Quand le cinéma donne envie de changer le monde...

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  • Autour du 1er mai : 51 résultats

    base des films qui interrogent la société

  • Socioeco.org : 32 résultats

    site ressources de l’économie sociale et solidaire

  • Médiathèque A. Sayad : 29 résultats

    musée de l’histoire de l’immigration

  • Autres Brésils : un résultat

    décryptage de la société brésilienne pour un public francophone

  • BED (Bretagne et diversité) : un résultat

    films emblématiques de la diversité culturelle dans le monde

  • Système Total (Le). Anatomie d’une multinationale de l’énergie, Jean-Robert Viallet, 2022

    À l’heure du dérèglement climatique et de l’explosion de la demande mondiale en pétrole et en gaz, la compagnie TotalEnergies peut-elle s’imposer comme un acteur crédible de la transition énergétique ?

  • ENERCOOP, 100% d’énergie renouvelable en Languedoc-Roussillon, France, 2015

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Énergie positive des dieux (L’), Laetitia Møller, 2021

    Leur musique est une déferlante de rock électrique. Leurs textes assènent une poésie sauvage. Stanislas, Yohann, Aurélien et Kevin sont les chanteurs du groupe Astéréotypie. Issus d’un institut médico-éducatif accueillant de jeunes autistes, ils dévoilent sur scène leurs univers détonants.

  • Petit-déjeuner « Transition énergétique et énergies renouvelables » (ARPE Midi-Pyrénées), 2013

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Face cachée des énergies vertes (La), Guillaume Pitron, Jean-Louis Pérez, 2020

    Technologies vertes mais polluantes, recyclage impossible… : cette vaste enquête menée à travers le monde révèle les effets pervers des solutions propres pour parvenir à la transition énergétique.

  • Mayotte, hip-hop (r)évolution, Nadja Harek, 2017

    Dans les années 2000, le hip-hop à Mayotte n'existait pas, ou presque. Aujourd'hui, dans une énergie qui rappelle les origines de cette culture en Occident, toute une jeunesse mahoraise se fédère, par milliers, autour de ce mouvement... Nadja Harek est allée à la rencontre des activistes de ce mouvement. Ils sont danseurs, grapheurs, musiciens, associatifs, et ils permettent à une jeunesse française et pourtant oubliée, de s'exprimer, de rêver. Le hip-hop se révèle être un moyen d'apprendre à croire en eux, à trouver place dans la société, à affirmer leurs rêves et leur identité. Ou pour le dire autrement : une manière de naître à eux-mêmes.

  • Sucre et des fleurs dans nos moteurs (Du), Jean-Michel Rodrigo, 2006

    Les réserves de pétrole s’épuisent, la consommation augmente de façon vertigineuse, le prix du baril flambe. Les accords de Kyoto contraignent les nations industrielles à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. L’avènement des agrocarburants semble inéluctable. Au Brésil, 40% de la consommation de carburants proviennent déjà des champs de canne. Les Etats-Unis bâtissent à leur tour des usines à la chaîne et l’Europe, soucieuse de son indépendance énergétique, est entrée dans la course. La France met les bouchées doubles et ses agriculteurs se voient volontiers confier le rôle « d’énergie-culteurs ». La fièvre actuelle de « l’or vert » devrait tout de même se heurter à de véritables limites. Il n’y aura jamais assez de terre pour cultiver l’énergie nécessaire à faire rouler tous les moteurs du monde.

    Mots-clés : Energie, Energie fossile

  • Société Coopérative d’Intérêt Collectif (SCIC) : Bois, énergie des terroirs., 2015

  • Neko, dernière de la lignée, Anastasia Lapsui, 2011

    Sibérie soviétique, années 1960. La jeune Neko, enfant du peuple nomade des Nenets, vit au rythme des saisons en plein cœur de la toundra avec sa grand-mère et son père. Elle se destine à devenir chamane. Mais la région, riche en énergie, intéresse le pouvoir soviétique. Comme d'autres, Neko va être arrachée à sa famille pour être éduquée dans un internat à la gloire du parti. Rebaptisée Nadja, dernière de sa lignée, sa vie ne sera plus jamais la même.

  • Énergies fossiles : mortelles subventions (Série #DATAGUEULE), Julien Goetz, Henri Poulain, 2015

    4 minutes sur les financements publics et privés dans les énergies fossiles, le nécessaire désinvestissement du secteur et l’investissement dans les énergies renouvelables propres.

  • En quête d’énergies durables, Sonia Henry, Loïc Baffier, 2015

    Un documentaire qui propose un tour de France des énergies renouvelables. En fonction des atouts naturels de nos territoires, notre potentiel en la matière ne manque pas dans l’hexagone. Outre l’énergie hydraulique, dont nous avons déjà tiré largement parti, le solaire, l’hydrolien, l’éolien notamment, offre de véritables pistes de développement. Le niveau de production de ces énergies reste, par nature, souvent imprévisible et elles ont encore bien du mal à exister face à l’énergie nucléaire.

  • Florent PAULY, gérant de la SCIC Ariège Energie Bois Forêt, 2013

  • L'énergie de l'espoir, Jean-Marie FAWER

    "Ils ont entre 16 et 18 ans. Ils ont fui leur pays : l'Angola, la Guinée ou la Russie. Après des parcours d'une grande violence, ils débarquent clandestinement à Strasbourg. Pour l'administration, ce sont des « Mineurs étrangers isolés ». Pour d'autres - éducateurs, juristes, citoyens - ce sont des enfants qu'il ne faut pas « laisser tomber ». Ils découvrent alors des jeunes dont l'énergie à se reconstruire en France est bouleversante. Parce qu'ils n'ont pas le choix, les épreuves sont vécues comme autant de défis : l'apprentissage de la langue, la découverte d'une société aux antipodes de la leur, la solitude profonde de l'exil. Sous le regard bienveillant de ces adultes responsables, ces jeunes réintègrent petit à petit le monde des humains, partageant leurs espoirs, leurs rêves, leurs désarrois aussi. A l'heure du durcissement législatif des frontières de l'Europe, ces adultes par leur action quotidienne en faveur des mineurs étrangers résistent aux démons du repli national et s'inscrivent avec force dans les traditions généreuses de la France. Vartan, Rochette, Juliao, Mohamed et Abdalah , l'avenir de la France pour demain ?" M3M

  • In Coop: energie rinnovabili, sostenibilità e ambiente, 2015

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Virage vers le futur. Mobilités rurales, alternatives à la voiture individuelle, Samantha Duris, Olivier Perrot, 2022

    Un état des lieux de la mobilité en zone rurale et des solutions alternatives pour répondre au besoin de l’économie d’énergie.

  • Finite, Rich Felgate, 2022

    Un aperçu brut, authentique et chargé d’émotions du monde de l’action directe. Une plongée au cœur des communautés situées en première ligne de la lutte contre les multinationales des énergies fossiles.

  • Et la maîtrise de l’énergie alors ?, Mathieu Eisinger, 2011

    Une vidéo humoristique qui montre notre consommation d’énergie et présente quelques pistes pour la réduire, le tout accompagné par la mascotte humaniste Pouly.

  • We the Power, David Garrett Byars, 2021

    Partout en Europe, des habitants se mobilisent contre des monopoles et diktats énergétique et engagent des actions pour se réapproprier localement leur production énergie. Découvrez leurs histoires avec ce documentaire qui s’inscrit dans la campagne éponyme lancée par le réseau de coopératives énergétiques !

  • De l’énergie à revendre. Des militants de Greenpeace en Cotentin, Marc Toulin, 2007

    De l’Énergie à revendre interroge la militance de bénévoles anti-nucléaires en restituant différents moments de vie au cœur de l’association Greenpeace.

  • Energies renouvelables (Les), Jean-Claude Chataur, 2004

    Ce film, tourné dans plusieurs régions de France et en Suisse, montre différentes réalisations concernant l’ensemble des énergies renouvelables. Eolien, solaire, hydraulique, énergie bois, biogaz, biocarburants, géothermie, économies d’énergie, maisons autonomes…

  • Decazeville, l’énergie de vivre !, Pascal Foullounoux, Stéphane Rezki, 1998

    La lutte de toute une population qui à travers la fin de la mine et de son bassin minier, premier pourvoyeur d’emplois de la ville, doit se battre pour ne pas subir une « double peine » et conserver ses services publics: commissariat, hôpital, maternité…

  • La cour de Babel, Julie Bertuccelli, 2014

    Ils viennent d'arriver en France. Ils sont Irlandais, Serbes, Brésiliens, Tunisiens, Chinois ou Sénégalais... Pendant un an, Julie Bertuccelli a filmé les échanges, les conflits et les joies de ce groupe de collégiens âgés de 11 à 15 ans, réunis dans une même classe d'accueil pour apprendre le français. Dans ce Petit théâtre du monde s'expriment l'innocence, l'énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie, remettent en cause beaucoup d'idées reçues sur la jeunesse et l'intégration et nous font espérer en l'avenir...(résumé éditeur)

  • En quête d’autonomie, Demos Kratos, 2019

    Face à l’effondrement économique, politique et biotique, il devient impératif d’apprendre à être résilient. Les habitants de trois écovillages partagent les enseignements qu’ils ont tirés pour bâtir leurs habitats, produire leur énergie, faire pousser leur alimentation, s’organiser en collectif et ainsi devenir plus autonomes.

  • Energies danoises, Per Mannstaedt, 1979

    Au Danemark certains gens produisent eux-mêmes l’énergie dont ils ont besoin grâce à des moulins et des capteurs solaires.

  • Va voir le délégué, Daniel Bouy, 2018

    Des femmes et des hommes consacrent leur temps, leur énergie, leur intelligence et leur coeur à la défense de leur collègues de travail au sein d’un syndicat. Qui sont-ils ? Quelles sont leurs motivations ? Quel est leur quotidien ? Qu’espèrent-ils ? Que retirent-ils de cet engagement ? Comment sont-ils perçus par leurs familles, leurs collègues, leur hiérarchie ? « Va voir le délégué » propose d’aller à la rencontre de ces « citoyennes et citoyens de l’entreprise ».

  • Nucléaire : l’impasse française, Patrick Benquet, 2018

    Depuis cinquante ans, la France produit 75% de ses besoins en électricité grâce à la filière nucléaire. Un cas unique au monde. Alors que de plus en plus de pays sortent du nucléaire, que l’on ne sait toujours pas comment démanteler les centrales en fin de vie et que le coût des énergies renouvelables ne cesse de baisser, la France est de plus en plus isolée dans ses choix pro-nucléaires. Des choix qui pèsent très lourds sur le budget de l’Etat et qui font prendre à la France un retard colossal en termes de transition énergétique. Qui paiera la facture du nucléaire ?

  • Épopée des gueules noires (L’), Fabien Béziat, Hugues Nancy, 2017

    La France a depuis 2004 définitivement tourné le dos à l’extraction de la houille. Jugée peu rentable et trop polluante, elle a été remplacée par le pétrole, le nucléaire et les énergies renouvelables. Pourtant, cet or noir a énormément compté dans l’histoire industrielle française. Pour parvenir à fournir les millions de tonnes de charbon nécessaires à l’essor économique et industriel des entreprises françaises, des centaines de milliers de mineurs ont bravé pendant près de deux siècles le danger, la peur, le noir, la chaleur, les coups de grisou et la silicose.

  • Marc Petit, sous le ciel des vivants, Emma Le Bail Deconchat, 2017

    Comment est-on sculpteur, jour après jour, pièce après pièce ? Quelle énergie nourrit l’esprit, incite à se mettre au travail coûte que coûte ? Sans savoir ce qu’il va sortir de la matière, inerte avant que les mains ne viennent s’y plonger, avant que le cœur ne cherche à s’y trouver mêlé. Marc Petit, artiste depuis 35 ans, m’ouvre les portes de sa création. Passion, matière, mise au monde. Alliance suprême ? Et quoi de plus ?

  • Power to change, Carl-A. Fechner, 2016

    Ce documentaire présente la vision d’un futur où l’énergie est à 100% renouvelable. Depuis quelques années, des centaines de milliers d’individus font de cette vision une réalité. Précurseurs, inventeurs, visionnaires… Ces pionniers de la transition énergétique contribuent, par leurs actions locales, à la révolution énergétique de tout un pays. Ce film est un plaidoyer pour une mise en œuvre rapide de cette révolution.

  • Biologie 2.0, Jérôme Scemla, Charles-Antoine de Rouvre, 2016

    De la cellule à l’organisme, de la molécule à l’écosystème, le vivant foisonne… La biologie s’est attachée à observer cette nature fascinante, pour la comprendre et la maîtriser. Aujourd’hui, des ingénieurs du vivant veulent fabriquer de nouveaux organismes. C’est le pari de la biologie de synthèse. Cette techno-science, ou biologie 2.0, promet de résoudre nos problèmes de santé, d’environnement, d’énergie… S’agit-il d’une nouvelle et ultime révolution industrielle ? Peut-on réécrire le livre de la vie, le programmer et l’utiliser comme une machine ?

  • Audio : Faire éco : le podcast du Labo qui transforme votre vision de l’économie !, 2021

    Mot-clé : coopératives d’énergie renouvelable

  • The Fits, Anna Rose Holmer, 2015

    Toni, 11 ans, s’entraîne dans la salle de boxe de son grand frère. Elle y découvre une variante très physique du hip hop, le drill. Attirée par son énergie, Toni abandonne peu à peu la boxe pour la danse…

  • Internet, la pollution cachée, Coline Tison, Laurent Lichtenstein, 2015

    Le web est entré dans notre quotidien et il intervient partout, du paiement des impôts à l’achat d’une pizza, en passant par les discussions professionnelles et les appels vidéo entre proches. Mais qu’est-ce qui se cache derrière Internet ? Comment fait ce gigantesque réseau pour être toujours accessible, jour et nuit ? Il lui faut en réalité de l’énergie, beaucoup d’énergie.

  • Demain, Cyril Dion, Mélanie Laurent, 2015

    Et si montrer des solutions, raconter une histoire qui fait du bien était la meilleure façon de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales ? Une enquête dans dix pays à la rencontre de celles et ceux qui réinventent l’agriculture, l’énergie, l’économie, la démocratie, l’éducation… en bref, le monde de demain.

  • Neige, Laila Pakalnina, 2014

    Le point plus haut de la Lettonie ne se situe qu’à 311 mètres au-dessus du niveau de la mer ; pourtant les amateurs de ski de descente y abondent. Pour répondre à leur désir – sans avoir accès aux ressources financières des Émirats -, le peuple letton a fait preuve d’un grand esprit d’inventivité et dépensé beaucoup d’énergie

  • De là-bas et d'ici - Accrorap, Éric Legay, 2008

    Le chorégraphe Kader Attou, qui se situe à la croisée de cultures entre hip hop et danse contemporaine, nous émerveille avec une énergie fulgurante et un humour sensible... Ce travail documentaire met en avant la poésie qui émane de sa démarche et ses interrogations autour de l'exil et du déracinement... - Présentation éditeur

  • Boy Saloum, Audrey Gallet, 2013

    Ils ont trente ans, une énergie de feu et un charisme hors du commun. En 2011, ces jeunes Sénégalais créent le mouvement « Y’en a marre ». Ils ne savent pas encore qu’ils vont rejoindre la grande Histoire en prenant la tête de la contestation sociale contre le régime. Symboles d’une jeunesse africaine ancrée dans l’époque, ouverte sur le monde et avide de culture, ils sont attachés à la démocratie et ont le courage de se battre pour la faire valoir, bien loin des clichés occidentaux sur l’Afrique.

  • Cour de Babel (La), Julie Bertuccelli, 2013

    La réalisatrice suit le quotidien d’une classe d’accueil d’un collège parisien : 24 élèves, 24 nationalités… Dans ce petit théâtre du monde s’expriment l’innocence, l’énergie et les contradictions de ces adolescents qui, animés par le même désir de changer de vie et de vivre ensemble, bouleversent nos idées reçues et nous font croire en l’avenir…

  • Mélancolie des beaux jours (La), Hongki Lee, 2013

    Woosuk Yun, une septuagénaire pleine de ressource, vit dans un village de pêcheurs de la baie de Suncheon, en Corée du Sud. Dans les décors magnifiques qu’offre cette région du pays au matin calme, nous la suivons au grès des saisons, alors qu’elle s’adonne avec énergie et panache aux travaux des champs, à la pêche et à la vente de poissons.

  • Gasland part 2, Josh Fox, 2013

    En 2010, Josh Fox réalisait un documentaire nominé aux Oscars sur les premiers forages de gaz de schiste aux États-Unis. Dans cette suite, il essaye d’entrevoir les conséquences à plus long terme de ce gisement d’énergie tant sur le plan écologique que sanitaire. Parcourant les États-unis, il collecte les témoignages des premières victimes du gaz de schiste.

  • Sans lendemain, Dermot O’Connor, 2012

    Ce film d’animation questionne notre mode d’exploitation des énergies fossiles et des ressources naturelles, ses conséquences au niveau planétaire et l’impasse où nous mène notre modèle de croissance.

  • Bismarck est foutu, Carole Equer-Hamy, Martine Scemama, 2012

    À Cherbourg en 1942, l’arrestation d’une faiseuse d’anges, de ses pourvoyeuses, de ses « patientes », mobilise le temps et l’énergie des policiers et des juges dans cette ville la plus occupée de France. Cette traque conduira à la mise à mort de l’avorteuse par une juridiction politique mise en place par Vichy : le Tribunal d’État.

  • On vient pour la visite, Lucie Tourette, 2012

    Des sans-papiers gagnent leur régularisation: une grève inédite filmée de l’intérieur. En situation irrégulière, Mohamed, Diallo, Hamet travaillent depuis des années dans la restauration, le nettoyage ou le bâtiment. En 2009, ils se mettent en grève pour obtenir leur régularisation. Ils investissent toute leur énergie dans cette bataille : une fois leur clandestinité révélée au grand jour, impossible de revenir en arrière.

  • Chaux, une forêt en mouvement, Jean-Philippe Macchioni, 2012

    22 000 hectares d’un seul tenant, 2ème forêt feuillue de France. Mais elle est beaucoup plus qu’une simple forêt : la forêt de Chaux a traversé les siècles, survécu à toutes les vicissitudes que les hommes lui ont imposées, pour devenir au fil du temps un être complexe et résistant. Sous l’angle de l’énergie que représente cette forêt depuis la nuit des temps, ce film nous emmène dans un grand voyage, partant de sa naissance pour aboutir aux questions actuelles sur son avenir…

  • Silence radio, Valéry Rosier, 2012

    Portrait tendre et décalé d’une région rurale et de ses habitants à travers celui d’une radio locale qui leur apporte une énergie nouvelle, un soleil nostalgique. Ou comment une radio picarde gérée par des bénévoles crée un fort et indispensable lien social.

  • Tous cobayes ?, Jean-Paul Jaud, 2012

    Comment se fait-il que les OGM agricoles soient dans les champs et dans les assiettes alors qu’ils n’ont été testés que pendant trois mois sur des rats ? Comment se fait-il que l’énergie nucléaire soit toujours l’énergie du futur alors que les hommes ont vécu Tchernobyl et Fukushima ? Les conclusions seraient-elles accablantes ?

  • Boum, Catherine Lafont, 2011

    Film d’animation qui met en scène un personnage souhaitant trouver une autre alternative à l’énergie nucléaire.

  • Guerre de l’or noir (La), Joachim Schroeder, Dieter Schroeder, 2011

    Crise de Suez, guerre du Kippour, guerre d’Irak… Derrière les grands conflits de l’histoire contemporaine, il suffit de creuser un peu pour s’apercevoir qu’il y a toujours… du pétrole. Ce documentaire revient sur la grande épopée de cette énergie fossile, une histoire qui se confond bien souvent avec celle des nations.

  • Du mieux dans nos assiettes, Robert Bates, 2010

    La mouvance locavore incarne déjà outre-atlantique une véritable révolution. L’idée consiste à ne s’alimenter qu’avec des aliments produits locaux et de saison afin de relancer les micro-terroirs, respecter le cycle des saisons et réduire nos dépenses d’énergie.

  • Global steak. Nos enfants mangeront des criquets, Anthony Orliange, Jean-Philippe Amar, 2010

    Serons-nous bientôt privés d’entrecôte et de rôti de porc, sous prétexte que nous avons trop mangé de viande produite avec trop d’énergie ?

  • Stessa luna (Sous la même lune), Françoise Gallo, 2006

    Portrait de quatre personnages d'une même famille sicilienne sur plusieurs générations, contraints à l'émigration... Entre la Sicile, la Tunisie, l'Italie, la Provence, une saga familiale présentée comme un acte d'énergie au moment de quitter sa terre et les siens... Une histoire intemporelle aujourd'hui universelle... (Résumé éditeur)

  • Power to the people: Delivering energy justice through community energy, 2022

    Right to Energy Forum 2022, January 24 to 28, 2022

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • La Madâ'a, Benjamin SILVESTRE, 2006

    Après "Animal Regard" et "Entre Temps", Héla Fattoumi et Eric Lamoureux poursuivent une complicité de travail avec le réalisateur Benjamin Silvestre. Adapté de la pièce éponyme créée en 2004 pour sept danseurs et deux musiciens, le film est tourné dans le Sud tunisien. Entre ombre et lumière, murs et ruelles, lignes courbes et angles droits, les danses déclinent la figure de l'entrelacs, en lien ou en tension constante avec la musique. Héla Fattoumi et Eric Lamoureux ont créé "La Madâ'a" en écho à de précédentes pièces comme "Wasla", travail sur la trace et la mémoire des origines, ou "Husais", pièce fondatrice ou prend corps leur collaboration artistique. Une façon d'interroger leur propre parcours avec le souci d'établir des liens, un pont entre des cultures différentes, emblématiques aussi de leurs propres origines et recherches en création. La musique du compositeur Samir Joubran, la rencontre entre la danse contemporaine occidentale et l'oud, le luth arabe, est ici l'enjeu chorégraphique partagé par cinq autres interprètes de différents pays. Proche de la danse impulsive, de ses pleins et de ses déliés, le réalisateur privilégie l'énergie, le jaillissement des gestes, la friction entre les corps, les rapports de l'individu au groupe.(Irène Filiberti, CNC-Images de la culture)

  • D’un mur l’autre, Patric Jean, 2008

    Du nord au sud, Patric Jean part avec humour et tendresse à la rencontre d’hommes et de femmes qui ont migré des quatre coins du monde et qui composent cette nouvelle société, y participant avec énergie et générosité.

  • Josiane et Marinette, Fabrice MACAUX, 2006

    "Josiane et Marinette" évoque la vie de deux personnes âgées qui vivent dans le quartier en pleine rénovation urbaine de la Muette à Garges-lès-Gonesse, dans la banlieue nord de Paris. Il témoigne de la générosité et de l'incroyable énergie que déploient ces deux dames retraitées dont l'existence est fortement liée à l'histoire du quartier. À travers elles et leur entourage, Fabrice Macaux tord le cou aux préjugés et raconte des vies riches, solidaires et un attachement profond à un lieu, qui vécu de l'intérieur, ne ressemble en rien aux clichés que véhiculent les médias. Ce film documentaire est né de la rencontre entre Fabrice Macaux, metteur en scène venu dans le quartier pour y mener un atelier théâtre, et de ces deux dames qui impressionnent par la vitalité qu'elles déploient dans ce qu'elles entreprennent mais aussi parce qu'elle s'inscrivent au passé et au présent dans ce quartier en mouvement. Elles en sont la mémoire, les racines mais elles en acceptent aussi les changements. Fabrice Macaux les a suivi pendant un an dans leurs vies. Elles lui ont ouvert leur porte. Elles se sont livrées, l'ont emmené dans les lieux qui leur sont chers, lui ont présenté leurs familles, leurs amis, lui ont raconté des bribes de vies à la fois riches et ordinaires.

  • Chine / États-Unis : la course à l’or noir, Jean-Christophe Klotz, 2007

    C’est la fin d’un mythe de 3000 ans. Depuis qu’elle manque de pétrole, la Chine dépend du monde extérieur. L’énergie est son point faible, son talon d’Achille, et ce problème s’accentuera proportionnellement à sa croissance économique effrénée. Depuis 3 ans, les autorités chinoises multiplient les voyages pour arracher contrats et concessions pétrolières, se heurtant sans cesse aux Etats-Unis. Des contrats sont signés avec le Vénézuela, l’Iran, le Soudan, l’Angola. En échange, la Chine leur apporte son soutien. Elle protège également certains Etats partenaires en menaçant de brandir son droit de veto aux Nations Unies contre des résolutions de droits humanitaires (Darfour) ou nucléaires (Iran).

  • Toucher Terre, Myriam Rivière, Régis Roine, 2007

    Brigitte et Patrick Baronnet vivent depuis plus de trente ans dans une maison totalement autonome près de Nantes… Pas de factures d’eau, pas de réseau EDF, l’énergie provient du soleil et du vent, la nourriture du jardin et l’eau de la pluie… Ils ont bâti un univers sensé, cohérent, équitable, autonome et heureux…

  • Fribourg, une écoville ou une écoloville ?, Patrick Laroche, Sylvie Coren, 2006

    Fribourg : en 30 ans, la ville est devenue un modèle pour le développement urbain des économies d’énergies, des énergies renouvelables et de l’éco-construction. Un film entre le compte-rendu de voyage et et l’utopie réalisée.

  • Eau. Notre vie, notre espoir, Promedios, 2006

    La privatisation de l’eau se mène, dans le monde entier, sous le contrôle de l’OMC, de la Banque Mondiale, du FMI et du Traité dit de Libre Commerce. Cette privatisation implique également celle des grands barrages et de l’énergie électrique qu’ils génèrent. Industries et gouvernements se sont déjà emparés de plus de 60% des grands fleuves du monde mais ils en veulent toujours plus…

  • Du sucre et des fleurs dans nos moteurs, Jean-Michel Rodrigo, 2006

    Les réserves de pétrole s’épuisent, la consommation augmente de façon vertigineuse, le prix du baril flambe… L’avènement des biocarburants semble inéluctable… Les agriculteurs français deviennent « énergie-culteurs », mais la fièvre de l’or vert a ses limites infranchissables… Constats et questions…

  • Terre nourricière, Jean-François Vallée, 2003

    L’agriculture industrielle est dans une impasse : toujours plus de fertilisants, de pesticides, de consommation d’énergie et toujours moins de biodiversité. Pourtant des alternatives sont à l’étude, notamment aux États-Unis et en France. L’homme pourra-t-il un jour produire sa nourriture sans détruire son environnement ?

  • XXVI Jornadas Economía Solidaria - 27- 29 de septiembre 2021, 2021

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Une journée d'Andreï Arsenovitch, Chris MARKER, 1999

    1987 : la famille d'Andrei Tarkovski, retenue depuis cinq ans en URSS par les autorités, obtient une autorisation de sortie pour rejoindre le réalisateur exilé, gravement malade, proche de la fin. Chris Marker entrelace cette scène éprouvante pour nous d'images plus anciennes du cinéaste au travail et d'extraits de ses films. Un portrait cubiste remarquable, avec des mises en parallèle toujours pertinentes. Lors d'une séance de spiritisme, l'esprit de Boris Pasternak lui avait annoncé qu'il ne ferait que sept films, "mais des bons !". Tarkovski s'est conformé à cette prédiction. Dans ce documentaire en forme de mosaïque tragique, on le voit régler, durant une journée entière, le dernier plan (6 minutes) du "Sacrifice", filmer méticuleusement des icônes ou des peintures, visionner le montage de son dernier opus dans la chambre où il agonise lentement, avec toujours la même gaieté, la même énergie déterminée. Harassé, harcelé par le comité de censure de son pays, Tarkovski n'aura eu de cesse d'explorer, à sa façon intransigeante et altière, des thèmes tels que Dieu, les quatre éléments, la nature, l'art et l'homme... Chris Marker se fait le guide, le "Stalker" agile de cette zone mouvante, dangereuse et mystique qu'est son cinéma. (Pascal Richou, CNC-Images de la culture)

  • ENERCOOP - Prix Entreprises Environnement 2017 : Grand Prix Lutte contre le changement climatique, 2017

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Chili, la mémoire obstinée, Patricio Guzmán, 1997

    Patricio Guzmán a tourné « La Bataille du Chili » en 1974, et a dû ensuite, comme nombre de ses compatriotes, prendre le chemin de l’exil. Vingt-deux ans plus tard, il reprend sa caméra pour comprendre comment et jusqu’où l’oubli imposé par Pinochet a pu détruire la mémoire de l’énergie d’un peuple.

  • Autre solitude (Une), Stéphane Metge, 1996

    Pour la première fois, Patrice Chéreau accepte l’idée de se laisser filmer et de collaborer au plus près du film pendant son travail de création. Il accepte le risque de se laisser observer à la loupe pendant un an, de livrer ses secrets, ses doutes et ses angoisses, de mettre à nu la circulation de ses énergies, de ses intuitions, de ses certitudes, bref de livrer ses secrets sans complaisance.

  • Circulez y’ a rien à perdre! L’économie circulaire ) travers 8 entreprises régionales, 2016

    Mot-clé : coopératives d’énergie renouvelable

  • Pour tout l'or d'une goutte, Sami SARKIS, Isabelle ALIBERT, 1993

    Quelques personnages clés de la Goutte d'or à Paris, nous font découvrir la richesse et la diversité culturelle de ce quartier en pleine mutation. Un parcours informé, du point de vue des habitants, des associations et des urbanistes, qui inverse l'image négative produite par les médias ne parlant que de la drogue ou des problèmes liés à l'immigration. Pour palier à l'insalubrité de certains immeubles ou sous prétexte d'insécurité, les pouvoirs publiques ont expulsé les habitants, démoli et reconstruit parfois des rues entières sans véritable plan de relogement. La vie du quartier est cassée, la population déplacée : du village qu'il était, avec ses anciens et sa très forte population algérienne, puis africaine, il ne reste plus grand-chose. Mais les habitants résistent et se sont constitués en associations. Maintenant, les expulsions manu militari, comme en 1984, sont plus difficiles, des plans de relogement sont en place et des événements culturels, tels le marathon qu'annonce l'Orchestre national de Barbès, démontrent l'énergie nouvelle qui traverse ce quartier où les habitants savent encore ce que convivialité et solidarité veulent dire. (Nathalie Magnan, CNC-Images de la culture)

  • Génération, Patrick Rotman, Daniel Edinger, Hervé Hamon, Jean Lassave, Françoise Prébois, Gilles Nadeau, 1988

    Génération est le feuilleton d’une génération qui a grandi sous la Guerre froide puis la guerre d’Algérie et qui, débordant d’énergie, prête à exploser, fait son entrée dans les années soixante. Cette série de quinze épisodes fait le portrait de celles et ceux qui se sont impliqués dans les luttes d’hier, alternant images d’archives et interviews.

  • Une ville hors du commun : Loos-En-Gohelle et sa transition écologique et sociale, 2015

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Parc eolien citoyen de Beganne, 2014

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Ungersheim, un défi écologique, 2014

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Ce n’est qu’un début, Michel Andrieu, 1968

    Premier film réalisé au cœur des événements, « Ce n’est qu’un début » témoigne avec énergie de la première « nuit des barricades » au Quartier Latin et tente de relayer, dans l’instant, l’intensité et l’originalité du mouvement naissant de mai 68.

  • Enercoop (Grands Prix de la finance solidaire 2013), 2013

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • El encuentro de Monedas Locales, Sociales y Complemnatrias en Zafra, Bajadoz - Octubre 2019, 2019

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Reema Nanavaty, General Secretary of the Self-Employed Women’s Association (SEWA), 2019

    Implementing the Sustainable Development Goals: What Role for Social and Solidarity Economy? International Conference , UNTFSSE, 25 – 26 June 2019

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Audio : Circular Economy Villages, 2019

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Per què Som Energia? (sous-titres en français), 2012

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Sur les routes d’acier, Boris Peskine, 1938

    Après avoir relaté l’histoire de l’invention du chemin de fer, de l’invention de la machine à vapeur jusqu’à la naissance de l’autorail et de l’énergie électrique, puis l’importance du chemin de fer, dans la naissance des échanges, ce film est avant tout un hymne au travail des cheminots.

  • Prends la route, Jean Boyer, 1936

    Réalisé en plein Front Populaire, avec un petit avant goût de Congés Payés, cette comédie sentimentale chantée et burlesque est une vraie bouffée de bonne humeur, de joie de vivre et de plaisir de vacances. Il faut dire que l’énergie et la musique des deux fantaisistes chanteurs « Pills et Tabet » y sont pour beaucoup.

  • Carte Postale de Langouët, 2010

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • La danse aux poings de Mourad Merzouki, Mohamed Athamna

    Mourad Merzouki, célèbre chorégraphe français, nous emmènent à sa manière à l'intérieur de son espace de création pour nous révéler comment naissent et évoluent ses idées. La rue, la scène, les studios, les coulisses, les tournées internationales : nous traversons les lieux d'inspiration, de vie et de représentation de la danse hip-hop. Nous le suivons durant une année, de la matière brut au spectacle élaboré, et décryptons l'œuvre par la lumière, les costumes, la scénographie, la mise en scène. Ici et là, nous rencontrons le public, les danseurs... Paris, Lyon, Saint-Denis, Rio, Montréal ou Fort-de-France : ce film accompagne cette énergie en mouvement. A travers ce portrait intime et privilégié, nous redéfinissons le sens originel de cette culture urbaine... - Présentation éditeur

  • Brésiliens comme moi, Susana Rossberg

    A travers la rencontre avec une communauté brésilienne croissante, en grande partie illégale, et qui se manifeste par son énergie, sa vivacité, sa diversité, ce film espère œuvrer pour une plus grande acceptation des étrangers en terre d’accueil. (Présentation éditeur)

  • Zebda, l'écho de la rumeur, Michel CARRIÈRE

    "Huit musiciens de la banlieue nord de Toulouse ont formé Zebda, un groupe qui rape sur une orchestration rock. Attentifs au sort des jeunes confinés entre les murs des cités, les huit de Zebda, "la voix des sans voix", aspirent à la notoriété sans renoncer à l'expression d'une solidarité militante. L'énergie et les idées bouillonnent, et si la critique sociale frappe fort, le message est généreux. Zebda est née dans une association de quartier de la cité Bourbaki. A force d'aller en masse aux concerts de rap et de reggae, certains sont passés devant les micros. Magid, parolier et chanteur, et les frères Amokrane, choristes-rapeurs, sont fiers de leurs racines kabyles et de leur naissance gascone. Les jeunes de leur cité les admirent et se démènent pour que l'organisation du festival Ca bouge au Nord ! impulsé par le groupe, soit une réussite. Sur scène, Zebda remue les foules avec des textes qui ironisent sur le maire de Toulouse, dénoncent la télé qui rend fou et s'indignent des propos réducteurs sur les immigrés. Le fameux "sans compter le bruit et l'odeur" de Jacques Chirac est détourné et clipé avec des images de combattants maghrébins portant l'uniforme de l'armée française dans les tranchées. (Anaïs Prosaïc , CNC-Images de la culture)"

  • Une part de la vie, Céline MIGEON

    Salim est dans un foyer de jeunes travailleurs et il déborde d'énergie. Ce qui compte avant tout pour lui, c'est la solidarité avec ses camarades du foyer et ses amis, comme lui, séropositifs. Fragments de son parcours dans les méandres de l'administration. En parallèle à ses luttes quotidiennes, Salim rêve d'être chanteur. - (Nathalie Magnan)

  • Table ouverte

    "Patrick, quarante-deux ans, est cuisinier dans un centre d'accueil pour sans abris. Patrick tient la cuisine, encadre les bénévoles et nourrit les autres de son énergie et de sa parole. Un moment pour redonner à chacun sa dignité, soutenir celui qui a besoin, et faire exister l'autre. " (ateliers Varan)

  • Suresnes cités danse, Camille Guichard

    Olivier Meyer, directeur du théâtre Jean Vilar à Suresnes, a invité pendant trois mois (deux mois de répétitions et un mois de représentations triomphales), cinq chorégraphes pour cinq créations autour du hip-hop. Interviews, moments de travail et de spectacles retracent ces rencontres où chacun a trouvé de quoi enrichir sa propre création. Après avoir auditionné plus de deux cents jeunes, les chorégraphes Blanca Li, Régis Obadia, Farid Berki, Laura Scozzi et Karine Saporta ont composé leurs équipes. Ils ont puisé dans cette matière vivante que représente l'expression hip-hop et l'ont étroitement mêlée à leur poésie, leur dramaturgie. "On prend les codes, on les retourne, on les transforme," dit Farid Berki. "On a fait un spectacle comme une robe découpée à leur mesure," dit encore Bianca Li. Et Karine Saporta affirme en souriant : "J'ai l'impression d'avoir toujours fait du hip-hop !" Si les danseurs ont eu parfois du mal à confronter leur énergie à une gestuelle précise, calée sur une musique et dans l'espace scénique, chacun semble ravi de l'expérience : "Elle a gardé notre authenticité," dit l'un d'eux. (Marc Guiga, CNC-Images de la culture)

  • Les Héritiers du silence, Saïd BAHIJ, Rachid AKIYAHOU

    Histoire du Val-Fourré, miroir grossissant des banlieues françaises. « Poème sémiologique autant que document authentique, le film raconte l'histoire des hommes à travers la destinée d'une ville, ses murs, ses mots (maux !) et ses panneaux. Saïd Bahij, qui habite la cité depuis son enfance, s'applique à décrypter la "forêt de symboles" du Val-Fourré. "Sociologue de gouttière" comme il s'est lui-même défini lors d'une rencontre avec Pierre Bourdieu, le réalisateur pose son regard d'artiste multiformes sur l'une des plus vieilles cités de France transformée en "banlieue" par l'urbanisation des cinquante dernière années. Histoire de l'immigration teintée de colonisation, témoignages tendres ou abrupts, le film pulvérise les clichés sur ces "zones franches à hautes tentions" à travers un humour noir salvateur. C'est le portrait d'un lieu de vie contemporain abandonné aux confins de la capitale, là où le silence bruisse de peine et d'espoir, un parcours fléché porté par la mélancolie, l'énergie créatrice d'un observateur poète. » - Liesel Schiffer, écrivain

  • Le son d'Elsa

    Elsa Wolliaston, pionnière et actrice majeure de la danse contemporaine africaine depuis 40 ans, enseigne dans son studio One Step à Paris. Des élèves de tous âges et de toutes origines y reçoivent bien plus qu'un simple enseignement de la danse. "Est-ce que tout le monde sur la Terre danse ?" a un jour demandé Elsa enfant à sa grand-mère qui l'a élevée au Kenya. Ainsi, depuis 40 ans, Elsa s'est donné pour mission d'enseigner la danse. Le son y tient une place majeure : "Ce qui m'intéresse, c'est comment le corps vécu est capable de créer le son avec ce qu'il a. Partir du silence, car c'est là que tout apparaît dans le corps, et trouver son propre son qui conduira vers la danse." "Le Son d'Elsa" se réfère à l'énergie sous-jacente qui anime le vivant et crée le mouvement. Le film est un voyage qui part de l'intérieur, prend le temps du silence et emmène le spectateur vers l'euphorie de la danse, libre et joyeuse. (Le film documentaire)

  • Le cinéma des Africains, Emilio PACULL, Férid BOUGHEDIR

    Cette émission explique les difficultés rencontrées par les cinéastes africains, particulièrement dans la distribution de leurs films. Après un bref rappel de la lutte de libération et de la création d'Etats nationaux appuyé sur des images de "Nouvelles du monde", la parole est donnée à des cinéastes du Sénégal, du Mali et du Cameroun. Sembene Ousmane, docker devenu écrivain, puis cinéaste, illustre bien le parcours de l'Afrique et la libération des énergies depuis la décolonisation. Il affirme ici l'importance de la culture dans le développement politique d'un peuple. Mais si le public africain attend beaucoup des films africains, il n'est malheureusement pas toujours en mesure de les voir. Forme déguisée de la censure pratiquée par des gouvernements que ce tout nouveau cinéma ne se prive pas de critiquer. Les festivals de Carthage et de Ouagadougou permettent échanges d'idées et de films et contribuent à imposer ce "cinéma des Africains". (Dominique Villain, CNC- Images de la culture)

  • La vie sans Brahim, Laurent CHEVALLIER

    À Soisy-sur-École (Essonne), Mostaffa, depuis trente ans en France, vient de vendre son épicerie pour racheter le bar-tabac du village. Quelque temps avant, il avait recueilli Brahim, SDF après vingt ans de travail à Poissy et à Marseille. À l'épicerie, Brahim, toujours d'humeur joyeuse, était vite devenu la mascotte de la bourgade. À travers Mostaffa et Brahim, décédé subitement, Laurent Chevallier dresse un constat amer de l'intégration. Brahim vivait seul au milieu des bois et avait sombré dans l'alcoolisme. Mostaffa s'est acharné à lui faire remonter la pente. Loin de leur Maroc natal, leur amitié s'est forgée dans la petite épicerie. L'un y a trouvé la chaleur d'un foyer et un travail, l'autre, une énergie accrue et un complice pour un nouveau projet : reprendre le café longtemps fermé. Mais l'aventure est brutalement interrompue par la mort de Brahim. En compagnie de Mostaffa, Laurent Chevallier retrace, jusqu'au Maroc, la vie chaotique d'un homme marginalisé, qui n'a plus donné de nouvelles à sa famille. Il évoque l'agonie du village de Soisy-sur-École, le racisme latent de ses habitants sous les apparences, et saisit de manière sensible les interrogations sur la notion d'intégration et les désillusions de Mostaffa : "On était trois à l'enterrement. Où étaient ceux qui aimaient tant Brahim ?" "La vie sans Brahim", Mostaffa ne pourra s'y résoudre ; il va quitter le village. (Sadia Saïghi,CNC-Images de la culture)

  • L'interrogatoire d'Armand Gatti par ses trois chats, Stéphane GATTI

    Entre portraits, histoires et idées fondamentales, Armand Gatti raconte face caméra différentes étapes de son parcours. Le poète cinéaste dramaturge évoque quelques souvenirs précis de ses expériences à travers l'Europe et ses rencontres avec des hommes et des femmes au c½ur de l'Histoire des révolutions. Il explique les vérités qui lui sont apparues et dont ses travaux théâtraux rendent compte. Les réponses d'Armand Gatti aux questions de Michel Séonnet (absentes du montage final) deviennent de courts monologues qui sont autant d'histoires au c½ur des pièces de l'auteur. Au commencement, il y a la rencontre du jeune déporté avec le théâtre et la poésie. Puis, supprimant toute barrière de temps et d'espace, Gatti fait se croiser les personnages, historiques ou non, réels ou fictionnels, tous en quête de liberté et en prise avec la révolution, qui peuplent ses rêves, ses combats et ses espoirs : Rosa Luxembourg y côtoie Eugène Varlin, membre de la Commune de Paris dont est raconté le calvaire ou les cheminots maquisards de la Seconde Guerre. Ces personnages sont les compagnons que Gatti multiplie pour "enrichir de leur présence les hommes de son temps". Récits racontés frontalement, chargés de vie et d'énergie, offerts au profit du mot (plus fort que la mort), conclus par sa rencontre, alors qu'il était un jeune résistant arrêté, avec le mot juste au moment juste. Stéphane Gérard - CNC, Images de la Culture

  • Journal de Sans Papiers, Rabeha El Bouhati, José Chidlovsky

    “Sans papiers”… Sous l’étiquette qui nous le fait oublier, se cachent des personnes qui ont une origine, une histoire, des rêves et des espoirs d’avenir … Une identité tout simplement. Dotées d’une caméra, trois d’entre elles ont accepté de filmer leur journal intime pendant plusieurs mois. Derrière les stéréotypes dont on les affuble, émerge la vie intime de femmes et d’hommes fragilisés, mais qui déploient une énergie de tous les instants pour demeurer debout … Le film est l’entrelacement de ces récits à la première personne. (Résumé éditeur)

  • Ici et là-bas, Elsa PICON

    "Tourné entre Paris et Dagana, le film "Ici et là-bas" part à la rencontre des acteurs directs du partenariat Vitruve / Dagana (membres de l'association Réunion Dagana, réalisateurs, enfants, professeurs, parents d'élèves, ...), de ses premiers pas à la conception et à la mise en place de la réalisation des lettres filmées, en passant par la diffusion des films à Dagana et à Paris, le tout couvrant plusieurs années de travail sans faille. Il s'agit d'explorer la question du dialogue et de l'échange via la mise en place du projet sur toute sa durée, de ses origines écrites à la création de l'association "Réunion Dagana", en passant par la conception d'une correspondance filmée engageant une structure de financement et une logistique beaucoup plus ambitieuses. "Ici et là-bas" s'attache à explorer la trace sensible laissée par l'aventure du tournage chez les élèves de Vitruve et de Dagana : la pratique artistique est un des points centraux du projet. L'expérience très forte du tournage des lettres filmées, à Dagana, a mobilisé une quantité d'énergies de la part du village tout entier (familles, parents d'élèves, voisins, etc.) dont le film recueille les témoignages sur le terrain. La diffusion des films à Dagana et à Paris, enfin, fut un moment clé de cette expérience. "Ici et là-bas" explore toutes les facettes de cette aventure (éducation à l'image, pratique artistique, dialogue interculturel) en se situant à la fois dans une perspective intime (le recueil d'une parole fragile) et collective (la question du projet en tant que structure)." -(Arcadi)

  • Grand littoral, Valérie JOUVE

    Banlieue de Marseille. Des femmes, des hommes, des enfants se croisent en marchant sur les collines surplombant des cités HLM, sur des passerelles d'autoroute ou de voie ferrée. Au coeur de leurs itinéraires, un centre commercial où circulent voitures et caddies. Sans commentaire, sur une bande son qui répercute les bruits de la ville, Valérie Jouve livre l'instantané onirique d'un territoire urbain hostile. Grand Littoral est le nom de ce centre commercial construit à flanc de colline dans les quartiers nord de Marseille. De ce site contradictoire, où la nature et la ville semblent se livrer un combat sans pitié, l'artiste Valérie Jouve fait le support de son premier film. Connue pour ses portraits d'anonymes photographiés sur fond de paysages urbains, elle observe ici à nouveau les relations entre l'individu et son environnement. Elle fait appel pour cela à des personnes venues d'horizons divers, quidam, amis, habitants. Ces "sujets" forment une communauté fragile dont elle suit les déambulations sur un littoral défiguré par d'effrayantes infrastructures. Loin des clichés sociaux sur la banlieue, ces parcours tissent un territoire étrange : l'énergie de la marche, l'intensité des regards et la douceur des rencontres apparaissent comme autant d'actes de résistance à une réalité urbaine ennemie, où l'humain doit sans cesse reconquérir sa place. (Sylvain Maestraggi, CNC-Images de la culture)

  • De la rue à la scène, Louis-Marie MAUDET

    Avec le spectacle "Un Break à Tokyo", la Traction Avant Compagnie mêle la danse butô à la break dance. La rencontre de deux styles qui, en apparence, n'ont rien à voir traduit un héritage commun : la mémoire culturelle d'une communauté. Les danseurs de la troupe sont allés partager leur expérience au Québec et ont visité le Bronx, quartier populaire de New York. La gestuelle à l'énergie urbaine de la break dance et l'esthétisme du butô (courant de danse contemporaine japonais) ont, comme autre trait d'union, le rejet des codes. Avec cette création, les jeunes danseurs ont voulu travailler dans une dimension multi-ethnique et s'unir plutôt que de se diviser. La break dance est héritée, au même titre que le rap et le graffiti art, de la culture hip-hop. Cette dernière, née dans les faubourgs new-yorkais dans les années 1970, n'est pas, selon eux, un phénomène de mode mais une véritable lame de fond. "Le rap traite de violence, de racisme et d'amour. C'est un moyen de se parler. Il restera." La caméra "zappe" sur les réalités du Bronx : amas d'ordures, sirènes stridentes des voitures de police... Un jeune insiste sur le message de paix. (Fara C., CNC-Images de la culture).

  • Culture pour tous, Stéphane BERGOUNIOUX

    Un an après leur mise en place par le ministre de la Culture Philippe Douste-Blazy, le bilan des 29 projets culturels de quartier dont l'objectif était de lutter contre l'exclusion par la culture et la création. "Leur donner les moyens de penser le monde avec d'autres mots que ceux qui les condamnent", dit Armand Gatti qui mène ce travail depuis toujours. Le principe était de proposer des stages mettant en jeu les potentialités créatives de chacun et de mobiliser les énergies dans l'aboutissement d'un projet. Artistes professionnels et acteurs sociaux apportaient la spécificité de leurs compétences. A travers les témoignages, on trouve des constantes : les stagiaires ont souvent été les premiers étonnés par l'émergence de désirs, richesses et talents insoupçonnés d'eux-mêmes ; ils ont appris la responsabilisation, la valorisation du regard de l'autre, le cotoiement avec les différences. Certains en sortent avec un travail, d'autres avec un projet ou un autre regard sur eux-mêmes et sur le monde. Tous s'accordent à demander qu'on ne les abandonne pas en cours de route, après leur avoir donné le goût de vivre. (Marie Dunglas, CNC-Images de la culture)

  • Bagdad-Paris, itinéraire d'un poète, Emmanuèle LAGRANGE

    "Au cours d'une errance dans Paris, Salah Al Hamdani, écrivain et poète irakien exilé en France depuis 30 ans, nous ouvre la porte de son imaginaire poétique. "Bagdad-Paris" est un film sur l'exil et les exilés, ces "pièces rapportées" qui enrichissent la ville de leurs expériences, savoirs, sensibilités diverses et qui, par ricochets, nous interpellent dans nos propres cheminements personnels. C'est un film sur un homme qui n'a jamais cessé de se battre et qui nous offre au travers de ses textes, ses cris, ses désespoirs, son énergie à vivre." -(CNC)

  • Autour du mur, Patrick BLOSSIER

    Ce film nous montre le tournage, en 1983, du "Mur" de Yilmaz Güney (1937-1984). Alors exilé en France depuis peu, le cinéaste a reconstitué dans une ancienne abbaye une prison turque - mélange des vingt-cinq prisons qu'il a lui-même connues - où se déroule l'épisode qu'il a vécu, en 1976, à la maison d'arrêt d'Ankara. Ses amis politiques, exilés comme lui, ont constitué l'équipe du tournage. C'est leur première expérience de cinéma, de même que pour les enfants-acteurs venus de la communauté turque d'Allemagne. Ils ont recréé un univers carcéral et vécu pendant dix semaines dans un enfermement total. L'énergie de Güney crève l'écran. Acteur lui-même, il prend visiblement plaisir à mimer les gestes des policiers qui répriment la révolte des jeunes prisonniers et n'hésite pas à endosser leur uniforme et à manier la matraque. Les enfants, dont certains sont visiblement à bout de nerfs, sont applaudis lorsqu'ils réussissent à imiter la douleur. Selon Güney, montrer au monde ce qui se passe en Turquie fait partie de sa lutte en attendant de pouvoir le montrer en Turquie. (Dominique Villain, CNC-Images de la culture).

  • Arte Négra, voyage aux sources de la capoeira, Caline DELHEM

    La capoeira est à l'origine d'une culture à part entière, aujourd'hui plus que jamais vivante, où se croisent philosophie de vie et religions autour d'un large projet de structuration du lien social et des solidarités. En visite au Brésil, où il retourne tous les deux ans, Marcelo, « Cacique », jeune capoeiriste brésilien installé en France, nous amène « recharger ses batteries » en allant puiser son énergie chez les grands maîtres de cet art martial mêlé de danses afro-brésiliennes : à Rio d'abord, puis à Salvador de Bahia, lieu de sa communauté d'origine, épicentre de la capoeira. Nous allons de « roda en roda », de groupe en groupe, à la rencontre de son maître, de ses amis, de sa mère, du prêtre et de la mère de Saints qui veille sur Branquinha (une jeune femme elle aussi figure du groupe). Nous rencontrons Mestre Tony Vargas, Mestre Marrom et Mestre Ramos à Rio. Nous découvrons l'univers des quartiers pauvres de Bahia et tout ce qui a fait de « Cacique » un capoeiriste de haut niveau et une figure du groupe « Arte Negra », aujourd'hui très présent en Europe. Présentation éditeur

  • Anonymes, Cheikh DJEMAÏ

    Aujourd'hui à la retraite, Aldja et Hamed ont en commun un quartier, Ménilmontant à Paris, et un chemin, celui qu'ils ont pris pour venir d'Algérie. Deux trajectoires, deux histoires individuelles mises en regard pour raconter celle de la "première génération" d'immigrés, venus seuls ou en famille. Un récit à deux voix, auxquelles se joignent les amis, les enfants et petits-enfants. Si Hamed est venu seul en France, Aldja a quitté l'Algérie avec son mari et sa fille, contre le gré de son père. Le premier témoigne du lot commun à tous ceux venus pour travailler et envoyer de quoi nourrir la famille restée au pays : promiscuité dans des chambres d'hôtels sordides, mais aussi réconfort matériel et affectif apporté par le regroupement communautaire, solidarité entre anciens et nouveaux arrivants. Et s'il a réussi à concrétiser son rêve d'être chauffeur de taxi, il regrette de n'avoir pas vu grandir ses enfants. Quant à Aldja, c'est au milieu des siens qu'elle relate une indépendance conquise dans l'adversité : veuve avec six enfants à élever, conflits avec la belle-famille chez qui elle vit, double travail pour envoyer les enfants en vacances ; une énergie puisée dans des fractures successives. Aujourd'hui, les voilà l'un et l'autre encore ballottés entre un pays qui n'est pas tout à fait le leur et l'Algérie où ils ne se reconnaissent plus vraiment. (Sadia Saïghi, CNC-Images de la culture)

  • Documentary: Power to the People, 2015

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Community Shares Case Study - Chase Community Solar, Cannock, 2015

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Dorset Community Energy: Community Shares in Solar Panels, 2015

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Documental « Economía Verde y Cooperativismo en Andalucía », 2014

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Das Vauban in Freiburg: Stadtteil der Zukunft?, 2014

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • REScoop Documentary (Full version), 2014

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Comunità Solare Locale a Radio 24, 2014

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Power to the people with renewable energy cooperation (Business Planet - euronews), 2014

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Car reduced living in Vauban, Freiburg, Germany, 2014

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • REScoops: what they are and their relevance in the current context, 2012

    Mot-clé : coopératives d’énergie renouvelable

  • Per què Som Energia?, 2012

    Mots-clés : coopératives d’énergie renouvelable, Energies renouvelables et locales

  • Sanjit “Bunker” Roy, founder of Barefoot College, which helps rural communities becomes self-sufficient, 2011

    TED, 2011

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales

  • Ölwechsel Teil 1 - 3, 2009

    Mot-clé : Energies renouvelables et locales