dépeignent un Angola inconnu hors des guerres coloniales et civiles à peine éteintes.

  • Preto contra branco, Wagner Morales, 2004

    Depuis plus de 30 ans, juste avant Noël, à Heliópolis, la plus grande favela de São Paulo, les habitants de deux quartiers voisins se retrouvent autour d’un match de football où les Noirs jouent contre les Blancs. La préparation du match avançant, la tension monte et le mythe de la démocratie raciale brésilienne est de plus en plus mis à mal.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Yeux de Bacuri (Les), Maria de Medeiros, 2013

    Le film entre dans le cadre d’un projet de récupération de la mémoire historique des années noires de la dictature du milieu des années 1960 à la fin des années 1980. Ce documentaire nous plonge dans la douleur de la mémoire d’une famille brésilienne, de trois générations de femmes, dont Denise qui vit à Rome et sa fille Eduarda, installée aux Pays-Bas.

  • O Mestre e o Divino, Tiago Campos, 2013

    Deux cinéastes dépeignent la vie au village de Sangradouro, à l’ouest du Brésil: Adalbert Heide, un missionnaire allemand, qui juste après le contact avec les Indiens en 1957, commence à filmer avec sa caméra Super-8, et Divino Tserewahu, jeune cinéaste xavante, qui produit des films pour la télévision et des festivals de cinéma depuis les années 1990. Entre complicité, compétition, ironie et émotion, ils donnent vie à leurs registres historiques, révélant un envers du décor bien particulier de la christianisation indigène au Brésil.

  • Jangadeiro pescando o futuro, Elphège Berthelot, 2013

    Les sortie en mer et les retours de pêche des jangadeiros cadencent la vie de Prainha do canto verde, petit bourg du ceará dans le nordeste brésilien. Attentive à cette temporalité et à la perpétualité des gestes, la réalisatrice pose un regard sensible sur cette communauté. Les habitant-e-s témoignent de la prédation des braconniers qui anéantissent les réserves de langoustes et privent ainsi les pêcheurs de leur principale source de revenus.

  • Damas do Samba, Susanna Lira, 2013

    Un regard singulier sur le rôle des femmes dans la samba. Damas do Samba révèle à quel point la participation des femmes est centrale dans la construction de ce rythme brésilien incontournable, réel instrument de résistance socio-culturelle.

  • Appétit vient en militant (L’), André Le Moustardier, 2013

    C’est l’histoire d’une double aventure, celle de deux militants, lui, Breton, elle, Brésilienne. Tous deux, consacrent leur vie à soutenir les petits paysans pour améliorer leur quotidien. Ils nous fon rencontrer des porteurs de projet du Centre Bretagne (56 et 22) et du Nordeste brésilien (Céara). Leurs témoignages, leurs parcours nous font découvrir qu’au delà de sa fonction nourricière, la terre a une fonction sociale.

  • Intimidades, Rodrigo Modenesi, 2013

    Le film présente cinq personnages : un serveur, une femme liftier (garçon d’ascenseur), un gardien de nuit, une call-girl et un pizzaïolo. Chacun d’eux parle de sa profession, des difficultés de la vie réelle, mais aussi de ses rêves, désirs et de son intimité. A travers deux rencontres de cinq minutes, au début et à la fin de leur journée de travail,le film nous expose leurs drames quotidiens, révélant la profonde inégalité de la société brésilienne.

  • Pai do gol (O), Luiz Ferraz, 2013

    Le réalisateur accompagne José Silvério, animateur radio, « père du but », dans sa cabine de transmission, montrant à travers ce portrait la relation singulière de la société brésilienne au football.

  • Briga do cachorro com a onça (A), Hidalgo Romero, Alice Villela, 2013

    A briga do cachorro com a onça (La lutte du chien avec un jaguar) est une musique issue de la culture populaire brésilienne, jouée par des groupes de Pifano dans tout le pays. Il en existe différentes versions, en fonction de la région où elle est jouée et des musiciens qui l’interprétent.

  • Enquanto o trem não passa, Midia Ninja, 2013

    Croisade dans la réalité des communautés dont les droits sont usurpés par les grandes sociétés minières et par le gouvernement brésilien, provoquant des changements de mode de vie des populations vivant sur ces territoires.

  • Damas do Samba, Susanna Lira, 2013

    Un regard singulier sur le rôle des femmes dans la samba. Damas do Samba révèle à quel point la participation des femmes est centrale dans la construction de ce rythme brésilien incontournable, réel instrument de résistance socio-culturelle.

  • Os dias com ele, Maria Clara Escobar, 2013

    Une jeune cinéaste s’immerge dans le passé presque inconnu de son père, intellectuel brésilien fait prisonnier et torturé pendant la dictature civile-militaire. Le film nous entraîne à travers les découvertes et frustrations qu’elle a suivies pour accéder à la mémoire d’un homme et d’une partie de l’histoire qui sont rarement exposées ainsi.

  • Setenta, Emília Silveira, 2013

    Quarante ans après la libération de 70 prisonniers politiques, arrêtés suite à la séquestration de l’ambassadeur suisse au Brésil, en 1970, Setenta donne la parole à 18 d’entre eux. Qui sont-ils ? Que sont-ils devenus après avoir été détenus, torturés et exilés ?

  • O Mestre e o Divino, Tiago Campos, 2013

    Deux cinéastes dépeignent la vie au village de Sangradouro, à l’ouest du Brésil: Adalbert Heide, un missionnaire allemand, qui juste après le contact avec les Indiens en 1957, commence à filmer avec sa caméra Super-8, et Divino Tserewahu, jeune cinéaste xavante, qui produit des films pour la télévision et des festivals de cinéma depuis les années 1990. Entre complicité, compétition, ironie et émotion, ils donnent vie à leurs registres historiques, révélant un envers du décor bien particulier de la christianisation indigène au Brésil.

  • Jus d’orange, une réalité acide, Meriem Lay, Emmanuel Lejeune, Guillaume Viart, Marc Sainsauve, 2013

    L’essentiel du jus d’orange que nous consommons provient d’immenses plantations au Brésil. Ce reportage suit durant 12 000 km le long voyage du jus d’orange, pressé, concentré, congelé, réhydraté… des orangeraies brésiliennes jusqu’à la table de nos vacances.

  • O pai do gol, Luiz Ferraz, 2013

    Le réalisateur accompagne José Silvério, animateur radio, « père du but », dans sa cabine de transmission, montrant à travers ce portrait la relation singulière de la société brésilienne au football.

  • Fleurs du futur : água Boa, Valérie Valette, 2012

    Depuis 2003 au Brésil, dans un bassin d’un million d’habitants, le programme « Cultivando Agua Boa » restaure la démocratie participative, répare les passifs environnementaux et prépare un futur viable, en s’appuyant sur la qualité de l’eau et la gestion du territoire par micro-bassins. Un exemple réussi de volonté publique alliée à une éthique socio-écologique de pointe. Une méthodologie adaptable partout dans le monde.

  • Oyapock, un fleuve en partage, Marcel Dalaise, 2010

    CNRS Images - Conseiller scientifique : Françoise Grenand... Un observatoire a été créé pour connaître l'impact de la construction d'un pont qui relierait la Guyane française au territoire d'Amapa, au Brésil... Problèmes d'habitat, de frontière, de non-reconnaissance des droits coutumiers, de cultures sur brûlis...(Résumé éditeur)

  • Veneno está na mesa (O), Silvio Tendler, 2011

    Le Brésil est le pays qui consomme le plus de pesticides au monde : 5,2 litres/an/habitant. Beaucoup de ces herbicides, fongicides et pesticides que nous consommons sont interdits dans pratiquement tous les pays du monde du fait du risque en matière de santé publique. Le risque est tant pour les travailleurs qui manipulent ces poisons que pour les citoyens qui consomment les produits agricoles. Le bénéfice revient aux transnationales qui fabriquent ces pesticides.

  • Negação do Brasil (A), Joel Zito Araujo, 2001

    Polémique, ce film traite de la place des Noirs dans les novelas brésiliennes. Interviews et extraits de feuilletons à l’appui, la discrimination raciale au Brésil est montrée du doigt.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Em busca de um lugar comum, Felippe Schultz Mussel, 2012

    Les favelas de Rio de Janeiro sont présentées dans l’imaginaire collectif comme la scène de la misère sociale au Brésil mais, étonnamment, elles sont aussi considérées comme l’un des endroits les plus attirants de la ville. En s’introduisant dans les tours organisés à travers la favela de Rocinha, ce documentaire étudie les désirs et les images qui en ont fait une destination touristique aussi populaire.

  • Desterro, Marília Hughes, Cláudio Marques, 2012

    La rencontre et les mémoires de Dona Pequenita et Tereza Froes Batalha sur l’une des interventions les plus marquantes de l’état brésilien.

  • Casas marcadas, Adriana Barradas, Alessandra Schimite, Ana Clara Chequetti, Carlos R. S Moreira, Éthel Oliveira, Juliette Yu-Ming Lizeray, 2012

    Expulsions d’habitants dans le Morro da Providência, favela la plus ancienne du Brésil, à Rio de Janeiro. L’histoire se répète : « A quoi me sert ce progrès si je dois quitter mon quartier alors qu’il s’améliore ? »

  • Caboclinhos de Goiania, un autre carnaval, Alexandra Kan, 2012

    Voyage dans l’univers des Caboclinhos de Goiana au Brésil. Ce voyage virtuel vous entraîne à la découverte d’un Carnaval méconnu où les croyances et les rituels sont l’essence même de ce défilé brésilien. Immergez-vous dans l’envers du décor, vivez la rencontre des esprits, défilez avec passion et conviction dans ce dédale de plumes et de paillettes. Loin du strass des grands carnavals connus au Brésil, venez à la rencontre d’un peuple authentique et généreux qui vous accueillera à bras ouverts.

  • Ouvir o Rio : uma escultura sonora de Cildo Meireles, Marcela Lordy, 2012

    Travail de recherche sonore à partir des principaux éléments hydrographiques brésiliens : des chutes d’Iguaçu à Pororoca do Macapa, du Parque das Aguas Emendadas à l’embouchure du fleuve São Francisco.

  • Manual de literatura (en)cantada, David Alves Silva, 2012

    Le manuel de littérature (en)chantée présente un documentaire réunissant 12 textes de littérature brésilienne (d’auteurs classiques et marginaux), mis en musique et en poésie par dix jeunes artistes professionnels de hip-hop de Diadema (São Paulo), sous la direction artistique de deux musiciens français.

  • Fim do esquecimento (O), Renato Tapajós, 2012

    « La fin de l’oubli » donne la parole à des protagonistes du tribunal de Tiradentes et à des acteurs engagés dans la lutte pour les droits de l’homme pour aborder, trente ans après, la question de la doctrine de la « sécurité nationale ». Le film étudie ce qu’il en reste et ses impacts sur la société brésilienne aujourd’hui.

  • Caminho da copa (A), Florence Rodrigues, Carolina Caffé, 2012

    Ce documentaire aborde les transformations et impacts sociaux liés à la mise en place des « mega-eventos » comme la Coupe du Monde et les Jeux Olympiques dans des villes brésiliennes comme Rio de Janeiro et São Paulo. En donnant la parole aux habitants et à des spécialistes, il ouvre le débat sur la question du droit au logement autour de ces grands événements internationaux.

  • Sertão Progresso, Cristian Cancino, 2012

    Le Sertão est une région semi-aride du Nordeste du Brésil, traversée par le fleuve São Francisco, regroupant 12 million d’âmes. Enjeu commercial, industriel et agricole, les projets gigantesques affluent, dont celui porté par le président Lula, du transfert partiel des eaux. Transfert dont les enjeux commerciaux, industriels et agricoles ne permettent pas de mesurer les conséquences sociales et environnementales. Le réalisateur donne la parole aux différents protagonistes, politiques, populations, ONGs, et laisse ainsi le spectateur se faire sa propre opinion sur la question.

  • Família Braz: Dois Tempos, Dorrit Harazim, Arthur Fontes, 2012

    Les statistiques prouvent l’incroyable ascension de la classe moyenne brésilienne. Dans « Dois Tempos », les deux réalisateurs retournent filmer une famille de la banlieue Est de São Paulo, les “Braz”, sur laquelle ils avaient déjà réalisé un documentaire en 2000 : après dix ans, ils tracent un portrait du changement de leur situation économique, de leurs perspectives et de leurs rêves.

  • Familles d’ici et d’ailleurs, Pierre Primetens, Catherine Boutaud, 2012

    Film issu de trois ateliers menés avec des jeunes en France, au Portugal et au Brésil. Réflexions autour du thème de la famille et des origines.

  • Coração do Brasil, Daniel Sola Santiago, 2012

    Le projet « Coração do Brasil » refait le parcours de l’expédition au Centre Géographique du Brésil, dirigée par les frères Villas Bôas en 1958. 50 ans après, Sérgio Vahia, Adrian Cowell et le Cacique Raoni retournent au Centre, dans la terre indigène Capoto/Jarina, dans le Matogrosso, où habitent les indiens Kayapo/Txucarramae.

  • Em busca de um lugar comum, Felippe Schultz Mussel, 2012

    Les favelas de Rio de Janeiro sont présentées dans l’imaginaire collectif comme la scène de la misère sociale au Brésil mais, étonnamment, elles sont aussi considérées comme l’un des endroits les plus attirants de la ville. En s’introduisant dans les tours organisés à travers la favela de Rocinha, ce documentaire étudie les désirs et les images qui en ont fait une destination touristique aussi populaire.

  • Casas Marcadas, Carlos R.S. Moreira, 2012

    Expulsions d’habitants dans le Morro da Providência, favela la plus ancienne du Brésil, à Rio de Janeiro. L’histoire se répète : « quoi me sert ce progrès si je dois quitter mon quartier alors qu’il s’améliore ? »

  • A caminho da Copa, Carolina Caffé, Florence Rodrigues, 2012

    Ce documentaire aborde les transformations et impacts sociaux liés à la mise en place des « mega-eventos » comme la Coupe du Monde et les Jeux Olympiques dans des villes brésiliennes comme Rio de Janeiro et São Paulo. En donnant la parole aux habitants et à des spécialistes, il ouvre le débat sur la question du droit au logement autour de ces grands événements internationaux.

  • Face cachée des agrocarburants (La), An Baccaert, Nico Muñoz, Cristiano Navarro, 2011

    À l’ouest du Brésil, dans le Mato Grosso do Sul, les Guarani-Kaiowá ont perdu 90 % de leur territoire depuis 1915. Aujourd’hui confinés dans des réserves, ils se battent pour retrouver leurs droits et leurs terres.

  • Lutte n’est pas pour tous… (La), Guillaume Kozakiewiez, 2011

    Le film accompagne une jeune militante brésilienne pendant 2 ans, lors de la lutte des paysans sans terre.

  • Noitada de Samba, Foco de Resistência, Cély Leal, 2010

    1971: le Brésil est en pleine dictature militaire. A Rio de Janeiro, les compositeurs et les musiciens de la périphérie jouent pour la première fois dans la Zona Sul, tous les lundis, au 143 de la rue Siqueira Campos qui devient un feu de résistance de la musique populaire brésilienne.

  • Terre des Maracatus (La), Philippe Coudrin, 2010

    Au nord-est du Brésil, la monoculture intensive de la canne à sucre est pratiquée depuis plusieurs siècles. Omniprésente, elle recouvre tout aujourd’hui, laissant les habitants de cette région toujours aussi pauvres. Au Pernambuco, les journaliers qui travaillent cette terre ont trouvé une forme originale de résistance et d’expression artistique : le maracatu rural. Au départ très violente, cette tradition de défilé, de costumes, de musique et d’improvisation a finalement été admise au Carnaval de Récife. Ce documentaire part à la rencontre d’un des groupes les plus fameux de maracatu rural « Estrela de Ouro ». Nous les suivons durant l’année préparant ce moment qui concrétise l’aboutissement de tant d’efforts : le carnaval !

  • Indígenas Digitais, Sebastian Gerlic, 2010

    Des Indiens brésiliens Tupinambá, Pataxó , Hahahãe, Kariri-Xocó, Pankararu, Potiguara, Makuxi et Bakairi racontent comment les téléphones portables, les appareils photo, les caméras, les ordinateurs, et principalement Internet sont devenus des outils importants dans leur recherche et leur lutte pour la dignité.

  • Marighella, Isa Grinspum Ferraz, 2011

    Bahianais, auteur, poète, érudit de la Bible et du grec, amoureux de la samba, de la plage et du football, féministe avant l’heure, séduisant, charismatique, interlocuteur de Kubitschek et de Che Guevara… Qui était donc cet homme dont il a été interdit de prononcer le nom pendant des décennies au Brésil ?

  • Lointain intérieur, Raphaël Mège, 2011

    « Lointain intérieur » a été tourné lors du Forum social mondial organisé à Belém, au Brésil. A travers l’expérience telle qu’elle est vécue par une jeune blogueuse et ses amis, le regard se déplace vers les à-côtés de l’événement, à l’écart des conférences et des débats formels.

  • Cine Camelô, Clarissa Knoll, 2011

    « Cine Camelô » raconte l’histoire d’un cinéaste de rue qui est allé dans la rue commerçante populaire la plus importante du Brésil, la rua 25 de Março à São Paulo, pour vendre la production de courts-métrages aux passants. La rua 25 de Março est un espace unique d’hétérogénéité qui accueille tous les jours plus de 450 000 personnes sur 2 500 mètres, où cultures et classes sociales différentes cohabitent, de manière pacifique, au moins apparemment. Le cinéaste de rue vend de petits films aux clients tout en leur offrant un espace d’expression de l’imaginaire populaire au milieu du chaos urbain.

  • São Miguel do Gostoso, Eugenio Puppo, 2011

    Un village de pêcheurs, qui garde des histoires de la découverte du Brésil et des sous-marins allemands de la Deuxième Guerre Mondiale. Un paradis environnemental dans le Rio Grande do Norte, découvert par les touristes et les entrepreneurs immobiliers.

  • Oyapock, Maël Cabaret, 2011

    Au cœur de l’Amazonie vivent deux villes frontalières séparées par un fleuve : l’Oyapock. D’un côté le Brésil, de l’autre la Guyane. Prochainement, un pont reliera les deux pays. Seulement, les habitants restent sceptiques quant aux conséquences, bien conscients que ce pont représente pour eux l’annonce d’une profonde mutation.

  • Où est le soleil?, Claire-Sophie Dagnan, 2011

    Entre São Paulo et Tokyo, « Où est le soleil? » raconte les histoires des descendants de migrants japonais au Brésil à travers le regard de neuf artistes nikkeijin: leurs portraits questionnent les différences culturelles, les manières de se voir, d’être vu et reconnu comme pluriel, autre. C’est l’histoire d’une recherche d’une place dans la société, d’une place au soleil, y compris lors des évènements les plus sombres.

  • Lutte n’est pas pour tous (La), Guillaume Kozakiewiez, 2011

    Naiara, une adolescente de 16 ans, contemple un champ de ruines qui fut un campement rempli d’espoir, et qui a été détruit par le gouvernement. Ce lieu était le symbole d’une lutte pour l’émancipation des paysans sans terre du Brésil. Il fut aussi l’école où Naiara comprit qu’une autre voie était possible. C’est ici qu’elle est tombé amoureuse d’une cause révolutionnaire promettant la possibilité d’une vie digne. Armée de sa volonté et de son innocence, Naiara entre en lutte. Le film accompagne cette jeune militante jusqu’à ses 18 ans…

  • Irmãos Roberto (Os), Thiago Arakilian, Ivana Mendes, 2011

    De la même génération de Lúcio Costa, Oscar Niemeyer et Afonso Eduardo Reidy, les frères Marcelo, Milton et Maurício, connus profissionellement comme frères Roberto, ont été parmi les protagonistes de l’architecture moderniste brésilienne: parmi leurs créations, le palais de l’Associação Brasileira de Imprensa (ABI) et l’aéroport Santos Dumont de Rio de Janeiro. A partir des témoignages de différentes architectes contemporains, le film valorise l’oeuvre des frères Roberto, surtout en ce qui concerne la formulation de projets de logement pour la classe moyenne.

  • Farwest Amazônia, Erwan Massiot, Carolina Venturelli, 2011

    Initiée depuis plus de 40 ans, la colonisation de l’Amazonie a provoqué une déforestation estimée à 17% de sa surface. Les colons venus des quatre coins du Brésil pour coloniser l’Amazonie en sont en partie responsables. Coupés du reste du monde, ils luttent chaque jour pour assurer leur survie dans des conditions de vie précaires. Pourtant, aujourd’hui l’espoir de changer ce développement peu soucieux de l’environnement est réel. Les colons en sont conscients, et sont prêts à changer leur système de production. Mais seuls, pourront- ils y parvenir ?

  • Carne Osso, Caio Cavechini, Carlos Juliano Barros, 2011

    Produit par Repórter Brasil, ONG qui dénonce les conditions de travail injustes, ce documentaire donne voix aux employés des abattoirs du Brésil : dans des salles à 8 degrés, ils désossent en moyenne 3 700 poulets par heure, en faisant 80 mouvements par minute. Ces actions répétées à l’infini provoquent des maladies physiques et psychiques chroniques graves.

  • Autre information est possible (Une), Sophie Gergaud, 2011

    Dans le cadre du Forum social mondial qui s’est tenu à Dakar en février 2011, Ritimo (Réseau d’information et de documentation pour la solidarité internationale et le développement durable) a co-organisé un séminaire d’une journée sur les médias alternatifs avec des partenaires du Sud (Intervozes (Brésil), E-Joussour (Maroc), Sacsis (Afrique du Sud), Ciranda (Brésil), Pambazuka (Afrique), ALAI (Equateur)). Retour en images sur la place de la communication et de l’information dans nos sociétés mais aussi au sein-même du FSM, sur le rôle des médias alternatifs dans les mouvements sociaux et leur appropriation par les militants et acteurs de changement social.

  • Oyapock, Maël Cabaret, 2011

    Au cœur de l’Amazonie vivent deux villes frontalières séparées par un fleuve : l’Oyapock. D’un côté le Brésil, de l’autre la Guyane. Prochainement, un pont reliera les deux pays. Seulement, les habitants restent sceptiques quant aux conséquences, bien conscients qu’il représente pour eux l’annonce d’une profonde mutation.

  • Où est le soleil ?, Claire-Sophie Dagnan, 2011

    À travers le regard de neuf artistes, attachés à deux pays, le Brésil et le Japon, Où est le Soleil aborde la question de l’identité et de la diversité culturelle.

  • Juscelino Kubitschek, l’exil français, Bertran Tesson, Charles Cesconetto, 2010

    Après le coup d’État au Brésil, l’ex-président Juscelino Kubitschek est obligé de partir en exil en France. Pendant sa période d’exil français, Kubitschek est accompagné dans ses travaux par Maria Alice Gomes Berengas. Le film raconte les difficultés de l’exil du président à travers la vie de Maria Alice, persécutée par la police, dépourvue de sa citoyenneté brésilienne, suivie pendant des années par les services d’intelligence d’État.

  • Recife Frio, Kleber Mendonça Filho, 2009

    La ville brésilienne de Recife, qui était tropicale, est maintenant froide, pluvieuse et triste, après avoir passé par un changement climatique étrange.

  • 5x favela: agora por nós mesmos, Cacau Amaral, Luciana Bezerra, Rodrigo Felha, Luciano Vidigal, 2010

    En 1961, 5 jeunes cinéastes de la classe moyenne, issus du mouvement estudiantin universitaire ont réalisé le film “Cinq fois favela”. Carlos Dieques, Joaquim Pedro de Andrade, Leon Hirszman, Marcos Farias e Miguel Borges étaient ceS jeunes qui ont réalisé ce film, devenu l’ainé du cinéma moderne brésilien et le fondateur du Cinema Novo. 40 ans après, “5X Favela : Agora por nós mesmos” réunit un groupe de jeunes cinéastes vivant dans les favelas de Rio de Janeiro dans le but de faire un autre 5 X Favela. Après avoir participé à des ateliers animés par des réalisateurs tels que Nelson Pereira dos Santos, Ruy Guerra, Walter Lima Jr, Walter Salles, Fernando Meirelles, João Moreira Salles, le groupe présente 5 filmes de fiction, d’environ 20 minutes chacun, sur différents aspects de la vie de leurs communautés.

  • People I could have been and maybe am, Boris Gerrets, 2010

    A quoi ressemblerait l’expérience d’entrer dans la vie d’un parfait inconnu ? « People I Could Have Been and Maybe Am » se construit autour de deux rencontres fortuites dans les rues de Londres : Sandrine, une belle jeune femme brésilienne venue pour trouver un mari, et Steve, un sans-abri tiraillé entre son addiction à la drogue sa petite amie poète.

  • Silêncio das inocentes (O), Ique Gazzola, Naura Schneider, 2010

    La loi n°11.340/2006 ou « loi Maria da Penha » est considérée comme l’une des trois lois les plus complètes au monde sur les violences domestiques. A travers de nombreux témoignages de victimes et spécialistes, Silêncio das inocentes nous éclaire sur la spécificité de cette loi et son application au Brésil.

  • Just shoot me, Claudia Nunes, 2010

    Selon l’ONU, les enfants des rues sont environ 150 millions. 40% d’entre eux sont sans domicile. En Amérique Latine, il sont 40 millions. Ce documentaire résulte d’un projet d’atelier audiovisuel réalisé dans l’ancien centre de mineurs de Goiás, au Brésil. Les enfants prennent la caméra et l’utilisent pour s’exprimer et lutter contre le silence. Ce matériel a été tourné il y a près de vingt ans, sur une durée de deux années. Claudia Nunes en a d’abord fait un court métrage, « Numéro Zéro », puis, après avoir retrouvé et filmé certains protagonistes, elle a remonté l’ensemble.

  • All you need is love, Wagner Depintor, 2010

    « All you need is love » est un film de fiction qui ironise sur la cinématographie brésilienne qui est aujourd’hui polarisée entre deux genres principaux : violence/favela et comédie/novela. Le protagoniste est un garçon qui se promène dans une ville interminable et inconnue. Dans une espèce de rituel d’initiation à l’âge adulte, il doit tuer sa première victime afin d’atteindre le respect de ses collègues. La bande originale, inspirée au leitmotiv des Beatles et composée par des MCs et des rappeurs de São Paulo, suggère l’interprétation de ce film en tant que jeu de références entre les deux genres cinématographiques les plus utilisés du moment.

  • Vidas Deslocadas, João Marcelo Gomes, 2010

    Une famille de réfugiés palestiniens vit dans la ville de Porto Alegre au Brésil. Avant d’arriver au Brésil, ils ont vécu dans un camp de réfugiés et en Irak. Le documentaire filme le quotidien de la famille, ses souvenirs, des témoignages sur la vie en Irak et en Palestine, les problèmes avec la langue et la nouvelle vie.

  • Pandemonium, Jorge Bodanzky, 2010

    A partir d’entretiens réalisés avec des scientifiques brésiliens comme Rogério Cerqueira Leite (Professeur émérite de l’UNICAMP – Université d’Etat de Campinas) et Carlos Nobre (Météorologiste et chercheur du CPTEC/INPE – Centre de prévisions du temps et d’études climatiques), ce documentaire aborde la question complexe du réchauffement climatique. Plusieurs scènes illustrent les modes de vies contemporains tout en alternant avec les discours des deux scientifiques sur la grave situation de la planète.

  • Manuscrito Perdido, José Barahona, 2010

    Film inspiré des personnages de deux livres (‘Correspondance de Fradique Mendes’ de Eça de Queiroz et ‘Créole’ de José Edurado Agualusa). Sous forme de quête, le réalisateur va à la rencontre des communautés qui forment la mosaïque culturelle brésilienne : Quilombolas, indiens, communauté de MST, etc.

  • Celibato no campo, Ilka Goldschmidt, Cassemiro Vitorino, 2010

    La forte migration des jeunes, et surtout des jeunes filles, du milieu rural vers les villes fait surgir un nouveau phénomène social : le célibat masculin dans les terres de l’intérieur du Brésil. Parmi les conséquences, il y a la diminution du nombre de mariages et le vieillissement de la population rurale.

  • Arquitetos do Poder, Alessandra Alde, Vicente Ferraz, 2010

    Une analyse très détaillée de l’évolution des rapports de la politique avec les médias et les entreprises depuis le gouvernement de Getulio Vargas jusqu’au second mandat du gouvernement Lula. Riche en images historiques et témoignages, le film présente l’influence croissante des moyens de communication sur la politique brésilienne.

  • Guerra por otros medios (La), Cristian Jure, Emilio Cartoy Díaz, 2010

    Que ce soit par l’utilisation d’ordinateurs et d’Internet, de radios, de caméra et de téléphones portables, les peuples autochtones d’Amérique du Sud intègrent les nouveaux médias de communication pour appuyer leurs revendications et la défense de leurs droits fondamentaux. Ce film présente quatre exemples d’utilisation de médias alternatifs et communautaires en Argentine, en Bolivie et au Brésil, différents mais tout aussi poignants les uns que les autres.

  • Babás, Consuelo Lins, 2010

    À partir d’une recherche iconographique,Babás mélange des éléments autobiographiques et une réflexion sur le rôle et la présence des « nounous » (babás) dans le quotidien des familles aisées brésiliennes à travers le temps.

  • Des terres pour les sans-terre, Josef Stöckli, 2008

    Au Brésil, la terre continue d’être très inégalement répartie. Le Mouvement des Sans-Terre MST (Movimento Sem Terra) se bat pour une répartition équitable. Il soutient les paysans pour l’obtention d’une terre et vise à leur permettre d’avoir des bases de subsistance. Ce film suit Adejane et Fabio qui ont, avec le soutien de MST, « conquis » une parcelle de terre non utilisée sur le site d’occupation des terres Mario Lago. Il montre aussi une nouvelle occupation de terres, des préparatifs jusqu’à l’obtention de la terre, et il se prête bien à une approche interdisciplinaire du problème.

  • Campagne de São José (La), Marie-Pierre Brêtas, 2009

    Dans une bourgade perdue du Nordeste brésilien, Anibal, philosophe politicien, s’engage dans les élections municipales. Il quitte son petit élevage sur lequel règne Zé, son vacher charnellement lié à la nature, et va de maison en maison échanger des promesses de vote contre des promesses de soins.

  • Canoa caiçara, Luiz Bargmann Netto, 2009

    La canoë est un élément important de la culture caiçara du Sud-est du Brésil: elle représente un mode de vie, un patrimoine matériel basé sur les relations des communautés avec l’environnement et l’histoire sociale et économique de la région. Le documentaire valorise ce patrimoine culturel et il montre les techniques et les savoirs nécessaires pour construire la canoë.

  • Cidadão Boilesen, Chaim Litewski, 2009

    Henning Albert Boilesen, entrepreneur danois naturalisé brésilien, a financé le principal organisme de répression durant la dictature militaire brésilienne. A travers la vie de cet homme, assassiné par la guérilla en 1971, le film traite de la collaboration entre les milieux militaro-politiques et économiques durant la dictature.

  • Semaine à Parajuru (Une), José Huerta, 2009

    Parajuru est un village de pêcheurs situé sur la côte du Nord-est du Brésil. Depuis trois ans, Giselle, autrichienne fortunée, y investit pour développer le tourisme : achats de terrains, constructions de maisons, hôtel de luxe… Chico Mariano, le président des pêcheurs, a son point de vue sur la question : s’il n’a rien contre les projets de Gisi, il sait que le développement d’un tourisme non maîtrisé peut détruire peu à peu la cohésion du village en introduisant deux fléaux majeurs : drogue et tourisme sexuel. Il sait aussi que la réserve naturelle toute proche du village attise la convoitise de Gisi et celle d’autres spéculateurs. Il s’est donné pour mission de défendre les intérêts de sa communauté. Ce film propose de faire le portrait de ce village en pleine mutation, tiraillé entre le désir de son développement économique et la préservation de son mode de vie.

  • Fractais Sertanejos, Heraldo Cavalcanti, 2009

    L’histoire de João Batista dos Santos, ou Janjão, un maçon de l’intérieur du Brésil devenu artiste suite à un coma.

  • Ave Maria Mãe dos Sertanejos, Camilo Cavalcante, 2009

    Un portrait poétique de l’imaginaire populaire du Sertão, à 18h, quand la radio transmet la chanson « Ave Maria Sertaneja », interprétée par le musicien brésilien Luiz Gonzaga, « rei do baião ».

  • 13 minutos, Felipe Briso, Gilberto Topczewski, 2009

    La plus grande consultation populaire au monde a été réalisée au Brésil en 2005, lorsque plus de 80 millions de personnes furent appelées aux urnes pour décider de l’interdiction du commerce des armes à feu dans le pays. Ce documentaire relate les jours précédents cette votation historique, accompagnant le quotidien de l’Institut Sou da Paz, organisation précurseur du processus de désarmement au Brésil.

  • Une semaine a Pararuju, José Huerta, 2009

    Ce film dénonce les conséquences dramatiques du tourisme de masse orchestré par un groupe Autrichien dans un petit village de pêcheurs traditionnels de la région du Nordeste au Brésil.

  • Transocéan, Adriana KOMIVES, 2007

    « Mes parents sont nés à Budapest, mais pas moi. Dans un bateau, il y avait ma mère. Dans l'autre, mon père. Ils quittaient tous les deux la Hongrie pour toujours. C’est comme ça que je suis née au Brésil. Mais ma maison, je l’ai longtemps cherchée… Cueillis comme autant de pièces d’un kaléidoscope, entre 1992 et 2002, Transocéan raconte une traversée et une transformation fondées sur la conviction que tout homme a été doté de la possibilité de changer son destin. » Adriana Komives

  • Brasileiros como eu, Susana Rossberg, 2008

    Parmi la communauté brésilienne de Belgique, ceux qui ont quitté le Brésil pour des motifs politiques racontent la dictature, l’exil et l’arrivée en Belgique. Plus récemment, la migration est d’ordre économique. Sont présentés le quotidien des migrants sans papiers, les témoignages de soutien vis-à-vis des brésiliens arrêtés, placés dans des centres de rétention, puis reconduits dans leur pays d’origine.

  • Génération Favela Chic, André Galego Boselli, 2008

    André filme ses camarades brésiliens, venus, comme lui, faire une partie de leurs études à Paris. Se considèrent-ils privilégiés d’avoir les moyens de vivre une telle expérience ? Quel est leur rapport aux inégalités sociales, eux qui viennent d’un pays où elles sont jugées immenses ? Se sentent-ils plus en sécurité en France ?

  • Calango Lengo, Fernando Miller, 2008

    Calango Lengo, du Nordeste du Brésil, doit accomplir son destin sans avoir de quoi manger. Mais avec la sécheresse, il n’y a pas d’autre destin que de vivre en fuyant la mort, comme la souris fuit le chat.

  • Nada a ver, Elisabeth Gonçalves, Florence Bresson, 2008

    Nada a ver raconte le quotidien d’une prison brésilienne et des hommes qui y cohabitent. Au travers de leurs récits intimes, gardiens et prisonniers racontent une histoire commune.

  • Puisque nous sommes nés, Jean-Pierre Duret, Andrea Santana, 2008

    Dans le Nordeste du Brésil, région semi-aride où règne une grande précarité, résident Nego et Cocada. Le premier vit dans une favella avec sa mère et ses 9 frères et sœurs, le second est orphelin depuis l’assassinat de son père. Afin de gagner un ou deux reals pour survivre, ils errent tous les soirs dans une station service, où gravitent camionneurs et bus bondés de voyageurs…

  • Paysan sans terre, Julien Farrugia, 2006

    Au Brésil, des paysans occupent des terres immenses délaissées par leurs propriétaires. Ils luttent afin d’obtenir du gouvernement le droit de les cultiver, et sortir ainsi d’une extrême pauvreté. Par leur action, leur courage et leur vision résolument moderne d’une vraie démocratie, les paysans sans terre font avancer toute la société brésilienne.

  • Chrysalides, Jeanne romana, 2008

    Le documentaire retrace le parcours de jeunes qui s’interrogent sur les moyens de prévention du SIDA en France et au Brésil. A travers l’implication d’associations, la sensibilisation des différentes populations et les témoignages d’individus atteints du VIH, ils comparent les expériences et observent l’avancée des recherches dans les deux pays.

  • Fragmentos de um bairro, Lucia Ramos Monteiro, 2008

    Inspiré de l’avenue des Champs-Elysées, le premier quartier de São Paulo a abrité l’aristocratie brésilienne du XIXème siècle. Aujourd’hui, leur palais demeurent mais sont habités par une population venue d’ailleurs. Dans ces hôtels particuliers, grands espaces et précarité se combinent.

  • Penas Alternativas, João Valle, Lucas Margutti, 2008

    Ce documentaire essaye de réfléchir sur la crise du système pénitentiaire brésilien et présente des solutions alternatives au surpeuplement des prisons, tout en questionnant les finalités de cette peine.

  • Margem do Lixo (À), Evaldo Mocarzel, 2008

    Documentaire ciblé sur le travail des coopératives des ramasseurs de déchets au Brésil - surtout à São Paulo. Un travail dévalorisé par le pouvoir public et invisible pour la société, bien qu’il soit fondamental dans le milieu urbain et représente un nouveau chemin professionnel pour les sans abris.

  • Vers une terre sans douleur, José Huerta, 2007

    Voyage initiatique à travers le Brésil et rencontres avec ceux qui luttent pour une société plus équitable, plus juste, plus humaine : premier contact avec les Guarani en lutte pour la reconnaissance de leur droits sur leurs terre, découverte du Mouvement des Sans Terre et d’une installation d’une coopérative de producteurs laitiers, plongée dans les bidonvilles de Recife, immersion dans le carnaval de Salvador et découverte des enfants des rues et d’une initiative pour les resocialiser, enfin incursion en Amazonie chez les indiens Satere Mawe qui vivent mieux grâce au commerce équitable du Guarana.

  • Desfocados, Rodrigo Lobão, David Gomes, Pedro Nogueira, 2007

    Des SDF de diverses régions du Brésil qui vivent dans les rues de Rio de Janeiro, racontent leurs parcours de vie, les raisons sociales ou économiques qui les conduisirent à la rue.

  • Vers une terre sans douleur, José Huerta, 2007

    Un voyage au cœur de la société civile brésilienne, où les hommes et femmes rencontrent des problématiques essentielles et luttent pour construire une société plus équitable, plus juste et plus humaine.

  • Travail Esclave, Nikola Chesnais, 2007

    Le film se passe au Brésil et nous fait découvrir un système d’exploitation des ouvriers par les patrons mis en place dans les fermes. Les patrons rendent dépendants les ouvriers isolés du reste du territoire pour tous leurs besoins (logement, nourriture). Ils deviennent donc des travailleurs esclaves condamnés à travailler pour combler leurs dettes.

  • Guerreiras do Brasil, Cacau Amaral, 2007

    Un groupe de 40 femmes venues des cinq régions du Brésil, se réunissent dans une île de Rio de Janeiro pour enregistrer un album Hip-hop dans lequel elles revendiquent l’élimination de la violence contre les femmes.

  • Paginas censuradas, Erick Vieira, Sandra Reimão, 2007

    L’année 1975, année mouvementée dans la production littéraire brésilienne marque un tournant alors que la censure apparaît dans les médias et la production culturelle et littéraire.

  • Construção, Cristiano Burlan, 2007

    Sao Paulo, la « Jungle de Béton », la plus grande ville du Brésil, ville en éternelle (re)construction. Ce documentaire met en scène la ville et ses transformations via les sons, les discussions, le quotidien d’un chantier.

  • Do São Francisco aos Pinheiros, Paula Morgado, João Claudio de Sena, 2007

    Les indiens Pankararus, originaires de Brejo dos Padres (Pernambuco, Nord-Est du Brésil), se sont installés à São Paulo dans les années 50, fuyant la sécheresse, la misère et les conflits liés à la propriété des terres. Ils se sont regroupés dans la favela Real Parque, près du fleuve Rio Pinheiros à São Paulo. Loins de leurs terres et de leurs traditions, les Pankararus peinent à s’épanouir en ville où ils sont confinés dans les favelas. Des danses et chansons rituelles sont filmées dans les différentes tribus qui s’étendent au large du fleuve São Fransisco.

  • Migrantes, Cleisson Vidal, Beto Novaes, Francisco Alvez, 2007

    Ce film retrace la vie des travailleurs migrants, qui, faute de travail dans leur région, le Maranhão, partent tous les ans quelques mois dans l’Etat de São Paulo, pour la récolte de la canne à sucre. Les témoignages de leurs proches et d’eux mêmes nous font vivre la dure réalité d’une bonne partie de main d’oeuvre brésilienne.

  • Vers une terre sans douleurs, José Huerta, 2007

    Ce documentaire propose d’explorer quelques-unes des problématiques essentielles de la société civile brésilienne. Le film commence chez les Indiens Guaranis. Ensuite nous allons dans le sud du pays, à Bagé, où le Mouvement des Sans Terres mène une action pour redonner aux paysans une terre à cultiver. A Recife nous voyons comment les associations se battent pour améliorer leurs conditions de vie et légitimer l’économie populaire. A Salvador de Bahia nous suivons la lutte des exclus pour conquérir leur dignité et citoyenneté.

  • Tarabatara, Júlia Zakia, 2007

    A travers la vie au quotidien d’une famille de Tsiganes dans le nord-est du Brésil, dans l’état de Alagoas, ce film fait un portrait de leurs langues, de leurs gestes et de leurs regards.

  • Vache numéro 80 (La) - Agriculteur contre industrie agricole, Dirk Barrez, 2007

    Des agriculteurs du monde entier luttent pour une nouvelle agriculture, Altemir au Brésil, Ndiogou et Awa au Sénégal, René en france. Par leurs mouvements, sur les marchés et lors de manifestations touchant jusqu’au sommet de l’Organisation mondiale du commerce, ils défendent, avec de nombreux autres, une agriculture durable respectant l’homme et la nature

  • Aprisionados por promessas, Beatriz Afonso, 2006

    Travailleurs ruraux aujourd’hui au Brésil : l’esclavagisme moderne. Témoignages et données actuelles sur le sujet pour mieux comprendre ce phénomène et sa continuité malgré l’intervention du gouvernement depuis 1995.

  • Part du chat (La), Jérémy Hamers, 2006

    Carmo do Rio Verde, au Brésil, est un village qui vit de l’exploitation de la canne à sucre. Une entreprise y gère toute la fabrication d’alcool, possède ou loue tous les champs, et mobilise 2000 ouvriers, dont 1200 saisonniers recrutés par « El gato », « le Chat »

  • Raiz forte, Aline Sasahara, Maria Luisa Mendonça, 2005

    L’Amazonie brésilienne est le théâtre d’une violente compétition pour la conquête de nouveaux territoires. Ce film témoigne des conditions d’installation au cœur de la forêt vierge d’un groupe de colons pauvres alors que dans les régions voisines, déjà défrichées et colonisées, les grands propriétaires s’accaparent l’essentiel des terres.

  • Tempo de Resistência, André Ristum, 2004

    Au Brésil, le coup d’État a eu des conséquences importantes sur le processus d’organisation social et sur le Parti Communiste. Après le coup d’État, plusieurs groupes de guérillas se sont organisés comme réponse au durcissement du régime militaire et face aux contradictions et hésitations du Parti Communiste brésilien. Au début de la lutte, les actions des groupes armés étaient fragmentées. Dans un second temps, les groupes guérilleros se sont articulés. Plusieurs actions en commun ont été organisées. La violence s’est amplifiée, les arrestations et les morts ont augmenté. « Temps de Résistance » retrace cette histoire et ses multiples dimensions à partir du témoignage de plusieurs guérilleros qui ont participé directement aux événements relatés et ont survécu à la dictature.

  • Mulheres das Aguas, Beto Novaes, 2016

    Un portrait de la vie et de la lutte des femmes pêcheurs dans les mangroves du nord-est du Brésil.

  • Taego awa, Henrique Borela, Marcela Borela, 2016

    L’homme âgé au visage burin, Tutawa Tuagaek, vit sur l’île de Bananal (dans l’état du Tocantins, au Brésil), toujours, entouré de sa descendance. Les vidéos trouvées par les réalisateurs dans une université sont ici l’occasion d’un témoignage rare, l’histoire de la tribu dont il est le chef. Tutawa raconte le massacre par les Blancs de nombreux Indiens Ãwa dans la forêt amazonienne orientale en 1973, tandis que le montage mêle des images de vie quotidienne des Ãwa, de la confection de peintures corporelles rituelles à la cuisine ou aux jeux des enfants. Parmi ces archives, l’entrée du Parlement brésilien par des indigènes en 2013 ramène à des enjeux présents: la délimitation d’un territoire concédé aux Ãwa mais toujours pas reconnu comme le leur.

  • Caminhando contra o vento - O Sol, Tetê Moraes, Martha Alencar, 2006

    Un journal, une génération, une époque. 1967/68: Manifestations étudiantes, festivals de musique, une génération à contre-courant. Au cœur de Rio de Janeiro, naît le journal de presse alternative O Sol, qui traite de sujets tels que la culture, la politique et l’éducation. Une expérience unique dans l’histoire du journalisme et de la culture brésilienne, qui a symbolisé l’esprit d’une époque. Inscrit dans le contexte de la « génération 68 », le film reconstitue l’histoire du journal à travers des archives, des rencontres et témoignages de personnalités qui ont participé à cette aventure journalistique, tels que Ziraldo, Chico Buarque, Caetano Veloso…

  • Mulheres em Movimento, Maria Maia, 2006

    Le documentaire donne un aperçu des conquêtes politiques et sociales des femmes et des mouvements féministes au Brésil, de l’époque coloniale jusqu’à aujourd’hui, en passant par la résistance à l’esclavage, la lutte contre la dictature et la participation au sein du gouvernement et dans les mouvements sociaux. Le film met en scène le témoignage de plusieurs femmes politiques, artistes et activistes.

  • Atos dos Homens, Kiko Goifman, 2006

    Le 31 mars 2005 a eu lieu un des plus grands massacres du Brésil dans l’état de Rio de Janeiro : la tuerie de la Baixada Fluminense. 29 personnes sont tuées par des policiers dans les rues des villes de Nova Iguaçu et Queimados cette nuit-là. Kiko Goifman filme le quotidien des habitants de ces villes après le massacre.

  • Torcedores, Julia Salles, Simon Ducamin, 2006

    En 2006, les cinéastes suivent les matchs de l’équipe du Brésil pendant la Coup du Monde de football. Ils filment dans différents endroits tels que les bars, les rues, chez les gens, sur les lieux de travail, une rédaction de journal… La ville s’arrête. Personne ne travaille. Les sentiments, les conceptions, les passions, les analyses, les souffrances, toute une variété de relations émergent autour de ce sport. Issus de différentes couches sociales, les interviewés nous montrent la richesse des rapports au football et la place qu’il occupe dans la vie des Brésiliens.

  • Sucre et des fleurs dans nos moteurs (Du), Jean-Michel Rodrigo, 2006

    Les réserves de pétrole s’épuisent, la consommation augmente de façon vertigineuse, le prix du baril flambe. Les accords de Kyoto contraignent les nations industrielles à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. L’avènement des agrocarburants semble inéluctable. Au Brésil, 40% de la consommation de carburants proviennent déjà des champs de canne. Les Etats-Unis bâtissent à leur tour des usines à la chaîne et l’Europe, soucieuse de son indépendance énergétique, est entrée dans la course. La France met les bouchées doubles et ses agriculteurs se voient volontiers confier le rôle « d’énergie-culteurs ». La fièvre actuelle de « l’or vert » devrait tout de même se heurter à de véritables limites. Il n’y aura jamais assez de terre pour cultiver l’énergie nécessaire à faire rouler tous les moteurs du monde.

  • 3 irmãos de sangue, Angela Patricia Reiniger, 2006

    Ce film relate la vie et trajectoire de trois frères, Betinho, Henfil et Chico Mario, qui, chacun à leur façon et avec leur art, se sont engagés dans la défense de la justice sociale dans le Brésil de la dictature des années 60. Betinho, sociologue et engagé dans le parti « Action Populaire », Henfil, humoriste et Chico Mario, musicien, ont chacun fait de la solidarité une arme dans la lutte pour la vie et ont contribué à faire avancer le Brésil dans sa quête de justice, et de défense des droits de l’homme.

  • Pixinguinha et la Vieille Garde du Samba, Thomaz Farkas, Ricardo Dias, 2006

    Ricardo Dias filme un entretien avec Thomaz Farkas, photographe et cinéaste amateur. De sa collection de film, il exhume un concert de 1954 en plein air avec Alfredo da Rocha Viana, connu sous le nom de Pixinguinha, saxophoniste et compositeur de musique populaire brésilienne.

  • Torcedores, Julia Salles, Simon Ducamin, 2006

    En 2006, les cinéastes suivent les matchs de l’équipe du Brésil pendant la Coupe du Monde de football. La ville s’arrête. Personne ne travaille. Les sentiments, les conceptions, les passions, les analyses, les souffrances, toute une variété de relations émergent autour de ce sport. Issus de différentes couches sociales, les interviewés nous montrent la richesse des rapports au football et la place qu’il occupe dans la vie des Brésiliens.

  • Rap, o Canto da Ceilândia, Adirley Queiros de Andrade, 2005

    Dialogue avec quatre artistes consacrés du rap brésilien (X, Jamaika, Marquim et Japão), tous natifs de Ceilândia, banlieue de Brasília, capitale du pays. Le film présente la trajectoire de ces personnages dans l’univers de la musique et fait un parallèle avec la construction de la ville où ils habitent. Ces artistes voient dans le rap le seul moyen de révéler leurs sentiments et de se réaffirmer comme habitants de la périphérie.

  • Sur les routes du coton, Joël Calmettes, 2005

    D’Afrique en Asie, via l’Amérique du nord et le Brésil, Erik Orsenna et Joël Calmettes nous emmènent dans les mondes du coton dans toutes ses dimensions

  • Raul Seixas Prá Todo Mundo Ouvir, Thiago Bueno, Luis Carlos Fabiano, 2005

    Un hommage à Raul Seixas, au travers d’interview de ses proches, musiciens et amis. Il est considéré comme le premier musicien de rock au brésil.

  • Maestro Jorge Antunes - Polêmica e Modernidade, Carlos del Pino, 2005

    Le parcours de Maestro Jorge Antunes, précurseur de la musique électronique, compositeur brésilien en musique électroacoustique.

  • Pro dia nascer feliz, Joao Jardim, 2005

    Témoignages de collégiens sur leur vie quotidienne. Au delà du portrait de la jeunesse dans diverses écoles publiques au Brésil et la vision du personnel qui y travaille, ce documentaire donne à voir la fragilité du système d’éducation au Brésil et souligne les disparités sociales.

  • Moacir, Arte Bruta, Walter Carvalho, 2005

    Témoignage de Moaciir (handicapé physique et mental), des membres de son entourage familial et de son voisinage sur son activité artistique, dans un village reculé de l’intérieur du Brésil.

  • Paraíso, Mario Antonio Ribeiro Alves, 2005

    Paysages de la mémoire, souvenirs d’enfance, ce film regroupe les témoignages de personnes d’origines diverses vivant au Brésil. A partir d’archives personnelles et d’images actuelles, le réalisateur crée un montage, comme des histoires singulières où s’imbriquent réalité et imaginaire.

  • Nós do cinema, 2005

    5 court-métrages, réalisés par des etudiants de cinema, abordent les thèmes societaux suivant : « vou ter un filho », traite des grossesses non désirées de jeunes filles; « Nas calçaldas do Rio, présente les revendications des camelots des rues de Rio; « Joao Candido » présente un épisode peu connu de l’histoire du Brésil, la révolte des marins de guerre dans les années 1910; « Profeta Gentileza » dresse le portrait de ce prophète, dit fou, au travers des témoignages de sa fille ;« Sonho de Criança », suit de façon poétique le rêve d’enfant.

  • Filhos do sol (Os), Marcela Cueno, 2005

    Histoire de l’émigration japonaise vers l’Amérique latine, et plus particulièrement vers le Pérou et le Brésil. Le film retrace tous les mouvements migratoires en liaison avec l’histoire du Japon : le développement économique de la fin du 19ème siècle, la guerre mondiale, l’après guerre. Il aborde également l’inversion des flux dans les années 80, quand les descendants japonais du Brésil et du Pérou sont revenus chercher la prospérité au Japon. A travers les images d’archives et les interviews, le film aborde toutes les facettes de l’émigration : économique, psychologique, culturelle.

  • Saudade : vídeo-cartas para Cuba, Júlio Matos, Coraci Ruiz, 2005

    Un échange de vidéos, entre des cubains de Cuba, et des cubains qui sont parties vivre au Brésil, nous fait découvrir différentes facettes de ce peuple et de son histoire.

  • Violência S.A., Eduardo Benaim, Jorge Saad, Newton Cannito, 2005

    D’une façon ironique mais réalisé avec beaucoup de maîtrise et de finesse, le film aborde la discussion sur la violence au Brésil. A l’aide des témoignages de personnes de classe moyenne, des policiers, de militaires, le réalisateur dresse un tableau des arguments employés pour légitimer l’utilisation de la force et des armées pour combattre la violence au Brésil.

  • Milton Santos ou: O Mundo Global visto do lado de cá, Silvio Tendler, 2004

    Géographe et intellectuel brésilien, Milton Santos livre ses réflexions sur la mondialisation, les rapports Nord-Sud et les enjeux politiques et économiques actuels.

  • Ville Flores, Marina Galimberti, 2004

    Exemple, à Porto Alegre au Brésil, de la mise en place au sein d’un bidonville de coopératives centrées sur le commerce équitable et d’une démocratie participative.

  • Guerre du soja (La), Jean-Bernard Andro, 2003

    Récit de la seule région du Sud du Brésil où le pouvoir tente de résister au dernier avatar de la mondialisation, les OGM, qui menacent les petits agriculteurs…

  • Frans Krajcberg, portrait d’une révolte, Maurice Dubroca, 2003

    Portrait de l’artiste brésilien Frans KRAJCBERG, qui exprime sa révolte contre la destruction de la nature par l’homme au travers de ses œuvres. Maurice Dubroca a suivi le travail de l’artiste dans son atelier et au cours de ses pérégrinations et a évoqué avec lui sa vie, son œuvre

  • Por los Caminos da America, Miguel Barros, 2004

    Long métrage/documentaire retraçant la création du Mouvement des Sans Terre du Brésil (MST) depuis sa fondation en 1984 jusqu’à l’élection de Lula en 2002, le premier président issu de la classe ouvrière.

  • 1 ano e 1 dia, Cacau Amaral, João Xavier, Rafael Da Costa, 2004

    Après 366 jours, les occupants du campement 17 Mai (Etat de Rio) deviennent légalement propriétaires des lieux. Autour des préparatifs d’une fête, ils évoquent l’année écoulée avec émotion. Des Brésiliens qui travaillent, votent, aiment, rêvent. Des Brésiliens en lutte.

  • Verdade marcada pra viver, João Novaes, 2004

    Ce documentaire présente une brève histoire du cinéma documentaire et de ses deux principaux courants : le cinéma direct et le cinéma vérité. Le réalisateur analyse l’oeuvre et le travail du documentariste brésilien Eduardo Coutinho sous l’angle de ces théories. L’analyse de quelques uns de ses films et le témoignage des membres de son équipe nous donnent des informations plus riches sur sa façon de travailler et sur sa conception du cinéma.

  • Mensageiras da Luz: Parteiras da Amazônia, Evaldo Mocarzel, 2004

    Que ressent un bébé lors de sa naissance? Des sages-femmes d’Amazonie ont répondu à cette question avec pragmatisme, mais aussi empathie pour les nouveaux venus au monde. C’est ainsi qu’elles pratiquent leur profession: avec efficacité et beaucoup de bon sens. Dans les villes brésiliennes, le nombre de césariennes augmente autant que dans les sociétés industrielles occidentales. Ce n’est pas le cas dans la région d’Amapá, au nord du pays, où la proportion de naissances normales est la plus élevée: 88 % des femmes accouchent avec le concours des 918 sages-femmes qui y pratiquent.

  • 3x4 - Retratos da juventude de Goiânia, Cassia Queiroz, Pedro Novaes, João Novaes, 2004

    Comprendre ce que signifie être jeune aujourd’hui. Le Brésil compte 33 millions de jeunes qui restent parfois en marge des politiques publiques. Cette vidéo souhaite montrer cet univers. Il est le fruit du travail du Groupe de recherche jeunesse et éducation (NUPE) de l’Université Catholique de Goias (UCG).

  • Preto contra branco, Wagner Morales, 2004

    Depuis plus de 30 ans, juste avant Noël, à Heliópolis, la plus grande favela de São Paulo, les habitants de deux quartiers voisins se retrouvent autour d’un match de football où les Noirs jouent contre les Blancs. La préparation du match avançant, la tension monte et le mythe de la démocratie raciale brésilienne est de plus en plus mis à mal.

  • Mort lente de l’amiante (La), Sylvie Deleule, 2004

    Ce documentaire offre une bonne analyse d’ensemble de cet incroyable silence collectif, à partir de quatre pays emblématiques : le Canada, l’Allemagne, le Brésil. Et, bien entendu, la France, longtemps premier importateur d’amiante et chef de file européen des pro-amiante, qui a attendu 1997 pour l’interdire enfin !

  • Kayapos : Raoni, 2001

    Présentation du légendaire chef Kayapo, Raoni, en visite chez les Innus de la Basse-Côte-Nord du Québec en août 2001. Celui-ci pose un regard critique sur les rapports avec les gouvernements aussi bien du Brésil que du Canada.

  • Filhas de Chiquita (As), Priscilla Brasil, 2002

    La plus grande fête catholique au Brésil et l’une des plus importantes au monde - la procession du Cirio de Nazaré - côtoie la traditionnelle rencontre homosexuelle de l’état d’Amazonie (la Fête de Chiquita). Deux millions de fervents catholiques d’une part, et plusieurs dizaines de milliers d’homosexuels de l’autre. Le film révèle la relation symbiotique entre le sacré et le profane.

  • Nikita Kino, Vivian Ostrovsky, 2002

    La famille de Vivian Ostrovsky réside au Brésil, quand, en 1960, son père découvre que sa sœur et son frère sont vivants et habitent Moscou. Ils n’ont pas le droit de sortir d’URSS. C’est donc Vivian et sa famille qui leur rendront visite tous les ans pendant une quinzaine d’années. À travers cet ingénieux montage d’images familiales en super 8, d’archives d’actualités, d’extraits de films de fiction ou de propagande soviétique,Vivian Ostrovsky retrace l’histoire de sa famille, en abordant l’histoire de l’URSS des années Khrouchtchev-Brejnev.

  • Ces brevets me rendent malade, Rony Brauman, Gérard Lafont, Anne-Christine Roth, 2003

    En 2002 on comptait déjà 42 millions de séropositifs dont 30 millions en Afrique. Si les antirétroviraux (ARV) sont disponibles dans les pays du Nord, très rares sont les malades africains à pouvoir se les offrir. Plusieurs ONG internationales se sont élevées contre cette injustice en remettant en cause le système des brevets qui garantit aux industries pharmaceutiques de considérables profits. Sur le terrain, dans les pays où l’épidémie fait des ravages, malades, médecins et ONG se battent pour obtenir les médicaments essentiels. Le film, tout en démontant les arguments des grands laboratoires, retrace la lutte des ONG et de certains gouvernements, le Brésil tout particulièrement, pour l’accès aux médicaments vitaux.

  • Escadrons de la mort - L’école française (Les), Marie-Monique Robin, 2003

    La France directement impliquée dans l’histoire des dictatures latino-américaines. Après plus d’une année d’enquête en Argentine, au Chili, au Brésil, aux Etats-Unis et en France, la réalisatrice a recueilli, parfois sous couvert de caméra cachée, de conversations enregistrées, les témoignages exclusifs des principaux protagonistes.

  • Sementes (As), Beto Novaes, 2015

    Réalisé par le cinéaste et économiste de l’Université Fédérale de Rio de Janeiro, Beto (José Roberto) Novaes, ce documentaire relate les parcours d’agricultrices qui participent activement aux mouvements agro-écologiques au Brésil. Le documentaire est basé sur le travail de thèse de Emma Siliprandi, ”Mulheres e Agroecologia: a construção de novos sujeitos políticos na agricultura familiar“, soutenue en avril 2009, à l’université de Brasilia.

  • 5 Vezes Chico - O Velho e Sua Gente, Gustavo Spolidoro, Ana Rieper, Camilo Cavalcante, Eduardo Goldenstein, Eduardo Nunes, 2015

    Le « Chico » ou San Francisco, comme le Rio Doce, serpente du centre du Brésil à l’Atlantique. Cinq histoires, cinq regards sur les relations entre le fleuve et ses riverains. Ondulant ou en furie, le fleuve est source de vie et de mort. L’humain se croit maître de son destin, mais il ne contrôle pas l’ordre du fleuve. Dans une photographie exceptionnelle, les habitants livrent leurs visions poétiques ou prosaïques du cours d’eau avec lequel ils font corps.

  • Ultimas conversas, Eduardo Coutinho, 2015

    Réalisé par Eduardo Coutinho, décédé en février 2014 et qui fut à l’avant-garde du documentaire brésilien des années 1960 à 1990, et terminé par João Moreira Salles, figure du documentaire brésilien contemporain, Últimas conversas est un petit bijou d’humanité qui aborde avec de jeunes Brésiliens des thèmes aussi variés que la famille, l’amour, la religion, l’identité, la discrimination, le harcèlement, le tout dans une extrême simplicité scénographique. Réalisé à partir des entretiens que le réalisateur a effectués avec des lycéens, peu avant sa mort en février 2014, ce film tente de décrypter les manières dont les adolescents pensent, rêvent et vivent aujourd’hui.

  • Raiz forte, Aline Sasahara, Maria Luisa Mendonça, 2000

    L’Amazonie brésilienne est le théâtre d’une violente compétition pour la conquête de nouveaux territoires. Ce film témoigne des conditions d’installation au cœur de la forêt vierge d’un groupe de colons pauvres alors que dans les régions voisines, déjà défrichées et colonisées, les grands propriétaires s’accaparent l’essentiel des terres.

  • Ultimo Pau-de-Arara, Bené Saboia, Valdo Siqueira, 2001

    En 1984, c’est la fin de la dictature au Brésil et le pays est en plein processus de transition démocratique. Un groupe de jeunes décident de séquestrer un avion et de le détourner vers Cuba. Le film présente, à travers le témoignage des propres séquestreurs, leur vision de la conjoncture politique de l’époque, et comment ils ont organisé et réalisé le séquestre, comment a été leur vie à Cuba et le retour au Brésil.

  • Romances de terre et d’eau, Jean-Pierre Duret, Andrea Santana, 2001

    Les petits paysans du Nordeste du Brésil se battent pour leur survie économique mais aussi pour préserver la force d’imagination et de recréation de leur culture.

  • Onibus 174, José Padilha, 2002

    Le 12 juillet 2002,Sandro do Nascimento, ancien enfant des rues, a pris en otage un bus à Rio de Janeiro, pendant cinq heures. Après moultes négociations, l’épisode se solda par une fin tragique et l’action de la police. Une investigation minutieuse d’un événement qui a marqué les esprits et qui réinterroge les problématiques liées à la violence urbaine au Brésil.

  • Solidarity Economy Praxis Panel at the World Social Forum, México, May 2022, 2022

    Mot-clé : Brésil

  • Perpetue 664, Claudia Neubern, 2000

    Six ans après avoir quitté mon pays le Brésil, je reçois par la poste une vieille bande-son où je trouve l’enregistrement de la cérémonie de mariage de mes parents. J’avais 26 ans. C’était la première fois que j’entendais la voix de ma mère morte quand j’avais un an. Bouleversée, je décidai de faire un voyage au Brésil…

  • Cinquantenaire du deuxième sexe (Le), Carole Roussopoulos, 2001

    En janvier 1999, cinquante ans après la publication de l’ouvrage magistral de Simone de Beauvoir, Le Deuxième Sexe, un grand colloque réunit dans les batiments de la Sorbonne à Paris des hommes et des femmes (chercheurs, universitaires, philosophes, sociologues, journalistes, étudiants, écrivains) de trente-sept pays (France, Québec-Canada, Sénégal, Suisse, Liban, Brésil…). Le film est un concentré de ces cinq jours de rencontre : les moments forts, les témoignages des proches de Beauvoir, les entretiens avec des femmes venues des quatre coins du monde pour parler du rôle que Le Deuxième Sexe a joué dans leurs vies.

  • Shomôtsi, Vadete Pinhanta, 2001

    Chronique du quotidien de Shomõtsi, un Indien Ashaninka vivant à la frontière entre le Pérou et le Brésil. Le réalisateur, lui-même Indien, dresse un portrait de son oncle.

  • Shomotsi, Valdete Pinhanta Ashenika, 2001

    Chronique du quotidien de Shomotsi, un Indien Ashaminka vivant à la frontière entre le Pérou et le Brésil, le réalisateur lui-même Indien dresse un portrait de son oncle, mordant et drôle.

  • 2000 Nordestes, Vicente Amorim, David França Mendes, 2000

    Ce film est le résultat d’un voyage de 4000 km à travers les états du Nordeste brésilien. Armés d’une mini-caméra, les réalisateurs ont recueilli près de 200 témoignages des habitants de ces territoires et de la communauté nordestine de São Paulo et Rio de Janeiro. Portrait fidèle d’une population, dans laquelle on découvre une myriade de rêves, de joies et de frustrations diverses, pour autant de visages. Une réalité multiple donc, au delà des traditionnels stéréotypes.

  • Terre et la peine (La), Frédéric Letang, 1997

    En Amazonie brésilienne, des colons pauvres luttent pour s’installer et défricher un coin de forêt. Ils rejoignent le Mouvement des Sans-Terres et se heurtent aux fazendeiros et à la police militaire.

  • Sem terra, Jean Timmerman, 1997

    En Amazonie brésilienne, la question agraire est plus que jamais d’actualité. La pression des paysans sans terre pour exiger l’application des mesures concernant la réforme agraire est chaque fois plus grande et les oppose aux grands propriétaires terriens des latifundia et aux forces de police.

  • Carvoeiros (os), Nigel Noble, José Padilha, 1999

    Le processus de production de charbon végétal vu à travers le quotidien de quelques familles de l’intérieur du Brésil. Portrait de la vie des charbonniers, véritables travailleurs semi-esclaves du XXIè siècle, qui partticipent malgré eux à la déforestation de l’Amazonie.

  • Aux guerriers du silence, 1992

    Tourné en Laponie et au Brésil, ce film aborde la question des rapports de l’homme à la nature, du point de vue des peuples indigènes, Samis de l’Arctique et Fulni-ô du Brésil.

  • Boca de Lixo, Eduardo Coutinho, 1992

    Il existe au Brésil des centaines de décharges publiques où vivent des milliers des personnes. Eduardo Coutinho suit le quotidien des gens qui ramassent des ordures dans une décharge près de Rio de Janeiro. Il les accompagne pendant leur travail, leur vie à la maison, il filme leurs histoires et les rapports qui s’établissent entre eux.

  • Nuvem de veneno, Beto Novaes, 2013

    Documentaire sur les plantations du Mato Grosso, le plus grand état agricole du Brésil et aussi le plus grand utilisateur des pesticides et engrais chimiques. Plusieurs acteurs affectés par l’utilisation désordonnée de ces produtis sont invités à parler sur l’impact sur la santé des personnes et sur l’environement.

  • Enquanto o Trem não Passa, 2013

    Croisade dans la réalité des communautés dont les droits sont usurpés par les grandes sociétés minières et par le gouvernement brésilien, provoquant des changements de mode de vie des populations vivant sur ces territoires.

  • Pedra da memória, Renata Amaral

    D’un côté, une communauté afro-religieuse du Brésil voyage pour la première fois au Bénin pour aller à la rencontre de la culture de ses ancêtres, avec qui ils dialoguent quotidiennement. De l’autre, le dialogue avec les Agudás, descendants d’anciens esclaves brésiliens de retournés au Bénin après l’abolition, qui cultivent également depuis un siècle la culture brésilienne de leurs ancêtres. Documentaire musical qui propose une recherche esthétique entre les traditions des deux pays, révélant ainsi leurs liens et particularités.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Podcasts : Solidarity Economy in Latin America, 2022

    Mot-clé : Brésil

  • Cécilia (La), Jean-Louis Comolli, 1976

    Le premier film de fiction de Jean-Louis Comolli évoque la communauté fondée par l’anarchiste italien Rossi au Brésil, au XIXe siècle.

  • Sécheresse, Nelson Pereira dos Santos, 1963

    L’âpre lutte pour la survie d’une famille paysanne du nord-est du Brésil, à la fois aux prises avec la sécheresse et les abus de pouvoir des autorités.

  • Vampire (Le), Jean Painlevé, 1939

    Le Vampire est avant tout un document scientifique sur la chauve-souris du Brésil.

  • Le bonheur est la-bas, en face, Jean-Pierre BEAURENAUT

    La Baixada, l'un des états du Brésil situé entre le Nordeste et l'Amazonie. Dans ce bout du monde, des fortunes se sont édifiées sur la culture de la canne à sucre. C'était avant l'abolition, dans le Brésil colonial des maîtres et des esclaves. Notre profonde immersion dans ce bout du monde brésilien de la Baixada nous a permis d'obtenir la confiance de la communauté d'Arequipa. Dans cette ancienne fazenda de canne à sucre où leurs ancêtres ont été déportés il y a plus d'un siècle et demi, les paysans ont retrouvé un mode de vie proche de celui de leurs ancêtres Africains. Mais derrière cette image idyllique d'une communauté étroitement soudée, se cache une réalité plus âpre : celle d'un univers moribond qui pousse les plus jeunes à déserter la terre. Dans le Brésil d'aujourd'hui, l'appel de la ville est irrésistible.

  • Cidades e Soluções - Edição de 21/10/2019: Restaurante Na minha casa, Rio de Janeiro, 2019

    Mot-clé : Brésil

  • Retratos de identificação, Anita Leandro

    Retratos de Identificação est le premier film brésilien construit à partir d’archives photographiques produites par les agences de répression de la dictature militaire. Les images d’archives sont réanimées par le biais d’entretiens avec deux anciens résistants.

  • Haricots noirs et drapeau rouge, Bertille Darragon

    Ce documentaire présente la condition des Brésiliens qui, dans le cadre du Mouvement des Sans Terre (MST) occupent et revendiquent des terres qui ne leur appartiennent pas, afin de pouvoir les travailler et gagner ainsi leur vie. La caméra s’introduit dans 3 campements différents, pour témoigner de l’organisation de la vie en communauté, de la lutte pour la terre et de l’espoir que nourrit ce Mouvement auprès de ceux qui le portent.

  • Saudade, du fado au semba, Jean-François BIZOT, Rémy KOLPA KOPOUL

    L'empire musical lusophone a survécu au démantèlement de l'empire portugais. Au Cap Vert, en Angola ou au Brésil, la musique portugaise (fado, fandago...) a laissé son empreinte. Jean François Bizot et Rémy Kolpa illustrent leur propos avec les musiciens Lulendo et Bonga d'Angola, Cesaria Evora du Cap Vert, Bevinda du Portugal, auxquels se joignent quelques Brésiliens de la scène parisienne. Si Cesaria Evora, filmée au Womex de Berlin en 1993, trouve à la "morna" des accents plus blues que fado, c'est peut-être par identification aux noirs d'Amérique, dont le destin lui rappelle celui de son peuple. Bonga, le fils des bidonvilles de Luanda, reconnaît dans les rythmes du carnaval brésilien la cadence "semba" dont résonnait les rues de son enfance. Son compatriote Lulendo accompagne au piano à pouces de belles mélodies est-africaines. Rejoint par quelques comparses, dont la brésilienne Regina Celia, il est aussi capable de cadences chaloupées. La palme du glamour revient à la portugaise Bevinda, pour qui le fado reste, comme le seront plus tard le blues et la "morna", la plainte de l'absence : une communauté de sentiments qui explique peut-être la similarité des musiques. Anaïs Prosaïc - CNC, Images de la Culture

  • Ni travail, ni famille, ni patrie, Mosco BOUCAULT

    "Ils étaient lycéens, étudiants, fils de paysans, ouvriers. Il y avait parmi eux des juifs, des étrangers et des communistes. Certains étaient nés en France, d'autres en Pologne, en Hongrie, en Roumanie, en Italie, en Espagne ou au Brésil. En 1939, ils ne se connaissaient pas. En 1943, ils prenaient ensemble les armes à Toulouse pour combattre l'occupant nazi et le régime de Vichy. Ils racontent."- BPI

  • Les Fôrets vierges, Marie-Hélène REBOIS

    Le titre donne le ton : dans le cadre des actions en direction des enfants menées par le centre chorégraphique national du Havre, François Raffinot, chorégraphe et directeur, propose un travail sur la multiplicité engendrée aujourd'hui par le cosmopolitisme des métropoles modernes et son avatar le plus sensible : la fracture sociale. "Les Forêts vierges" s'inspirent du "Livre de la jungle". Marie-Hélène Rebois a suivi les séances de répétition d'élèves provenant de plusieurs quartiers "sensibles" du Havre, animées par un groupe de danseurs et le metteur en scène Julien Bouffier. A ces enfants qui n'en avaient jamais entendu parler, François Antoine, Florence Arnal, Valérie Crépin, Kalpana et Gilles Sautric ont enseigné des danses traditionnelles : le kathakali, le bharata natyam, la capoeira brésilienne et des danses africaines. Ils avouent leur faible pour le langage des danses indiennes, les gestes de main des Mudra qui racontent des histoires et les neuf expressions du visage du kathakali où se résument la palette des émotions. Un compte-rendu mené fidèlement sur une expérience captivante.

  • Le Jardinier des mots, François MAILLART

    "Luis Rosa, jardinier à ses heures, personnalité attachante et généreuse, dirige l'association "Cardan" à Amiens qui a pour objectif de lutter contre l'illettrisme et l'exclusion. Filmé dans son jardin des hortillons, une zone de marais proche de la ville, ainsi que dans le cadre de son association, il évoque son parcours personnel, l'itinéraire qui l'a conduit de son Brésil natal à la France, mais il parle surtout des raisons qui l'ont poussées à aider les personnes en difficulté, notamment des adultes qui ne savent pas ou plus lire. Le film donne également la parole aux formateurs, bibliothécaires, enseignants et écrivains qui accueillent ces adultes, leur apprennent à lire ou organisent des ateliers d'écriture. Le réalisateur réussit particulièrement bien à approcher plusieurs de ces adultes, souvent marginalisés, et dont les témoignages confiants, dignes, parfois bouleversants font la force de ce court film." - France 3

  • Joseph Mustacchi dit Georges Moustaki, Marie BINET

    D'Alexandrie à Paris, le chanteur ouvre le livre d'images de son enfance méditerranéenne et de ses amitiés musicales : Piaf, Reggiani, Henri Salvador, Paco Ibanez, Barbara... Des images d'archives de mai 68, de la Grèce des Colonels et de la révolution des Oeillets illustrent ses engagements qui se radicalisent après son interdiction de se produire en Espagne. L'écrivain brésilien Jorge Amado, qui a fait de Georges Moustaki un personnage de son roman "Yansan des orages", vante son sentiment de liberté et son sens de la fraternité. Le Brésil est d'ailleurs pour ce "voyageur du temps et de l'espace" un des pays qui a réussit "la plus belle synthèse que l'on puisse rêver entre les musiques africaines, portugaises, indiennes et européennes". Ses habitants ont avec elle une intimité et une exigence très rare. La chanson reste pour cet "Africain des bords de la Méditerranée", tel qu'il se nomme lui-même, un art de l'émotion. "Elle peut seule créer une chanson ; il n'y a pas assez de place pour autre chose, dit-il, et l'amour en est la source chaque fois renouvelée." (Marie Christine Balcon, CNC-Images de la culture)

  • Eco-réfugiés: les exilés d'une planète en danger, Hélène CHOQUETTE, Jean-Philippe DUVAL

    "Il existe aujourd'hui plus de 25 millions de réfugiés écologiques, qui ont dû se déplacer soit parce que leur terre est devenue dangereuse, stérile, ou parce qu'elle n'existe tout simplement plus... Une réalité méconnue et alarmante filmée à travers trois familles d'éco-réfugiés au Brésil, Canada et îles Maldives..." -(Le point du jour)

  • Arte Négra, voyage aux sources de la capoeira, Caline DELHEM

    La capoeira est à l'origine d'une culture à part entière, aujourd'hui plus que jamais vivante, où se croisent philosophie de vie et religions autour d'un large projet de structuration du lien social et des solidarités. En visite au Brésil, où il retourne tous les deux ans, Marcelo, « Cacique », jeune capoeiriste brésilien installé en France, nous amène « recharger ses batteries » en allant puiser son énergie chez les grands maîtres de cet art martial mêlé de danses afro-brésiliennes : à Rio d'abord, puis à Salvador de Bahia, lieu de sa communauté d'origine, épicentre de la capoeira. Nous allons de « roda en roda », de groupe en groupe, à la rencontre de son maître, de ses amis, de sa mère, du prêtre et de la mère de Saints qui veille sur Branquinha (une jeune femme elle aussi figure du groupe). Nous rencontrons Mestre Tony Vargas, Mestre Marrom et Mestre Ramos à Rio. Nous découvrons l'univers des quartiers pauvres de Bahia et tout ce qui a fait de « Cacique » un capoeiriste de haut niveau et une figure du groupe « Arte Negra », aujourd'hui très présent en Europe. Présentation éditeur

  • Boaventura de Sousa Santos - As Ciências no Tempo da Pandemia, 2021

    Mot-clé : Brésil

  • Lanzamiento de la Red Latinoamericana de Mujeres de la ECONOMÍA SOCIAL Y SOLIDARIA, 2020

    Mot-clé : Brésil

  • Certex - Dons de vêtements et friperie, 2015

    Mot-clé : Brésil

  • DOC_Paul Singer - Teaser, 2019

    Mot-clé : Brésil

  • Porto da Pequena Africa, Claudia Mattos, 2014

    Les origines de la zone portuaire de Rio de Janeiro, appelée la Petite Afrique. Un lieu fort de son héritage culturel africain où sont nées les principales marques des cariocas dont le berceau de la samba, le football, les importantes révoltes sociales et syndicales, la malice et la première favela de la région. C’est avec la Petite Afrique que Rio apprit à être Carioca.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Quand l’agroécologie enrichit les femmes des quartiers populaires, 2013

    Mot-clé : Brésil

  • Économie sociale ou Économie solidaire, différents concepts mais une même finalité, 2012

    Mot-clé : Brésil

  • Quilombo da familia Silva, Sergio Valentim, 2012

    Histoire du premier quilombo urbain reconnu et attitré, qui se trouve dans un secteur noble proche du centre de Porto Alegre. La résistance de cette communauté qui revendique ses droits, évoque leurs ancêtres qui se sont battus pour la liberté.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Madza Ednir, Story the Future, 2018

    Mot-clé : Brésil

  • Hoy América Latina mira a México con ojos de esperanza, 2018

    (Présentacion Libro El proyecto histórico político de la economía social y solidaria)

    Mot-clé : Brésil

  • I a IV - Iniciativa da FASE na BA fortalece geração de renda de agricultores familiares, 2018

    Mot-clé : Brésil

  • Interview de Daniel Tygel pour TV Canada sur l’Economie Solidaire, dans le cadre du FIESS, 2011

    Mot-clé : Brésil

  • Racismo: Evidência, Reflexão e Luta, Margot Ribas, 2011

    Des étudiants, des professionnels, des politiciens, des militants et la population en général réfléchissent sur la persistance du racisme et sur ses implications dans les médias, l’éducation, la culture, le logement, l’emploi et les mouvements sociaux.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Invenções Democráticas no Quilombo, David Calderoni, 2010

    Dans le Quilombo da Fazenda, les habitants affirment aujourd’hui leur autogestion à travers la vie associative, la mise en place d’une coopérative et la valorisation de leur culture.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Euclides Mance : Economia della Liberazione, 2017

    Mot-clé : Brésil

  • Conversas Pretas/RJ - Professor William Calhoun, 2017

    Mot-clé : Brésil

  • SEMILLAS, ¿bien común o propiedad corporativa?, 2017

    Colectivo de Semillas de América Latina

    Mot-clé : Brésil

  • Série Ideias para Economia Solidária - Isabelle Hillenkamp, 2017

    1. Karl Polanyi e a economia plural

    Mot-clé : Brésil

  • Série Ideias para Economia Solidária - Genauto França Filho, 2017

    2. Redes de economia solidária

    Mot-clé : Brésil

  • Série Ideias para Economia Solidária - Isabelle Guérin, 2017

    3. Microfinanças e finanças solidárias

    Mot-clé : Brésil

  • Série Ideias para Economia Solidária - Genauto França Filho, 2017

    4. Economia popular e solidária : conceitos e práticas

    Mot-clé : Brésil

  • Série Ideias para Economia Solidária - Joao Martins Tude, 2017

    6. Desenvolvimento local

    Mot-clé : Brésil

  • Série Ideias para Economia Solidária - Leonardo Leal, 2017

    5. Finanças solidarias

    Mot-clé : Brésil

  • Producción de economías solidarias desde el territorio, 2017

    Conversaciones en la UPLA

    Mot-clé : Brésil

  • Ibiri tua boca fala por nós, Nilma Accioli, 2008

    Le documentaire raconte l’histoire des sœurs Conceição da Silva, descendantes d’un groupe d’esclaves du Congo arrivés dans la région de Papicu (RJ) au XIX siècle. Après avoir été expulsées d’une manière violente de leur terre et s’être cachées dans la forêt, elles ont réussi à avoir un morceau de terre. Elles marchent pour 12 km pour vendre le peu qu’elles arrivent à cultiver. Elles survivent avec l’espoir de se marier, puisque elles sont «moças».

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Até onde a vista alcança, Felipe Peres Calheiros, 2007

    En 2005, lors d’une réunion de l’association Quilombola do Sambaquim et Riachão do Sambaquim, surgit l’idée d’unir les forces pour atteindre un rêve collectif : voir la mer…

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Raizs - Valorizando pessoas através da alimentação saudável, 2016

    Mot-clé : Brésil

  • PALMAS - legendas Inglês, 2016

    Mot-clé : Brésil

  • Documentário PALMAS - legendas Português, 2016

    Mot-clé : Brésil

  • Margem do Corpo (À), Debora Diniz, 2006

    En retraçant, à travers les témoinages d’amis, de juristes, d’employeurs et de prêtres, l’histoire de Deuseli, jeune noire de 19 ans, violée par son beau père, ce film aborde la problématique de la condition des femmes noires et les injustices auxquelles elles sont confrontées.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Cidade das Mulheres (A), Lázaro Faria, 2005

    Portrait du rôle des femmes dans le Candomblé, et plus largement, de leur rôle dans la ville de Salvador de Bahia, historiquement et aujourd’hui. Le film cherche à comprendre pourquoi on parle ici de société matriarcale, à partir de la vision de Ruth Landers, ethnologue américaine qui a vécu à Salvador dans les années 30, et auteure de « The City of Women ».

    Mots-clés : Folklore brésilien, Noirs du Brésil

  • Nobreza Popular, Beth Formaggini, 2005

    La fête de « Nossa Senhora do Rosario dos homens pretos » et autres cérémonies dans la communauté du Nord du Chapadas, Minais Gerais, qui empruntent autant au catholocisme, qu’aux rites des afrodescendants, sont l’occasion de montrer la résistance culturelle de la communauté noire.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Balé de pé no chão. A dança afro de Mercedes Batista, Lilian Sola Santiago, Marianna Monteiro, 2005

    Ce documentaire accompagne la trajectoire singulière de Mercedes Batista, danseuse de formation, érudite et considérée comme la principale précurseur de la danse afro. Ses créations chorégraphiques inspirées notamment des danses des rituels du candomblé, sont toujours identifiées comme répertoire gestuel de la danse afro.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Grupos de Consumo Responsável, 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Grupos de Consumo Responsável, 2015

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  • RedeMoinho- Comercio justo e solidário, 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Mr. Daniel Tygel at RIPESS Manila 2013, 2015

    5th RIPESS International Meeting of SSE, Manila, Philippines, October, 15-18, 2013.

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  • Economia Solidária, 2015

    Solikon 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Interview mit Paul Singer über Solidarische Ökonomie, 2015

    Solikon 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Solikon 2015: Regionalforen - solidarisch wirtschaften in Berlin-Brandenburg und Brasilien, 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Economia Solidária é alternativa para geração de emprego e renda, 2015

    Mot-clé : Brésil

  • I CONPES - Congreso de Pesquisadores de Economia Solidaria « Desafios globais do trabalho com mediaçao solidaria », Universidade Federal de São Carlos, 17 a 19 de junho de 2015 (Conferência final), 2015

    Mot-clé : Brésil

  • I CONPES - Congreso de Pesquisadores de Economia Solidaria « Desafios globais do trabalho com mediaçao solidaria », Universidade Federal de São Carlos, 17 a 19 de junho de 2015 (Mesa 3), 2015

    Mot-clé : Brésil

  • I CONPES - Congreso de Pesquisadores de Economia Solidaria « Desafios globais do trabalho com mediaçao solidaria », Universidade Federal de São Carlos, 17 a 19 de junho de 2015 (Mesa 2), 2015

    Mot-clé : Brésil

  • I CONPES - Congreso de Pesquisadores de Economia Solidaria « Desafios globais do trabalho com mediaçao solidaria », Universidade Federal de São Carlos, 17 a 19 de junho de 2015 (Mesa 1), 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Horta Comunitária na Vila Nova Esperança, 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Retos y desafíos del movimiento de la Economía Solidaria (Daniel Tygel), 2015

    IDEARIA - 12º Encuentro de Economía Alternativa y Solidaria, Córdoba, del 30 de abril al 3 de mayo 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Virtual Fair Bem da Terra, 2015

    Mot-clé : Brésil

  • Feira virtual Bem da Terra, 2015

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  • FORTALECIMENTO DA ECONOMIA SOLIDÁRIA NO BRASIL, 2015

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  • Paul Singer. Charla magistral en el Congreso Internacional de Cooperativas y de Economia Social Solidaria, Chile, 2015, 2015

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  • Além do Samba - a resistência afro-brasileira, Cesar Cavalcanti, 2000

    « Além do Samba » enquête sur le quotidien et la culture de la population d’origine africaine à Florianopolis, capitale de l’Etat de Santa Catarina, marqué par une diversité ethnique et culturelle, et particulièrement par la forte présence de cultures européennes, rendant les descendants afro invisibles. En utilisant la métaphore du « miroir brisé », le film révèle diverses interprétations fragmentées du contexte abordé, en prenant le miroir comme matériel reflétant la réalité, et le marteau comme instrument de transformation.

    Mot-clé : Noirs du Brésil

  • Economia Feminista e Solidária, 2014

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  • REDE TUCUM - TERRAMAR - Turismo Comunitario, 2014

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  • Banco Palmas (en 5 partes), 2013

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  • Agência Solano Trindade, 2013

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  • SEMINARIO ASOCAM Diego Rego, 2013

    XVI Seminario ASOCAM, 25 al 27 de noviembre 2013, Quito, Ecuador

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  • Mr. Paul Singer at Asean Leadership Forum 2013 , 3rd Day of RIPESS Manila 2013, 2013

    5th RIPESS International Meeting of SSE, Manila, Philippines, October, 15-18, 2013.

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  • O início dos bancos comunitários: Conjunto Palmeira e o surgimento do Banco Palmas, 2013

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  • Circuito Integrado de Cooperativas da Agricultura Familiar e Economia Solidária, 2013

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  • Um dia na vida de uma cooperativa de catadores, 2013

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  • Paul Singer: « Economia Solidária é iniciativa para realização de um sonho histórico », 2013

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  • Educação popular e economia solidaria em Brasil, 2013

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  • Tudo sobre rodas, Sergio Bloch, 2005

    Au départ: la roue, une invention vieille de 7000 ans, à l’origine de la révolution.A l’arrivée: le portrait du quotidien d’un petit nombre d’habitants de Rio de Janeiro qui à l’aide de véhicules non motorisés gagnent leurs vies dans les rues de la mégapole.

  • Rede Tucum, 2012

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  • Escola de formação básica multiplicadora da economia popular solidária, 2012

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  • Bancos Comunitarios de Brasil, 2012

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  • Tecnologia Social para Finanças Solidárias - Banco Palmas, 2011

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  • Escola de Economia Popular Solidária - Maringá-PR, 2011

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  • Consumo Solidário: Cadeias Produtivas na Economia Solidária, 2011

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  • Comércio Justo e Solidário: Sistema Nacional do Comércio Justo e Solidário, 2011

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  • Economia solidaria com Paul Singer, 2011

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  • Mulheres Guerreiras da Babilônia, 2011

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  • Bom para Todos: ‬Economia Solidária‪ - parte 1 a 3‬ - Rede TVT‬, 2011

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  • Filme - Economia Solidária.wmv, 2011

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  • Mini cine Tupy, Sergio Bloch, 2002

    Jose Zagati collecte des cartons pour les recycler le dimanche.Il projette de vieux films dans son garage pour les enfants du quartier.Une salle de cinéma montée de toutes pièces avec du matériel récupéré.

    Production : Abbas filmes (Brésil)

  • 3a1 - Banco Palmas (Parte 1 e 2), 2010

    TV Brasil

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  • Clube de Trocas, 2010

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  • Globo Reporter A Surpreendente Economia dos Palmas, 2009

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  • Viva a Alternativa! Solidarische Ökonomie in Deutschland und Brasilien, 2009

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  • Viva a Alternativa! Solidarische Ökonomie in Deutschland und Brasilien, 2009

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  • Como funcionam as cooperativas de catadores, 2009

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  • BEYOND GRAMACHO, 2009

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  • BANCO PALMAS, 2009

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  • BANCO PALMAS, 2009

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  • Cooperativismo Popular - Globo Repórter, 2008

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  • Economia solidária: princípios e perspectivas - Paul Singer, 2007

    6a Oficina para inclusâo digital, 26 a 27 de novembro 2007

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  • A revoluçao do Consumo - Banco Palmas, 2007

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  • O guia para constiuição de cooperativas

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